Au fil des ans et avec l'évolution du mode de vie des Algériens, notamment dans les grandes villes, certaines professions ancestrales sont appelées à disparaitre. C'est le cas des rémouleurs qui ne font leur réapparition qu'à la veille des l'Aïd el adha afin d'aiguiser les coutelas qui serviront au sacrifice des moutons. Les citoyens auront certainement remarqué, un rémouleur, la soixantaine environ, installé à demeure en face du marché Clausel à Alger-Centre. Il semble surgi de nos mémoires pour tenter de préserver un métier qui tend à disparaitre avec l'invasion des nouvelles technologies. Ce monsieur doit, sans aucun doute, faire le bonheur des quelques fellahs qui tiennent encore à exploiter leurs terres à l'aide d'un attirail traditionnel ou encore ceux qui ont fait du jardinage un passe-temps et sport sain. En effet et en l'absence de rémouleurs, il n'est pas aisé d'entretenir ciseaux, faucilles et autres outils. Au fil des ans et avec l'évolution du mode de vie des Algériens, notamment dans les grandes villes, certaines professions ancestrales sont appelées à disparaitre. C'est le cas des rémouleurs qui ne font leur réapparition qu'à la veille des l'Aïd el adha afin d'aiguiser les coutelas qui serviront au sacrifice des moutons. Les citoyens auront certainement remarqué, un rémouleur, la soixantaine environ, installé à demeure en face du marché Clausel à Alger-Centre. Il semble surgi de nos mémoires pour tenter de préserver un métier qui tend à disparaitre avec l'invasion des nouvelles technologies. Ce monsieur doit, sans aucun doute, faire le bonheur des quelques fellahs qui tiennent encore à exploiter leurs terres à l'aide d'un attirail traditionnel ou encore ceux qui ont fait du jardinage un passe-temps et sport sain. En effet et en l'absence de rémouleurs, il n'est pas aisé d'entretenir ciseaux, faucilles et autres outils.