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Les recommandations du FMI
Intégration économique des pays de l'uma
Publié dans Le Midi Libre le 27 - 04 - 2019

Les cinq pays du Maghrebmembres de l'Union du Maghreb arabe (UMA), voientles possibilités de commerce régional entre eux largementsous-exploitées, et doivent renforcerleur intégration, a indiquéle Fonds monétaire internationale(FMI), sur son siteweb.Ainsi, selon le FMI, Algérie,Libye, Maroc, Mauritanie et Tunisie ayant créé en 1989l'UMA pour promouvoir la et l'intégration économique, sous-exploitent, trente ans plus tard, et doivent aujourd'hui renforcer l'intégrationpour créer des emploispour leur population jeune eten augmentation. Dans une étude réalisée par l'analyste à laDirection du département de la stratégie, Ramzy Al Amine, le
de la divisionMaghreb du départementMoyen-Orient et Asie centraledu FMI, Jean-FrançoisDauphin et le chef de missionpour l'Algérie, Alexei Kireyev,est assuré qu'accélérer l'intégrationrégionale, permettraitde stimuler la croissance, de créer des emplois et d'ouvrir de nouveaux horizons, pour près de 100 millions de personnes dans cette région. A l'heure actuelle, le commerce entre lespays du Maghreb ne porte que sur quelques biens, notamment combustibles et des hydrocarbures, que l'Algérie exporte vers la Tunisie et le Maroc, des huiles végétales, des machines, du fer et de l'acier, que la Tunisie exporte vers l'Algérie et la Libye, et du fer, de l'acier, des articles d'habillement, des véhicules et des appareils électriques, que le Maroc exporte vers l'Algérie, la Tunisie et la Mauritanie, souligne l'étude. "Selon nos calculs, il existe de nombreuses possibilités d'accroître les échanges. Des fluxd'exportation supplémentaires pourraient porter, par exemple,sur les services de transport,les produits alimentaires, les métaux et les produits chimiques marocains à destination de la Tunisie",
ont indiqué les auteurs de l'étude. Selon eux, une plus grande ouverture au commerce interrégional de et de services, permettraitde créer un vaste marché qui rendrait la région plus investisseurs.Elle contribuerait à la constitutionde chaînes d'approvisionnementrégionales, et à leur dans les chaînes de valeur mondiales, et rendrait le plus résilient face des chocs économiques, ont-ils ajouté. En bref, l'intégration serait une source de croissance et d'emplois, bienvenue. Ainsi, selon l'étude du FMI, la croissance dans les pays du Maghreb pourrait s'accélérer de 1 point de pourcentage, à long périodes de criseéconomique ou de transition politique, peuvent être propices à une intégration plus rapide, est-il noté dans la publication, qui relève également le rôle de puissants accélérateurs de l'intégration économique,que pouvaient jouerles nouvelles technologies,qui, elles, ne connaissent pas de frontière
Les cinq pays du Maghrebmembres de l'Union du Maghreb arabe (UMA), voientles possibilités de commerce régional entre eux largementsous-exploitées, et doivent renforcerleur intégration, a indiquéle Fonds monétaire internationale(FMI), sur son siteweb.Ainsi, selon le FMI, Algérie,Libye, Maroc, Mauritanie et Tunisie ayant créé en 1989l'UMA pour promouvoir la et l'intégration économique, sous-exploitent, trente ans plus tard, et doivent aujourd'hui renforcer l'intégrationpour créer des emploispour leur population jeune eten augmentation. Dans une étude réalisée par l'analyste à laDirection du département de la stratégie, Ramzy Al Amine, le
de la divisionMaghreb du départementMoyen-Orient et Asie centraledu FMI, Jean-FrançoisDauphin et le chef de missionpour l'Algérie, Alexei Kireyev,est assuré qu'accélérer l'intégrationrégionale, permettraitde stimuler la croissance, de créer des emplois et d'ouvrir de nouveaux horizons, pour près de 100 millions de personnes dans cette région. A l'heure actuelle, le commerce entre lespays du Maghreb ne porte que sur quelques biens, notamment combustibles et des hydrocarbures, que l'Algérie exporte vers la Tunisie et le Maroc, des huiles végétales, des machines, du fer et de l'acier, que la Tunisie exporte vers l'Algérie et la Libye, et du fer, de l'acier, des articles d'habillement, des véhicules et des appareils électriques, que le Maroc exporte vers l'Algérie, la Tunisie et la Mauritanie, souligne l'étude. "Selon nos calculs, il existe de nombreuses possibilités d'accroître les échanges. Des fluxd'exportation supplémentaires pourraient porter, par exemple,sur les services de transport,les produits alimentaires, les métaux et les produits chimiques marocains à destination de la Tunisie",
ont indiqué les auteurs de l'étude. Selon eux, une plus grande ouverture au commerce interrégional de et de services, permettraitde créer un vaste marché qui rendrait la région plus investisseurs.Elle contribuerait à la constitutionde chaînes d'approvisionnementrégionales, et à leur dans les chaînes de valeur mondiales, et rendrait le plus résilient face des chocs économiques, ont-ils ajouté. En bref, l'intégration serait une source de croissance et d'emplois, bienvenue. Ainsi, selon l'étude du FMI, la croissance dans les pays du Maghreb pourrait s'accélérer de 1 point de pourcentage, à long périodes de criseéconomique ou de transition politique, peuvent être propices à une intégration plus rapide, est-il noté dans la publication, qui relève également le rôle de puissants accélérateurs de l'intégration économique,que pouvaient jouerles nouvelles technologies,qui, elles, ne connaissent pas de frontière


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