Le prix du ciment vient de dépasser le seuil symbolique des 1.400 DA le quintal. Si cette envolée des prix du ciment n'est pas vite jugulée, des milliers de travailleurs pourront à court terme perdre leurs emplois. Le prix du ciment vient de dépasser le seuil symbolique des 1.400 DA le quintal. Si cette envolée des prix du ciment n'est pas vite jugulée, des milliers de travailleurs pourront à court terme perdre leurs emplois. Malgré que le prix du ciment vient de dépasser le seuil symbolique des 1.400 DA le quintal, ce matériau a disparu des étals des revendeurs de matériaux de construction, a-t-on constaté. Cette montée en puissance du prix du ciment intervient après une relative accalmie dans les prix qui se sont stabilisés autour des 1.080 DA le quintal. Devant cet état de faits, les entrepreneurs engagés dans les différents projets tirent la sonnette d'alarme quant à la non-disponibilité de ce matériau stratégique en quantité suffisante et à des prix raisonnables, ce qui entraîne nécessairement, selon eux, des retards dans la livraison des projets et induit également des surcoûts de réalisation, d'où la nécessité, indiquent-ils, d'une intervention rapide et énergétique de la part des pouvoirs publics pour remédier à ce problème. Si cette envolée des prix du ciment n'est pas vite jugulée, des milliers de travailleurs pourront à court terme perdre leurs emplois. Il faut rappeler que lors de la dernière visite du ministre de l'Habitat et de l'Urbanisme dans la wilaya de Chlef, le représentant du gouvernement a rendu responsables certains entrepreneurs de cette situation. Il avait annoncé également l'importation d'un million de tonnes de ciment pour faire face à la pénurie. Toutefois, malgré ces assurances, force est de constater que le ciment promis n'est toujours pas arrivé. Ainsi, dans l'attente d'une hypothétique solution à cette épineuse crise, la cimenterie de Oued-Sly de Chlef continuera tant bien que mal à pourvoir le marché local en ce produit indispensable à toute construction. Cette dernière, rappelle-t-on, produit 7.000 tonnes par jour, dont 20% sont réservés à d'autres wilayas du pays (Alger, Boumerdès, Ghardaïa et Adrar). Malgré que le prix du ciment vient de dépasser le seuil symbolique des 1.400 DA le quintal, ce matériau a disparu des étals des revendeurs de matériaux de construction, a-t-on constaté. Cette montée en puissance du prix du ciment intervient après une relative accalmie dans les prix qui se sont stabilisés autour des 1.080 DA le quintal. Devant cet état de faits, les entrepreneurs engagés dans les différents projets tirent la sonnette d'alarme quant à la non-disponibilité de ce matériau stratégique en quantité suffisante et à des prix raisonnables, ce qui entraîne nécessairement, selon eux, des retards dans la livraison des projets et induit également des surcoûts de réalisation, d'où la nécessité, indiquent-ils, d'une intervention rapide et énergétique de la part des pouvoirs publics pour remédier à ce problème. Si cette envolée des prix du ciment n'est pas vite jugulée, des milliers de travailleurs pourront à court terme perdre leurs emplois. Il faut rappeler que lors de la dernière visite du ministre de l'Habitat et de l'Urbanisme dans la wilaya de Chlef, le représentant du gouvernement a rendu responsables certains entrepreneurs de cette situation. Il avait annoncé également l'importation d'un million de tonnes de ciment pour faire face à la pénurie. Toutefois, malgré ces assurances, force est de constater que le ciment promis n'est toujours pas arrivé. Ainsi, dans l'attente d'une hypothétique solution à cette épineuse crise, la cimenterie de Oued-Sly de Chlef continuera tant bien que mal à pourvoir le marché local en ce produit indispensable à toute construction. Cette dernière, rappelle-t-on, produit 7.000 tonnes par jour, dont 20% sont réservés à d'autres wilayas du pays (Alger, Boumerdès, Ghardaïa et Adrar).