Comment esquisser une marche arrière quand on a, jusque-là, foncé à tout berzingue comme un bélier dans une descente ? C'est l'exercice délicat auquel s'essaye en public Ould-Abbès qui apprend, à cette occasion, un nouveau métier, celui de souffleur. Il n'a pas cessé de marteler que 5e mandat, il y aura mordicus, fiha-fiha. Et, maintenant, il commence à laisser planer l'ombre du doute. C'est un peu le souffleur soufflé ! A. T. [email protected]