Chakib Khalil a précisé que Sonatrach «a mis au point une stratégie à long terme et a identifié des partenaires potentiels qui présentent des complémentarités et des synergies intéressantes dans l'amont, dans l'aval ou en termes de marchés.» Chakib Khalil a précisé que Sonatrach «a mis au point une stratégie à long terme et a identifié des partenaires potentiels qui présentent des complémentarités et des synergies intéressantes dans l'amont, dans l'aval ou en termes de marchés.» Le ministre de l'Energie et des Mines, M. Chakib Khelil, a accordé une interview au bimensuel Pétrole et gaz arabes, publié hier à Paris, dans laquelle il revient sur un ensemble de questions qui ont fait l'actualité énergétique ces derniers jours. A cet égard, il soulignera d'emblée que Sonatrach veut "trouver des partenaires qui lui apportent une valeur ajoutée" pour pouvoir dès lors envisager "des alliances qui déboucheront sur des synergies importantes". Â ce titre, il citera les partenariats de Sonatrach avec le Portugais Energias de Portugal (EDP), dont le groupe algérien détient une part du capital, ou le Norvégien Statoil qui est également "l'un des actionnaires de l'Institut Algérien du Pétrole et associé à l'exploration en mer profonde en Egypte ". Chakib Khalil n'hésitera pas aussi à préciser que Sonatrach "a mis au point une stratégie à long terme et a identifié des partenaires potentiels qui présentent des complémentarités et des synergies intéressantes dans l'amont, dans l'aval ou en termes de marchés." Concernant l'idée française d'un rapprochement capitalistique entre la compagnie nationale Sonatrach et le gazier français GDF, M. Chakib Khelil a estimé que les groupes énergétiques français n'ont pas fait au groupe Sonatrach des propositions de nature à l'intéresser. "Les sociétés françaises n'ont pas fait à Sonatrach des propositions de nature à contribuer à son développement international, ce qui a un caractère stratégique pour nous", déplore à ce sujet le ministre de l'Energie et des Mines. "Sonatrach n'est peut-être pas leur partenaire préféré, ce qui est leur droit. Parfois, des gouvernements poussent à des accords alors que les acteurs industriels concernés ne sont pas forcément intéressés parce que le schéma proposé n'entre pas dans leur stratégie globale", ajoute encore le ministre. Sur ce chapitre, Chakib Khalil a rappelé que contrairement à Statoil ou le groupe italien Eni avec lequel Sonatrach est associé dans l'exploration au Mali, il n'a guère été possible de "développer des partenariats similaires avec Gaz de France ou avec Total ". Il a toutefois rappelé que Sonatrach a "des exemples concrets de coopération réussie" avec les compagnies françaises. A titre d'exemples «Gaz de France et Sonatrach ont ainsi créé Med LNG, ce qui leur a permis d'exporter conjointement du GNL vers le marché américain, nous avons un accord pour une réservation de capacité de regazéification au terminal de Montoir de Bretagne -même si Fos serait plus intéressant pour nous- et Gaz de France travaille dans l'amont en Algérie», explique le ministre. "De façon générale, nous voulons trouver des partenaires qui nous apportent une valeur ajoutée en termes, notamment, de technologie, de capacité de management ou de marchés qui nous intéressent", a-t-il affirmé, soulignant au passage que "c'est par rapport à ces besoins que l'on peut envisager des alliances qui déboucheront sur des synergies importantes". Dans ce contexte, Chakib Khelil citera le cas de Total qui "conduit des activités d'exploration production dans notre pays et vient d'obtenir un projet pétrochimique en association avec Sonatrach". Enfin, s'agissant de la récente visite à Alger du président Sarkozy, Chakib Khelil espère bien qu'elle puisse constituer, pour les relations économiques entre l'Algérie et la France, "peut-être, une occasion de pousser dans une bonne direction". Le ministre de l'Energie et des Mines, M. Chakib Khelil, a accordé une interview au bimensuel Pétrole et gaz arabes, publié hier à Paris, dans laquelle il revient sur un ensemble de questions qui ont fait l'actualité énergétique ces derniers jours. A cet égard, il soulignera d'emblée que Sonatrach veut "trouver des partenaires qui lui apportent une valeur ajoutée" pour pouvoir dès lors envisager "des alliances qui déboucheront sur des synergies importantes". Â ce titre, il citera les partenariats de Sonatrach avec le Portugais Energias de Portugal (EDP), dont le groupe algérien détient une part du capital, ou le Norvégien Statoil qui est également "l'un des actionnaires de l'Institut Algérien du Pétrole et associé à l'exploration en mer profonde en Egypte ". Chakib Khalil n'hésitera pas aussi à préciser que Sonatrach "a mis au point une stratégie à long terme et a identifié des partenaires potentiels qui présentent des complémentarités et des synergies intéressantes dans l'amont, dans l'aval ou en termes de marchés." Concernant l'idée française d'un rapprochement capitalistique entre la compagnie nationale Sonatrach et le gazier français GDF, M. Chakib Khelil a estimé que les groupes énergétiques français n'ont pas fait au groupe Sonatrach des propositions de nature à l'intéresser. "Les sociétés françaises n'ont pas fait à Sonatrach des propositions de nature à contribuer à son développement international, ce qui a un caractère stratégique pour nous", déplore à ce sujet le ministre de l'Energie et des Mines. "Sonatrach n'est peut-être pas leur partenaire préféré, ce qui est leur droit. Parfois, des gouvernements poussent à des accords alors que les acteurs industriels concernés ne sont pas forcément intéressés parce que le schéma proposé n'entre pas dans leur stratégie globale", ajoute encore le ministre. Sur ce chapitre, Chakib Khalil a rappelé que contrairement à Statoil ou le groupe italien Eni avec lequel Sonatrach est associé dans l'exploration au Mali, il n'a guère été possible de "développer des partenariats similaires avec Gaz de France ou avec Total ". Il a toutefois rappelé que Sonatrach a "des exemples concrets de coopération réussie" avec les compagnies françaises. A titre d'exemples «Gaz de France et Sonatrach ont ainsi créé Med LNG, ce qui leur a permis d'exporter conjointement du GNL vers le marché américain, nous avons un accord pour une réservation de capacité de regazéification au terminal de Montoir de Bretagne -même si Fos serait plus intéressant pour nous- et Gaz de France travaille dans l'amont en Algérie», explique le ministre. "De façon générale, nous voulons trouver des partenaires qui nous apportent une valeur ajoutée en termes, notamment, de technologie, de capacité de management ou de marchés qui nous intéressent", a-t-il affirmé, soulignant au passage que "c'est par rapport à ces besoins que l'on peut envisager des alliances qui déboucheront sur des synergies importantes". Dans ce contexte, Chakib Khelil citera le cas de Total qui "conduit des activités d'exploration production dans notre pays et vient d'obtenir un projet pétrochimique en association avec Sonatrach". Enfin, s'agissant de la récente visite à Alger du président Sarkozy, Chakib Khelil espère bien qu'elle puisse constituer, pour les relations économiques entre l'Algérie et la France, "peut-être, une occasion de pousser dans une bonne direction".