A mes petits camarades qui se plaignent toujours de ne pas avoir brûlé leurs vaisseaux et d'être restés au pays, je peux faire suivre le message que m'a envoyé un ami qui vit dans une froide ville d'Europe. Froide au sens d'absence de chaleur humaine. «Moi qui n'ai jamais cru en l'Aïd quand j'étais au pays, tu ne peux pas savoir comme je suis triste que ce soit une journée comme une autre, sans visite de famille, sans les gosses sapés et heureux, sans..., sans....» Ben voilà, chaque situation a ses avantages et ses inconvénients ! A. T. [email protected]