Pour la première fois dans l'histoire des deux institutions de Bretton Woods, l'Algérie présidera les assemblées annuelles du Fonds monétaire international (FMI) et de la Banque mondiale (BM) dont l'ouverture est prévue demain à Washington. Pour la première fois dans l'histoire des deux institutions de Bretton Woods, l'Algérie présidera les assemblées annuelles du Fonds monétaire international (FMI) et de la Banque mondiale (BM) dont l'ouverture est prévue demain à Washington. Le ministre des Finances, Karim Djoudi, qui conduit la délégation algérienne, estime que ce choix traduit de "manière très forte" la reconnaissance internationale de ce qui est réalisé par l'Algérie, ces dernières années, sur le plan économique. Pour le ministre, il s'agit là d'un "élément fondamental", mais aussi et surtout une "considération" de la communauté internationale vis-à-vis de l'Algérie et de l'économie nationale. Le ministre des Finances qui séjourne à Washington depuis le 17 du mois en cours à la tête d'une délégation comprenant notamment le Gouverneur de la Banque d'Algérie, Mohamed Leksaci et de hauts fonctionnaires de son département ministériel et de la Banque centrale, devrait prononcer, lundi, aux côtés du président de la Banque mondiale, Robert Zoellick et du directeur général du FMI, Rodrigo de Rato, le discours d'ouverture des séances plénières de ces deux institutions. Cette séance a été précédée par la réunion du Comité monétaire et financier international du FMI et celle du Comité de développement de la BM auxquelles prennent part les délégués algériens. Dans son allocution qui sera prononcée au nom des 185 pays membres de la BM et du FMI, M. Djoudi devrait aborder à la fois les grandes orientations et les tendances marquant la nouvelle politique économique mondiale et les nouveaux axes de la stratégie de soutien au développement des économies des pays en développement. Il est à rappeler que c'est à la dernière conférence d'automne de la BM et du FMI, tenue en septembre 2006 à Singapour, que l'Algérie a été choisie pour présider ces assemblées annuelles, à mi-chemin du processus de reforme interne des institutions financières internationales appelées à s'adapter davantage aux nouvelles réalités de l'économie mondiale où les pays émergents jouent un rôle non négligeable dans la croissance économique mondiale. Pour le ministre des Finances, les assemblées annuelles du FMI et de la BM portent à la fois sur les aspects communs à l'économie mondiale, aux perturbations enregistrées sur les marchés, tout comme elles sont l'espace opportun pour discuter des évolutions et tendances de l'économie mondiale, avec une attention particulière accordée aux économies les plus faibles et les adaptations nécessaires à apporter pour amener les instances internationales à mieux s'acquitter de leurs missions envers ces économies faibles. Ces assemblées constituent une occasion pour examiner l'ampleur des perturbations financières des derniers mois et de voir ce que cela pourrait entraîner pour un certain nombre d'économies, notamment les économies des pays émergents dont fait partie l'Algérie. M. Djoudi a estimé que c'est là un sujet "majeur" du débat lancé au sein du FMI et de la BM, aux côtés d'un bon nombre d'autres préoccupations soulevées par les pays les plus faibles, comme la réforme des institutions, la recherche de nouvelles sources de financement, la révision des quotes-parts et du droit de vote devant donner plus de poids aux pays en voie de développement. Mais, fait remarquer encore le ministre, la préoccupation est de savoir comment peuvent se restructurer ces institutions financières pour apporter des réponses concrètes aux problèmes vécus par les économies de ces pays, s'agissant aussi bien du développement économique, de l'assistance à la gestion des grands projets de développement que de la mise en place d'instruments et mécanismes à même de permettre de mieux faire face à des situations de crise dans ces pays. Le ministre des Finances, Karim Djoudi, qui conduit la délégation algérienne, estime que ce choix traduit de "manière très forte" la reconnaissance internationale de ce qui est réalisé par l'Algérie, ces dernières années, sur le plan économique. Pour le ministre, il s'agit là d'un "élément fondamental", mais aussi et surtout une "considération" de la communauté internationale vis-à-vis de l'Algérie et de l'économie nationale. Le ministre des Finances qui séjourne à Washington depuis le 17 du mois en cours à la tête d'une délégation comprenant notamment le Gouverneur de la Banque d'Algérie, Mohamed Leksaci et de hauts fonctionnaires de son département ministériel et de la Banque centrale, devrait prononcer, lundi, aux côtés du président de la Banque mondiale, Robert Zoellick et du directeur général du FMI, Rodrigo de Rato, le discours d'ouverture des séances plénières de ces deux institutions. Cette séance a été précédée par la réunion du Comité monétaire et financier international du FMI et celle du Comité de développement de la BM auxquelles prennent part les délégués algériens. Dans son allocution qui sera prononcée au nom des 185 pays membres de la BM et du FMI, M. Djoudi devrait aborder à la fois les grandes orientations et les tendances marquant la nouvelle politique économique mondiale et les nouveaux axes de la stratégie de soutien au développement des économies des pays en développement. Il est à rappeler que c'est à la dernière conférence d'automne de la BM et du FMI, tenue en septembre 2006 à Singapour, que l'Algérie a été choisie pour présider ces assemblées annuelles, à mi-chemin du processus de reforme interne des institutions financières internationales appelées à s'adapter davantage aux nouvelles réalités de l'économie mondiale où les pays émergents jouent un rôle non négligeable dans la croissance économique mondiale. Pour le ministre des Finances, les assemblées annuelles du FMI et de la BM portent à la fois sur les aspects communs à l'économie mondiale, aux perturbations enregistrées sur les marchés, tout comme elles sont l'espace opportun pour discuter des évolutions et tendances de l'économie mondiale, avec une attention particulière accordée aux économies les plus faibles et les adaptations nécessaires à apporter pour amener les instances internationales à mieux s'acquitter de leurs missions envers ces économies faibles. Ces assemblées constituent une occasion pour examiner l'ampleur des perturbations financières des derniers mois et de voir ce que cela pourrait entraîner pour un certain nombre d'économies, notamment les économies des pays émergents dont fait partie l'Algérie. M. Djoudi a estimé que c'est là un sujet "majeur" du débat lancé au sein du FMI et de la BM, aux côtés d'un bon nombre d'autres préoccupations soulevées par les pays les plus faibles, comme la réforme des institutions, la recherche de nouvelles sources de financement, la révision des quotes-parts et du droit de vote devant donner plus de poids aux pays en voie de développement. Mais, fait remarquer encore le ministre, la préoccupation est de savoir comment peuvent se restructurer ces institutions financières pour apporter des réponses concrètes aux problèmes vécus par les économies de ces pays, s'agissant aussi bien du développement économique, de l'assistance à la gestion des grands projets de développement que de la mise en place d'instruments et mécanismes à même de permettre de mieux faire face à des situations de crise dans ces pays.