Les informations faisant état de versements effectués parl'Etat algérien au groupeémirati "Emirat internationalinvestment compagny" (EIIC),dans le cadre du projetd'investissement "DounyaParc", sont "dénuées de toutfondement", a indiqué avanthier jeudi, le ministère des Finances. Les informations faisant état de versements effectués parl'Etat algérien au groupeémirati "Emirat internationalinvestment compagny" (EIIC),dans le cadre du projetd'investissement "DounyaParc", sont "dénuées de toutfondement", a indiqué avanthier jeudi, le ministère des Finances. ContenuSuite aux informations parues dans la presse, relatives au projetd'investissement "Dounya Parc",le ministère des Finances apporte,dans un communiqué, des précisionssur l'évolution de la gestion de ce ditprojet.Selon ce texte, il s'agit d'un investissementportant aménagement et mise envaleur d'un site dénommé "Parc desGrands Vents", adossé à la frangeouest de la ville d'Alger.A cet effet, une convention d'investissementavec le groupe émirati "Emiratinternational investment compagny"(EIIC, a été approuvée en 2010 etsigné en 2011.Ce projet devait comprendre la créationd'un parc public paysager, de loisirset de détente thématisé, qui soit uncomplément à la ceinture verted'Alger, ainsi que la réalisation d'uncomplexe métropolitain composé,notamment d'un complexe résidentielet deux hôtels 4 et 5 étoiles etd'un centrede conventions et de conférences,précise la même source. "La réalisation de ce projet n'a pu sematérialiser selon le programme tracé, compte tenu de contraintes diverses", a souligné le ministère des Finances. Face à cette situation, et devant l'appréciation divergente par les parties algérienne et émiratie, cette dernière a introduit officiellement contre l'Etat algérien une action en arbitrage auprès du Centre international pour le règlement des différends relatifs aux investissements (Cirdi), a continué la même source. Il convient de signaler que la procédure 'arbitrage est à ses débuts, et qu'en l'occurrence aucune sentence n'a été prononcée à ce jour. "En conséquence, toutes les informations faisant état de versements effectués, de quelques nature que ce soit, par l'Etat algérien à cette entreprise émiratie sont dénuées de tout fondement", a indiqué le ministère. Ce communiqué se veut donc une réponse aux affirmations du député du front AlAdala, Haéssan Aribi, selon lesquelles ce projet coûte à l'Algérie la bagatelle de 1 milliard de dollars par an, depuis 2013 en indemnités au profit des Emira is ContenuSuite aux informations parues dans la presse, relatives au projetd'investissement "Dounya Parc",le ministère des Finances apporte,dans un communiqué, des précisionssur l'évolution de la gestion de ce ditprojet.Selon ce texte, il s'agit d'un investissementportant aménagement et mise envaleur d'un site dénommé "Parc desGrands Vents", adossé à la frangeouest de la ville d'Alger.A cet effet, une convention d'investissementavec le groupe émirati "Emiratinternational investment compagny"(EIIC, a été approuvée en 2010 etsigné en 2011.Ce projet devait comprendre la créationd'un parc public paysager, de loisirset de détente thématisé, qui soit uncomplément à la ceinture verted'Alger, ainsi que la réalisation d'uncomplexe métropolitain composé,notamment d'un complexe résidentielet deux hôtels 4 et 5 étoiles etd'un centrede conventions et de conférences,précise la même source. "La réalisation de ce projet n'a pu sematérialiser selon le programme tracé, compte tenu de contraintes diverses", a souligné le ministère des Finances. Face à cette situation, et devant l'appréciation divergente par les parties algérienne et émiratie, cette dernière a introduit officiellement contre l'Etat algérien une action en arbitrage auprès du Centre international pour le règlement des différends relatifs aux investissements (Cirdi), a continué la même source. Il convient de signaler que la procédure 'arbitrage est à ses débuts, et qu'en l'occurrence aucune sentence n'a été prononcée à ce jour. "En conséquence, toutes les informations faisant état de versements effectués, de quelques nature que ce soit, par l'Etat algérien à cette entreprise émiratie sont dénuées de tout fondement", a indiqué le ministère. Ce communiqué se veut donc une réponse aux affirmations du député du front AlAdala, Haéssan Aribi, selon lesquelles ce projet coûte à l'Algérie la bagatelle de 1 milliard de dollars par an, depuis 2013 en indemnités au profit des Emira is