En dépit des dernières pluies, le taux de remplissage des deux principaux barrages de la wilaya de Chlef, en l'occurrence ceux de Oued-Fodda et de Sidi-Yacoub demeure en dessous de la moyenne de leurs capacités théoriques. En dépit des dernières pluies, le taux de remplissage des deux principaux barrages de la wilaya de Chlef, en l'occurrence ceux de Oued-Fodda et de Sidi-Yacoub demeure en dessous de la moyenne de leurs capacités théoriques. Selon des chiffres qui nous ont été communiqués par la Direction de l'hydraulique, le barrage de Sidi-Yacoub dont la capacité d'emmagasinement est de 280 millions de m3 contiendrait 122 millions de m3 à la date du 17 du mois courant. Ce même barrage indique-t-on a atteint au cours du 1er trimestre de cette année les niveaux suivants : 60 millions de m3 au mois de janvier, 75 millions de m3 au mois de février puis 121 millions au mois de mars pour atteindre les 122 millions de m3 durant la première quinzaine du mois d'avril. Quant au second barrage, à savoir celui de Oued-Fodda, d'une capacité d'emmagasinement de 103 millions de m3, construit entre 1926 et 1932 mesurant 100 mètres de hauteur, 65 mètres d'épaisseur à la base et 182 mètres de longueur de crête et dont l'envasement a atteint un seuil critique (le taux d'envasement a été estimé en 2003 à 45%), tient-on à le souligner, le volume d'eau contenu dans cet ancien ouvrage est de l'ordre de 40 millions de m3. A noter que ces deux barrages sont destinés à l'AEP (Alimentation en eau potable) et à l'irrigation des plaines du Cheliff. Par ailleurs et dans le cadre du renforcement des capacités de mobilisation des ressources hydriques, les autorités ont prévu trois nouveaux barrages situés au nord et au sud de la wilaya. Il s'agit des barrages de Bouhallou et de Taghzoult situés respectivement dans les communes de Sidi-Akkacha et Talassa. Le premier cité, dont l'étude de faisabilité remonte à 1974 a été lancé en 1978 avant d'être abandonné. Selon certaines sources proches du dossier plusieurs milliards de centimes ont été consommés dans ce projet notamment dans la pose de conduites. Le second ouvrage situé à une dizaine de kilomètres du rivage de la commune de Talassa devra être d'un grand apport notamment pour l'agriculture, souligne-t-on, au niveau de la Direction de l'agriculture. Quant au troisième projet retenu, il s'agit en fait d'un mini-barrage situé à proximité de celui de Sidi-Yacoub devant servir d'appoint à ce dernier. A noter que lors d'une intervention radiophonique sur Radio Chlef Mahmoud Djemaâ, wali de Chlef a indiqué que les trois projets figurent parmi les actions prioritaires du programme de développement du secteur pour les années à venir. Selon des chiffres qui nous ont été communiqués par la Direction de l'hydraulique, le barrage de Sidi-Yacoub dont la capacité d'emmagasinement est de 280 millions de m3 contiendrait 122 millions de m3 à la date du 17 du mois courant. Ce même barrage indique-t-on a atteint au cours du 1er trimestre de cette année les niveaux suivants : 60 millions de m3 au mois de janvier, 75 millions de m3 au mois de février puis 121 millions au mois de mars pour atteindre les 122 millions de m3 durant la première quinzaine du mois d'avril. Quant au second barrage, à savoir celui de Oued-Fodda, d'une capacité d'emmagasinement de 103 millions de m3, construit entre 1926 et 1932 mesurant 100 mètres de hauteur, 65 mètres d'épaisseur à la base et 182 mètres de longueur de crête et dont l'envasement a atteint un seuil critique (le taux d'envasement a été estimé en 2003 à 45%), tient-on à le souligner, le volume d'eau contenu dans cet ancien ouvrage est de l'ordre de 40 millions de m3. A noter que ces deux barrages sont destinés à l'AEP (Alimentation en eau potable) et à l'irrigation des plaines du Cheliff. Par ailleurs et dans le cadre du renforcement des capacités de mobilisation des ressources hydriques, les autorités ont prévu trois nouveaux barrages situés au nord et au sud de la wilaya. Il s'agit des barrages de Bouhallou et de Taghzoult situés respectivement dans les communes de Sidi-Akkacha et Talassa. Le premier cité, dont l'étude de faisabilité remonte à 1974 a été lancé en 1978 avant d'être abandonné. Selon certaines sources proches du dossier plusieurs milliards de centimes ont été consommés dans ce projet notamment dans la pose de conduites. Le second ouvrage situé à une dizaine de kilomètres du rivage de la commune de Talassa devra être d'un grand apport notamment pour l'agriculture, souligne-t-on, au niveau de la Direction de l'agriculture. Quant au troisième projet retenu, il s'agit en fait d'un mini-barrage situé à proximité de celui de Sidi-Yacoub devant servir d'appoint à ce dernier. A noter que lors d'une intervention radiophonique sur Radio Chlef Mahmoud Djemaâ, wali de Chlef a indiqué que les trois projets figurent parmi les actions prioritaires du programme de développement du secteur pour les années à venir.
