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Défaillances dans la gestion des lignes
Gare routière du Caroubier
Publié dans Le Midi Libre le 18 - 10 - 2009

Les chauffeurs de bus interwilayas imposent aux usagers leur diktat leur imposant de descendre aux arrêts décidés par eux en ignorant les autres arrêts. Les usagers face à cet états de faits sont ainsi forcés de faire de longues trottes à pieds, ou débourser les frais d'un taxi pour rejoindre leur destination.
Les chauffeurs de bus interwilayas imposent aux usagers leur diktat leur imposant de descendre aux arrêts décidés par eux en ignorant les autres arrêts. Les usagers face à cet états de faits sont ainsi forcés de faire de longues trottes à pieds, ou débourser les frais d'un taxi pour rejoindre leur destination.
La gare routière du Caroubier d'Alger est l'une des plus grandes stations urbaines du pays. Des milliers de voyageurs fréquentent quotidiennement ce lieu de transit pour rejoindre les différentes wilayas d'Algérie. En dépit de l'importance et de l'envergure de cette infrastructure, la gestion y laisse à désirer, particulièrement en ce qui concerne la gestion des lignes. Le problème le plus récurrent est relatif essentiellement à la gestion des arrêts obligatoires. En effet régulièrement des querelles éclatent entre voyageurs et transporteurs à ce sujet. Des chauffeurs de bus qui imposent leur diktat en ignorant des arrêts jugées facultatifs, et des usagers qui s'insurgent contre cet état de faits, cela au vu et au su des agents de contrôle. Les voyageurs sont ainsi livrés à eux-mêmes et tentent de régler, àleur manière, ces aléas qui leur empoisonnent la vie face à des chauffeurs et des receveurs obtus et entêtés dès qu'il s'agit de temps à gagner et donc sous-entendu baisse des recettes. Cela est malheureusement visible au niveau de toutes les lignes. Les chauffeurs imposent aux usagers de descendre aux arrêts fixés par eux, les forçant ainsi à emprunter un autre bus s'il y en a, débourser les frais d'un taxi ou encore se déplacer à pieds sur de longues distances. Les bus desservent Tizi-Ouzou sont un exemple des plus illustratifs en la matière. Uniquement quelques bus, dits express Alger-Tizi Ouzou, ont l'autorisation de ne pas marquer d'arrêts marqués avant le terminus. Malheureusement, c'est pratiquement tous les bus qui ne respectent pas les arrêts pénalisant ainsi les usagers se déplaçant entre ces deux wilayas. La localité se situant à mi-chemin de ces deux villes, à savoir les Issers, et qui dessert elle aussi plusieurs localité du sud de Tizi-Ouzou, est la cause de cette pratique inexplicable des bus. Ainsi, des centaine de personnes, vieux, femmes, hommes et enfants sont ainsi victimes de ces chauffeurs sans que les gestionnaires des transports ne daignent remuer le petit doigt. Le plus révoltant, c'est que les jours où les receveurs n'arrivent pas àfaire le plein, les vendredis, ils n'hésitent pas à marquer de longues pauses pour inviter à monter les personnes attendant aux arrêts. Les régles régissant la profession sont ainsi bafouées et foulées au pieds, cela à cause l'indifférence et de la négligence des services de contrôle censées régir ces lignes. Les usagers se demandent qui pourrait prendre en charge leurs doléances, car jusque-là ils n'ont trouvé aucune écoute.
La gare routière du Caroubier d'Alger est l'une des plus grandes stations urbaines du pays. Des milliers de voyageurs fréquentent quotidiennement ce lieu de transit pour rejoindre les différentes wilayas d'Algérie. En dépit de l'importance et de l'envergure de cette infrastructure, la gestion y laisse à désirer, particulièrement en ce qui concerne la gestion des lignes. Le problème le plus récurrent est relatif essentiellement à la gestion des arrêts obligatoires. En effet régulièrement des querelles éclatent entre voyageurs et transporteurs à ce sujet. Des chauffeurs de bus qui imposent leur diktat en ignorant des arrêts jugées facultatifs, et des usagers qui s'insurgent contre cet état de faits, cela au vu et au su des agents de contrôle. Les voyageurs sont ainsi livrés à eux-mêmes et tentent de régler, àleur manière, ces aléas qui leur empoisonnent la vie face à des chauffeurs et des receveurs obtus et entêtés dès qu'il s'agit de temps à gagner et donc sous-entendu baisse des recettes. Cela est malheureusement visible au niveau de toutes les lignes. Les chauffeurs imposent aux usagers de descendre aux arrêts fixés par eux, les forçant ainsi à emprunter un autre bus s'il y en a, débourser les frais d'un taxi ou encore se déplacer à pieds sur de longues distances. Les bus desservent Tizi-Ouzou sont un exemple des plus illustratifs en la matière. Uniquement quelques bus, dits express Alger-Tizi Ouzou, ont l'autorisation de ne pas marquer d'arrêts marqués avant le terminus. Malheureusement, c'est pratiquement tous les bus qui ne respectent pas les arrêts pénalisant ainsi les usagers se déplaçant entre ces deux wilayas. La localité se situant à mi-chemin de ces deux villes, à savoir les Issers, et qui dessert elle aussi plusieurs localité du sud de Tizi-Ouzou, est la cause de cette pratique inexplicable des bus. Ainsi, des centaine de personnes, vieux, femmes, hommes et enfants sont ainsi victimes de ces chauffeurs sans que les gestionnaires des transports ne daignent remuer le petit doigt. Le plus révoltant, c'est que les jours où les receveurs n'arrivent pas àfaire le plein, les vendredis, ils n'hésitent pas à marquer de longues pauses pour inviter à monter les personnes attendant aux arrêts. Les régles régissant la profession sont ainsi bafouées et foulées au pieds, cela à cause l'indifférence et de la négligence des services de contrôle censées régir ces lignes. Les usagers se demandent qui pourrait prendre en charge leurs doléances, car jusque-là ils n'ont trouvé aucune écoute.


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