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On achève bien les cadres qui veulent retourner au pays !..
Publié dans Le Quotidien d'Algérie le 10 - 10 - 2012

Les responsables algériens n'arrêtent pas de tancer l'élite algérienne de retourner pour investir au pays et participer ainsi au développement du pays. Un cadre, ayant cru à cette farce, a tenté depuis 2 ans à contacter tous les responsables agricoles pour l'aider dans son entreprise. Il a effcetué 7 voyages en Algérie depuis août 2011. Même le PDG de la BADR lui a refusé un simple entretien.
Pourtant, il n'allait pas les mains vides. Sa particpation financière était conséquente, 20 millions de dinars mais surtout il proposait de créer une souche avicole à terme et surtout vulgariser une technique culturale qui aurait permis aux agriculteurs algériens d'atteindre des rendemants appréciables dans le domaine des cérèales. Inutile de vous dire qu'il a aussi le titre de docteur en agronomie et qu'il était rompu aux techniques modernes en cours dans le monde.
De dépit, il vient de transmettre un courrier à Monsieur le PDG de la BADR. Nous vous le soumettons pour appréciation :
Nous avons juste ôté les coordonnées de l'auteur
Nîmes le 31 mai 2012
A L'aimable attention de Monsieur Boualem Djebar
Président Directeur Général
De la Banque Algérienne du Développement Rural
17, Boulevard Colonel AMIROUCHE
16000 ALGER
Lettre recommandée avec accusé de réception
Objet : Pouviez-vous justifier votre mépris à mon égard ???
Monsieur,
En date du 20 janvier 2012, je vous avais transmis un courrier reçu par vos services, vous demandant de bien vouloir examiner une demande de crédit relative à la création d'un projet agro-industriel qui aurait permis à 35 jeunes chômeurs de trouver un emploi.
J'ai reçu une réponse « alambiquée » de votre directeur chargé des investissements qui m'avait précisé que vous n'accordez pas de crédit pour l'acquisition de foncier.
Pourtant, j'ai suivi les péripéties de la société TONIC de Bou Ismail qui avait eu les faveurs de la BADR où les anciens gérants avaient obtenus des crédits colossaux qui leur avaient permis d'acquérir tout le haut de Bou Ismaïl !…
J'ai d'abord préparé une réponse adaptée à sa réponse, réponse que j'avais soumise à un haut cadre des finances algériennes qui m'avait dit du haut de ses 80 ans, « si tu veux te griller complètement et dire adieu à ton projet envoie-là ». Et il a finit par me dire qu'il y a encore des hommes de bonne volonté en Algérie et c'est lui qui m'a conseillé de vous contacter directement.
Par la suite, le 23 février 2012, je vous avais transmis une demande d'audience aussi humble que sincère.
A ce jour, je n'ai reçu aucune réponse.
Maintenant que j'ai perdu tout espoir de réaliser mon ambitieux projet, je vous transmets la réponse que j'avais préparée à votre directeur qui avait apposé une griffe illisible MEETARI MEETIR ou MMETARA. C'est le courrier daté du 10 février 2012.
Eh pourtant, je ne voulais qu'investir dans mon pays. J'ai toujours rêvé d'un complexe avicole qui emploierait à termes 35 jeunes. J'ai réalisé l'étude et il ne me manquait que l'assiette foncière pour le réaliser.
Par la suite, j'ai transmis une demande de concession de terres à Monsieur le Ministre de l'agriculture ; demande à ce jour restée sans réponse.
Voyez-vous, Monsieur le PDG, je suis âgé de 61 ans et j'ai quitté l'Algérie en 1989 lorsque des monstres d'un nouveau genre (les islamistes), sont venus « nous éclairer » sur un Islam qui n'est ni le mien ni celui de mes ancêtres, Islam tolérant et épris de justice.
Je suis arrivé à cet âge, me posant la question de savoir si j'avais bien fait de quitter le pays.
Je me souviens aussi, un jour de l'année 1980, lors de la création de la BADR, j'avais postulé pour un poste d'encadrement. Les responsables de la banque en création m'avaient bien précisé qu'ils souhaitaient que je sois recruté au niveau de la cellule dirigeante de la dite banque en création. Un responsable m'avait même dit en substance : « Monsieur , avec vos diplômes, vous serez sans doute dans un proche avenir le PDG de cette banque ». J'avais refusé parce que j'étais à l'époque Vice-recteur à l'université de Batna où je percevais déjà 7500 DA et on me proposait à la nouvelle BADR un salaire de base de 4500 DA.
Et pourquoi m'avait-il asséné cette phrase qui m'avait flatté sur le coup ? Eh bien, tout simplement, Ya Monsieur Si Boualem Djebar, parce que j'étais le 3ème Docteur en économie rurale de l'Algérie indépendante, avec pour option « administration du développement agricole et de l'espace rural !… » Avec mention honorable du jury et ce le 30 mai 1980 à la faculté de Droit et des Sciences Economiques de Montpellier. Diplôme que je vous avais transmis, espérant apporter du crédit à ma demande !…
Où étiez-vous Monsieur Boualem Djabar le 30 mai 1980 pour vous permettre de ne pas me répondre à ma demande d'audience ?
Je parierais que vos n'avez même pas mes compétences, que vous avez été désigné à votre poste soit par cooptation, soit par népotisme ou autre ingrédient qui sont en train de rendre notre pays une contrée inhabitable où ses enfants se jettent à la mer en disant : « On préfère être bouffés par des poissons que par des asticots !…
Et si je me suis permis de vous apporter une réponse adaptée à votre attitude, c'est que j'ai appris ce jour 31 mai 2012, que vous aviez inauguré en compagnie de Monsieur le Président de la République, la Foire internationale d'Alger qui allait encourager « les investissements en Algérie !… » Je transmettrais l'ensemble de mes courriers ainsi que ce dernier à la présidence de la république pour montrer aux responsables du pays la façon dont vous traitez un haut cadre qui ne souhaitait que rentrer au pays pour y créer 35 postes d'emploi.
Voyez-vous, Monsieur « le PDG », j'ai mis en ligne le courrier que j'avais transmis à Monsieur le Ministre de l'agriculture lorsque je lui demandais une concession de terres. Savez-vous ce que m'a répondu un internaute qui semblait très au fait de la réalité algérienne : « Monsieur, ne vous fatiguez pas, le ministre ne vous répondra pas, ne perdez pas votre temps en essayant de dialoguer avec les ennemis de l'Algérie. Votre projet n'aboutira pas et savez-vous pourquoi ? Parce que tout simplement, vous êtes algérien ! » Et il a finit par me dire : « si vous étiez autrichien, allemand, français, américain ou autre, on vous répondra, on vous accueillera à l'aéroport et on vous donnera une belle concession !… »
Sur ce dernier point, il avait bien raison. Gérard Depardieu n'a-t-il pas été reçu comme un Dieu en Algérie par son ami Moumen Khalifa et n'a-t-il pas eu des vignes somptueuses du côté de Tlemcen ?
Ceci pour vous dire, Monsieur « le PDG » qu'il avait bien raison cet internaute et pour cause. Je voyage fréquemment en Algérie et la dernière fois en partant du pays, à l'aéroport d'Alger, c'était juste au début du mois, le 3 mai 2012. J'ai éclaté en sanglot devant les policiers de la PAF. Le chez de poste est venu s'enquérir de mon malheur. Je lui ai raconté un peu ce que je subissais de votre part et surtout parce les allées étaient encombrées de.... CHINOIS !…
Continuez sur votre lancée Ya Monsieur Boualem Djebar, et dites-vous bien que vous tromperez quelques personnes de temps en temps mais vous ne tromperez pas tout le monde TOUT LE TEMPS.
Si j'ai fait l'effort de tenter de revenir au pays à mon âge, c'est tout simplement parce que j'étais malade de constater que pour les 8 premiers mois de l'année 2011, l'Algérie a importé pour 37 milliards de denrées alimentaires. Vous devriez en avoir honte Ya Si Boualem Djebar.
Je ne vous donne que deux paramètres que devriez d'ailleurs connaître :
* De 1975 à 2010, le pauvre dinar algérien a été dévalué de 57 fois !…
* Pour un domaine que je maîtrise parfaitement. En 1989, je vendais les œufs de ma production à Batna à 0,40 centimes l'unité. Actuellement la même unité est proposée à 12 DA, soit une augmentation de plus de 700 % !…
Continuez sur votre lancée Ya Si Boualem Djebar et je suis certain que lorsqu'Allah vous rappellera à lui (à moins que vous n'envisagiez pas cette issue), il n'y aura pas de place au cimetière !…
Si cette lettre vous a quelque peu sensibilisé et que vous conclurez que vous avez affaire à un vrai nationaliste et que vous décidez de m'ouvrir une ligne de crédit de 150 millions de DA (15 milliards de centimes remboursables en 5 ans) nécessaires à l'acquisition de 4 hectares de terre et à l'équipement (déjà commandé), je rentre demain à Alger.
Je précise que je dispose en fonds propres de 20 millions de dinars.
Si vous pensez que vous avez affaire à un illuminé, passez votre chemin et gardez bien votre banque. Moi, je m'en remets à Allah qui vous demandera de comptes le jour où soufflera dans la trompe...
Recevez, Monsieur, l'expression de mes sentiments les plus dégoûtés et dépités.
P.J : Les différents courriers que je vais transmettre aux hautes autorités du pays et


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