Les acteurs de la société civile et des chefs de partis politiques se sont réunis hier à la Safex pour tenter de rapprocher leur démarches dans le cadre de la plateforme du 6 juillet. Les acteurs de la société civile et des chefs de partis politiques se sont réunis hier à la Safex pour tenter de rapprocher leur démarches dans le cadre de la plateforme du 6 juillet. C'est la seconde réunion, après celle organisée le 15 juin dernier au siège du Cnapeste, à laquelle appellent les association et syndicats pour aplanir les divergences et tenter de dégager une feuille de route commune permettant de solutionner la crise politique profonde. La rencontre de la Safex, explique dans son allocution d'ouverture le syndicaliste Lyes Merabet, ambitionne la mise en oeuvre des "recommandations de la Conférence nationale des dynamiques de la société civile qui s'est tenue le 15 juin dernier et de rapprocher les points de vue et construire un consensus autour d'un projet d'initiative, comme une participation de notre à trouver une solution à la crise". Se disant franchement ouvert pour un dialogue réel, il affirme que les signataires de la feuille de route du 15 juin dernier, veulent "travailler avec tous les acteurs de la société pour un dialogue sérieux réduisant les distances entre les différentes visions, en s'appuyant sur le principe du consensus". Des chefs de partis politiques, notamment Abderazak Makri, Mohamed Saïd, Abdallah Djaballah, Sofiane Djilali et Karim Tabbou étaient présents. Plusieurs autres personnalités dont l'avocat des droits de l'Homme Me Mustapha Bouchachi, le sociologue Nacer Djabi, ou le coordinateur de la plateforme de Aïn-Benian, l'ancien diplomate Abdelaziz Rahabi ont également assisté à cette rencontre. C'est la seconde réunion, après celle organisée le 15 juin dernier au siège du Cnapeste, à laquelle appellent les association et syndicats pour aplanir les divergences et tenter de dégager une feuille de route commune permettant de solutionner la crise politique profonde. La rencontre de la Safex, explique dans son allocution d'ouverture le syndicaliste Lyes Merabet, ambitionne la mise en oeuvre des "recommandations de la Conférence nationale des dynamiques de la société civile qui s'est tenue le 15 juin dernier et de rapprocher les points de vue et construire un consensus autour d'un projet d'initiative, comme une participation de notre à trouver une solution à la crise". Se disant franchement ouvert pour un dialogue réel, il affirme que les signataires de la feuille de route du 15 juin dernier, veulent "travailler avec tous les acteurs de la société pour un dialogue sérieux réduisant les distances entre les différentes visions, en s'appuyant sur le principe du consensus". Des chefs de partis politiques, notamment Abderazak Makri, Mohamed Saïd, Abdallah Djaballah, Sofiane Djilali et Karim Tabbou étaient présents. Plusieurs autres personnalités dont l'avocat des droits de l'Homme Me Mustapha Bouchachi, le sociologue Nacer Djabi, ou le coordinateur de la plateforme de Aïn-Benian, l'ancien diplomate Abdelaziz Rahabi ont également assisté à cette rencontre.