Le candidat Abdelaziz Belaid, président du front El Moustakbal, a choisi le Sud du pays pour entamer sa campagne électorale. C'est en effet dans la ville d'Adrar qu'il a animé, hier, son premier meeting. Le candidat Abdelaziz Belaid, président du front El Moustakbal, a choisi le Sud du pays pour entamer sa campagne électorale. C'est en effet dans la ville d'Adrar qu'il a animé, hier, son premier meeting. Il a entamé son discours par dire qu'il a annoncé sa candidature de Tamanrasset et a choisi Adrar pour donner le coup d'envoi de sa campagne électorale. Preuvequ'il accorde une grande place pour cette vaste région du sud du pays. "Le Sud est abandonné, il est oublié et il est en retard économiquement, et ce malgré les richesses qu'il recèle", a-t-il indiqué. Un message fort en direction des populations de cette région, qu'il veut rallier à sa cause. "Dans mon programme, la priorité pour le développement sera d'accroitre à cette région", a-t-il martelé, en déclarant qu'il compte, s'il est élu Président, lancer un projet de ligne ferroviaire reliant Alger à Adrar. Les youyous et les applaudissements fusent alors de la salle. Belaid a expliqué alors les raisons qui l'ont poussé a participer à cette élection en clamant que "la présidentielle est la seule solution pour sortir de la crise". Indiquant qu'il était favorable à la revendicationde la "Révolution du 22 Février", il a accusé certaines parties et des personnes de se présenter comme des sauveurs de l'Algérie, alors que durant vingt années, leurs attitudes et positions étaient contraires à ce qu'ils proclament aujourd'hui. Et pourtant, il a refusé de s'étaler sur le passé, en soulignant qu'il faut laisser cette question à l'histoire. Il dira de même, que si l'Algérie vit une telle situation, c'est parce que "on s'est éloigné de la ligne nationaliste originelle", promettant dans la foulée, d'être toujours fidèles au serment des chouhada. Se montrant optimiste, il a affirmé que l'Algérie est capable de transcender cette situation de crise, pour aller "vers une nouvelle République, une République qui nous sortira de la politique de la rente". Se voulant rassurant, il a annoncé qu' il n'exclura personne, en plaidant pour l'union de tous les Algériens. "Il n' y a aucun Président qui trouvera seul la solution, ni un parti politique d'ailleurs, car il n 'y a pas de solution, si on ne s'unit pas. L'immunité de l'Algérien réside dans l'union de tous ses enfants", a-t-il ajouté. Pour lui, "la majorité des Algériens est pour l'élection présidentielle. Laissons alors le peuple souverain, seul détenteur du pouvoir décider", soutient le candidat, tout en affirmant qu'il respecte la décision de ceux qui sont contre le scrutin du 12 décembre. Mettant en garde contre les ingérences étrangères, car selon lui l'Algérie est ciblée, Belaid appelle à aller voter massivement le 12 décembre. Il a entamé son discours par dire qu'il a annoncé sa candidature de Tamanrasset et a choisi Adrar pour donner le coup d'envoi de sa campagne électorale. Preuvequ'il accorde une grande place pour cette vaste région du sud du pays. "Le Sud est abandonné, il est oublié et il est en retard économiquement, et ce malgré les richesses qu'il recèle", a-t-il indiqué. Un message fort en direction des populations de cette région, qu'il veut rallier à sa cause. "Dans mon programme, la priorité pour le développement sera d'accroitre à cette région", a-t-il martelé, en déclarant qu'il compte, s'il est élu Président, lancer un projet de ligne ferroviaire reliant Alger à Adrar. Les youyous et les applaudissements fusent alors de la salle. Belaid a expliqué alors les raisons qui l'ont poussé a participer à cette élection en clamant que "la présidentielle est la seule solution pour sortir de la crise". Indiquant qu'il était favorable à la revendicationde la "Révolution du 22 Février", il a accusé certaines parties et des personnes de se présenter comme des sauveurs de l'Algérie, alors que durant vingt années, leurs attitudes et positions étaient contraires à ce qu'ils proclament aujourd'hui. Et pourtant, il a refusé de s'étaler sur le passé, en soulignant qu'il faut laisser cette question à l'histoire. Il dira de même, que si l'Algérie vit une telle situation, c'est parce que "on s'est éloigné de la ligne nationaliste originelle", promettant dans la foulée, d'être toujours fidèles au serment des chouhada. Se montrant optimiste, il a affirmé que l'Algérie est capable de transcender cette situation de crise, pour aller "vers une nouvelle République, une République qui nous sortira de la politique de la rente". Se voulant rassurant, il a annoncé qu' il n'exclura personne, en plaidant pour l'union de tous les Algériens. "Il n' y a aucun Président qui trouvera seul la solution, ni un parti politique d'ailleurs, car il n 'y a pas de solution, si on ne s'unit pas. L'immunité de l'Algérien réside dans l'union de tous ses enfants", a-t-il ajouté. Pour lui, "la majorité des Algériens est pour l'élection présidentielle. Laissons alors le peuple souverain, seul détenteur du pouvoir décider", soutient le candidat, tout en affirmant qu'il respecte la décision de ceux qui sont contre le scrutin du 12 décembre. Mettant en garde contre les ingérences étrangères, car selon lui l'Algérie est ciblée, Belaid appelle à aller voter massivement le 12 décembre.