Comme c'est le cas chaque mardi depuis le début du Hirak, les étudiants étaient, une nouvelle fois au rendez-vous. Comme c'est le cas chaque mardi depuis le début du Hirak, les étudiants étaient, une nouvelle fois au rendez-vous. Hier, en effet, des étudiants des universités d'Alger ont manifesté pour la 34e fois consécutive, avec une forte mobilisation citoyenne. Dans d'autres villes du pays, c'était aussi la meme chose. Ce mardi, les étudiants redoutaient une marche "houleuse" comme mardi dernier, marquée par une violente répression. Malgré la peur d'éventuelles arrestations, les étudiants ont bravé le dispositif sécuritaire et ont maintenu leur manifestation. Finalement, cette fois-ci il n' y a pas eu de répression et les forces de l'ordre se sont contentées juste d'encadrer la marche qui s'est ébranlée, comme d'habitude, de la place des Martyrs. Les étudiants ont ainsi sillonné la Rue Bab Ezzoun pour atteindre le square Port Said, avant de poursuivre la marche par les rues Ali Boumednjel et Larbi Ben Mhidi, pour atteindre le centre de la capitale, où ils ont manifesté à la Grande poste, l'avenue Pasteur et le boulevard Amirouche . Les étudiants ont contesté principalement, ce mardi, la loi sur les hydrocarbures. Ils considèrent l'adoption de cette loi comme "une tromperie du Parlement". Ils ont scandé des slogans hostiles à cette décision, la qualifiant "d'illégitime" et qui "ne sert que les intérêts des étrangers". Hier, en effet, des étudiants des universités d'Alger ont manifesté pour la 34e fois consécutive, avec une forte mobilisation citoyenne. Dans d'autres villes du pays, c'était aussi la meme chose. Ce mardi, les étudiants redoutaient une marche "houleuse" comme mardi dernier, marquée par une violente répression. Malgré la peur d'éventuelles arrestations, les étudiants ont bravé le dispositif sécuritaire et ont maintenu leur manifestation. Finalement, cette fois-ci il n' y a pas eu de répression et les forces de l'ordre se sont contentées juste d'encadrer la marche qui s'est ébranlée, comme d'habitude, de la place des Martyrs. Les étudiants ont ainsi sillonné la Rue Bab Ezzoun pour atteindre le square Port Said, avant de poursuivre la marche par les rues Ali Boumednjel et Larbi Ben Mhidi, pour atteindre le centre de la capitale, où ils ont manifesté à la Grande poste, l'avenue Pasteur et le boulevard Amirouche . Les étudiants ont contesté principalement, ce mardi, la loi sur les hydrocarbures. Ils considèrent l'adoption de cette loi comme "une tromperie du Parlement". Ils ont scandé des slogans hostiles à cette décision, la qualifiant "d'illégitime" et qui "ne sert que les intérêts des étrangers".