Présidé par Abdelaziz Belkhadem, le Conseil interministériel, consacré au bilan de la dernière campagne de pèlerinage, qui a permis à 36.000 «hadjs» d'accomplir leur devoir, a relevé un certain nombre d'insuffisances d'ordre organisationnel. C'est ainsi que le Conseil interministériel a pris les mesures nécessaires pour améliorer l'organisation du pèlerinage et de la omra dans tous les domaines afin que les pèlerins puissent bénéficier des meilleures conditions possibles durant toutes les étapes de ces rituels. A cet égard, et dans la perspective de la mise en place du nouvel office devant prendre en charge la gestion permanente de l'opération «pèlerinage», le Chef du gouvernement a donné les directives nécessaires en vue d'introduire des améliorations dans la conduite de toutes les phases de ladite opération afin de garantir aux pèlerins algériens les meilleures conditions de prise en charge et de séjour aux Lieux-Saints de l'Islam. En effet, la création de cet office, chargé de la gestion «administrative» du pèlerinage à la Mecque, omra comprise, qui sera indépendant du ministère des Affaires religieuses, est justifiée par l'absence d'instruments de contrôle, d'évaluation et de suivi, ainsi que par l'insuffisance de «professionnalisme» dans le domaine. Ainsi, le nouvel office aura son «cahier des charges» et des «programmes annuels qu'il appliquera». Auparavant, le Conseil interministériel a examiné les rapports des opérateurs qui ont mis en exergue les efforts consacrés à la préparation et au déroulement de cette campagne, qui sont des opérations particulièrement «complexes» eu égard aux facteurs endogènes et exogènes qui les conditionnent. Ces efforts se sont traduits par des actions engagées depuis le mois d'avril 2007. Ils ont permis de mettre en place l'ensemble des dispositifs nécessaires pour assurer aux pèlerins les meilleures conditions de voyage et de séjour aux Lieux-Saints. Ces mesures viennent confirmer tout l'intérêt que porte le gouvernement à l'opération de pèlerinage en décidant de passer, désormais, à une vitesse supérieure avec l'annonce de la création d'un office du pèlerinage pour l'année 2008. D'ailleurs, lors du retour des premiers contingents de hadjs, Belkhadem a promis l'installation d'une commission qui enquêtera sur les défaillances, pour l'opération du hadj dans sa globalité. Un doigt accusateur a été particulièrement pointé, vers les encadreurs «el baâtha» concernant aussi bien leur comportement que le choix des établissements d'accueil dans lesquels ont été hébergés les pèlerins algériens. Présidé par Abdelaziz Belkhadem, le Conseil interministériel, consacré au bilan de la dernière campagne de pèlerinage, qui a permis à 36.000 «hadjs» d'accomplir leur devoir, a relevé un certain nombre d'insuffisances d'ordre organisationnel. C'est ainsi que le Conseil interministériel a pris les mesures nécessaires pour améliorer l'organisation du pèlerinage et de la omra dans tous les domaines afin que les pèlerins puissent bénéficier des meilleures conditions possibles durant toutes les étapes de ces rituels. A cet égard, et dans la perspective de la mise en place du nouvel office devant prendre en charge la gestion permanente de l'opération «pèlerinage», le Chef du gouvernement a donné les directives nécessaires en vue d'introduire des améliorations dans la conduite de toutes les phases de ladite opération afin de garantir aux pèlerins algériens les meilleures conditions de prise en charge et de séjour aux Lieux-Saints de l'Islam. En effet, la création de cet office, chargé de la gestion «administrative» du pèlerinage à la Mecque, omra comprise, qui sera indépendant du ministère des Affaires religieuses, est justifiée par l'absence d'instruments de contrôle, d'évaluation et de suivi, ainsi que par l'insuffisance de «professionnalisme» dans le domaine. Ainsi, le nouvel office aura son «cahier des charges» et des «programmes annuels qu'il appliquera». Auparavant, le Conseil interministériel a examiné les rapports des opérateurs qui ont mis en exergue les efforts consacrés à la préparation et au déroulement de cette campagne, qui sont des opérations particulièrement «complexes» eu égard aux facteurs endogènes et exogènes qui les conditionnent. Ces efforts se sont traduits par des actions engagées depuis le mois d'avril 2007. Ils ont permis de mettre en place l'ensemble des dispositifs nécessaires pour assurer aux pèlerins les meilleures conditions de voyage et de séjour aux Lieux-Saints. Ces mesures viennent confirmer tout l'intérêt que porte le gouvernement à l'opération de pèlerinage en décidant de passer, désormais, à une vitesse supérieure avec l'annonce de la création d'un office du pèlerinage pour l'année 2008. D'ailleurs, lors du retour des premiers contingents de hadjs, Belkhadem a promis l'installation d'une commission qui enquêtera sur les défaillances, pour l'opération du hadj dans sa globalité. Un doigt accusateur a été particulièrement pointé, vers les encadreurs «el baâtha» concernant aussi bien leur comportement que le choix des établissements d'accueil dans lesquels ont été hébergés les pèlerins algériens.
