Le congrès s'est ouvert hier à Alger, avec un programme comprenant plusieurs activités scientifiques et artistiques axées, notamment, sur «la terminologie musicale arabe», comme principal sujet de réflexion. Le congrès, qui s'inscrit dans le cadre de la manifestation «Alger, capitale de la culture arabe 2007» et dont les travaux se poursuivront jusqu'au 27 juin, est placé sous le thème «La protection des droits d'auteurs, des droits voisins et de la propriété intellectuelle dans un environnement numérique», au vu du développement remarquable des nouvelles technologies de l'information et de la communication (NTIC). Cet événement culturel abordera le thème de la terminologie musicale arabe, à travers des conférences scientifiques visant à «mettre en exergue les différents concepts musicaux, notamment en matière de gammes, modes, échelles, chants et instruments de musique, afin d'apporter des précisions et des éclaircissements quant à leur diversité et différence d'un pays arabe à un autre». Outre les conférences scientifiques et académiques, les soirées de ce congrès seront une occasion pour présenter des concerts de musique mixtes animés par des ensembles d'Algérie et d'autres pays arabes (l'Egypte, la Jordanie, la Tunisie, le Liban et le Maroc) afin d'offrir le fruit de leurs travaux tenus lors des cinq résidences de création thématiques organisées en marge de cette rencontre culturelle. Il s'agit des résidences de création consacrées à la musique classique universelle (les orchestres symphonique national et égyptien), aux arts populaires (la troupe d'El-Hodna de M'sila et la troupe jordanienne de musique populaire), à la musique spirituelle (les troupes El-Ferda de Bechar et Cherbel Rouhana du Liban), à la musique actuelle et enfin à la musique andalouse (l'orchestre national de musique andalouse et l'association marocaine Chabab El Andalous). Pour rappel, l'Algérie a abrité, à trois reprises, le congrès de l'Académie arabe de la musique, respectivement en 1973 (la 3e édition), en 1981 (la 7e édition) puis en 2001 (la 16e édition) Le congrès s'est ouvert hier à Alger, avec un programme comprenant plusieurs activités scientifiques et artistiques axées, notamment, sur «la terminologie musicale arabe», comme principal sujet de réflexion. Le congrès, qui s'inscrit dans le cadre de la manifestation «Alger, capitale de la culture arabe 2007» et dont les travaux se poursuivront jusqu'au 27 juin, est placé sous le thème «La protection des droits d'auteurs, des droits voisins et de la propriété intellectuelle dans un environnement numérique», au vu du développement remarquable des nouvelles technologies de l'information et de la communication (NTIC). Cet événement culturel abordera le thème de la terminologie musicale arabe, à travers des conférences scientifiques visant à «mettre en exergue les différents concepts musicaux, notamment en matière de gammes, modes, échelles, chants et instruments de musique, afin d'apporter des précisions et des éclaircissements quant à leur diversité et différence d'un pays arabe à un autre». Outre les conférences scientifiques et académiques, les soirées de ce congrès seront une occasion pour présenter des concerts de musique mixtes animés par des ensembles d'Algérie et d'autres pays arabes (l'Egypte, la Jordanie, la Tunisie, le Liban et le Maroc) afin d'offrir le fruit de leurs travaux tenus lors des cinq résidences de création thématiques organisées en marge de cette rencontre culturelle. Il s'agit des résidences de création consacrées à la musique classique universelle (les orchestres symphonique national et égyptien), aux arts populaires (la troupe d'El-Hodna de M'sila et la troupe jordanienne de musique populaire), à la musique spirituelle (les troupes El-Ferda de Bechar et Cherbel Rouhana du Liban), à la musique actuelle et enfin à la musique andalouse (l'orchestre national de musique andalouse et l'association marocaine Chabab El Andalous). Pour rappel, l'Algérie a abrité, à trois reprises, le congrès de l'Académie arabe de la musique, respectivement en 1973 (la 3e édition), en 1981 (la 7e édition) puis en 2001 (la 16e édition)
