C'est aujourd'hui le jour-J pour le début de la campagne pour les élections locales du 29 novembre courant. Les formations politiques en lice vont devoir livrer une rude bataille et déployer des trésors d'ingéniosité dans leurs discours politiques à même de convaincre les électeurs de glisser leurs bulletins et de faire le bon choix. Les craintes de l'abstention massive de l'électorat planent dans l'air. L'heure est à la mobilisation au sein des états-majors des formations politiques qui procèdent aux dernières retouches pour être au rendez-vous. Les neuf (9) chefs de parti vont sillonner, durant les 22 jours de la campagne, le territoire national pour prêcher la bonne parole. Chaque formation politique y va de son slogan. Au RCD du Dr Saïd Sadi, on privilégie le thème «de la gestion participative», en clair selon Mohcène Bélabbès, chargé de la communication au sein du parti «une campagne de proximité qui associe la société civile et la collectivité». Il s'agit explique le responsable du RCD, «de travailler au corps à corps, en tous lieux, les citoyens électeurs. Ce travail sera l'œuvre des candidats eux-mêmes, observe-t-il soulignant dans ce cadre que le président du parti «s'investira un peu plus tard dans la campagne». Sur la problématique récurrente des phénomènes de l'abstention et de la fraude, le membre de la direction politique du RCD rappelle que la fraude «a déjà commencé dès la convocation du corps électoral», citant certaines pratiques de l'Administration pour décourager les candidats du parti, le rejet des dossiers et recours introduits et «de tas d'autres choses encore» dit-il en avançant que «le taux de participation sera plus important que lors des législatives». Il explique ce fait, alors que l'ambiance préélectorale est à la démobilisation des citoyens, par «le souci des autorités de tout faire pour dire qu'on a gagné». Sous le thème «Elisez-nous et demandez-nous des comptes», le MSP de Abou Djerra Soltani se lance dans la bataille en mettant en valeur 4 axes. Ce sont, affirme Farouk Tifour, chargé de l'information du parti, «le front social, l'identité nationale, le développement local et la jeunesse», soulignant que «la moyenne d'âge des candidats du MSP est de 34 ans et universitaire pour la majorité d'entre-eux. Le MSP privilégie lui aussi «le travail de proximité». Pour cela, 220 meetings sont prévus à l'échelle nationale, animés aussi bien par les dirigeants du parti que par les candidats. Pour ce responsable, «la fraude à déjà commencé», pour preuve dit-il «sur 550 recours, nous n'avons pu obtenir satisfaction que sur 150». Un fait, souligne-t-il qui «ne fait qu'encourager l'abstention» qu'il prévoit «aussi importante sinon plus que lors des législatives». Autre thème de campagne pour le Parti des travailleurs (PT) de Louisa Hanoune. Un thème porteur que défend depuis quelques temps sa secrétaire générale. Il s‘inscrit en droite ligne de la ligne politique du parti. «La souveraineté nationale garante du développement local», est le slogan qu'a choisi notre parti indique Djelloul Djoudi, membre de la direction politique qui souligne que «le phénomène de l'abstention apparu lors des élections législatives est enregistré». C'était, dit-il «un message, une alerte». Il souhaite dans ce contexte que «la loi de finances qui sera votée le 10 novembre par les députés de l'APN aidera à répondre aux attentes des citoyens. Nous avons pris nos responsabilités», affirme-t-il, révélant que «le PT a introduit 60 amendements». C'est une opportunité que doit saisir la Chambre basse du Parlement en augmentant le budget des secteurs essentiels et agir sur le SNMG (salaire national minimum garanti) pour, explique-t-il «rendre espoir et confiance aux citoyens». Le parti de Moussa Touati, le FNA préconise «de voter pour un changement, pour donner le pouvoir au peuple». Son président, Moussa Touati estime que «c'est le peuple qui doit décider de son avenir». Il souligne que son parti «n'a aucune crainte vis a vis de la fraude et de l'abstention de l'électorat», expliquant que «son parti à la possibilité de convaincre le citoyen d'intégrer le processus électoral». C'est aujourd'hui le jour-J pour le début de la campagne pour les élections locales du 29 novembre courant. Les formations politiques en lice vont devoir livrer une rude bataille et déployer des trésors d'ingéniosité dans leurs discours politiques à même de convaincre les électeurs de glisser leurs bulletins et de faire le bon choix. Les craintes de l'abstention massive de l'électorat planent dans l'air. L'heure est à la mobilisation au sein des états-majors des formations politiques qui procèdent aux dernières retouches pour être au rendez-vous. Les neuf (9) chefs de parti vont sillonner, durant les 22 jours de la campagne, le territoire national pour prêcher la bonne parole. Chaque formation politique y va de son slogan. Au RCD du Dr Saïd Sadi, on privilégie le thème «de la gestion participative», en clair selon Mohcène Bélabbès, chargé de la communication au sein du parti «une campagne de proximité qui associe la société civile et la collectivité». Il s'agit explique le responsable du RCD, «de travailler au corps à corps, en tous lieux, les citoyens électeurs. Ce travail sera l'œuvre des candidats eux-mêmes, observe-t-il soulignant dans ce cadre que le président du parti «s'investira un peu plus tard dans la campagne». Sur la problématique récurrente des phénomènes de l'abstention et de la fraude, le membre de la direction politique du RCD rappelle que la fraude «a déjà commencé dès la convocation du corps électoral», citant certaines pratiques de l'Administration pour décourager les candidats du parti, le rejet des dossiers et recours introduits et «de tas d'autres choses encore» dit-il en avançant que «le taux de participation sera plus important que lors des législatives». Il explique ce fait, alors que l'ambiance préélectorale est à la démobilisation des citoyens, par «le souci des autorités de tout faire pour dire qu'on a gagné». Sous le thème «Elisez-nous et demandez-nous des comptes», le MSP de Abou Djerra Soltani se lance dans la bataille en mettant en valeur 4 axes. Ce sont, affirme Farouk Tifour, chargé de l'information du parti, «le front social, l'identité nationale, le développement local et la jeunesse», soulignant que «la moyenne d'âge des candidats du MSP est de 34 ans et universitaire pour la majorité d'entre-eux. Le MSP privilégie lui aussi «le travail de proximité». Pour cela, 220 meetings sont prévus à l'échelle nationale, animés aussi bien par les dirigeants du parti que par les candidats. Pour ce responsable, «la fraude à déjà commencé», pour preuve dit-il «sur 550 recours, nous n'avons pu obtenir satisfaction que sur 150». Un fait, souligne-t-il qui «ne fait qu'encourager l'abstention» qu'il prévoit «aussi importante sinon plus que lors des législatives». Autre thème de campagne pour le Parti des travailleurs (PT) de Louisa Hanoune. Un thème porteur que défend depuis quelques temps sa secrétaire générale. Il s‘inscrit en droite ligne de la ligne politique du parti. «La souveraineté nationale garante du développement local», est le slogan qu'a choisi notre parti indique Djelloul Djoudi, membre de la direction politique qui souligne que «le phénomène de l'abstention apparu lors des élections législatives est enregistré». C'était, dit-il «un message, une alerte». Il souhaite dans ce contexte que «la loi de finances qui sera votée le 10 novembre par les députés de l'APN aidera à répondre aux attentes des citoyens. Nous avons pris nos responsabilités», affirme-t-il, révélant que «le PT a introduit 60 amendements». C'est une opportunité que doit saisir la Chambre basse du Parlement en augmentant le budget des secteurs essentiels et agir sur le SNMG (salaire national minimum garanti) pour, explique-t-il «rendre espoir et confiance aux citoyens». Le parti de Moussa Touati, le FNA préconise «de voter pour un changement, pour donner le pouvoir au peuple». Son président, Moussa Touati estime que «c'est le peuple qui doit décider de son avenir». Il souligne que son parti «n'a aucune crainte vis a vis de la fraude et de l'abstention de l'électorat», expliquant que «son parti à la possibilité de convaincre le citoyen d'intégrer le processus électoral».