Nous, retrait�s non-salari�s, affili�s � la Casnos de la wilaya de Constantine, signataires de la pr�sente dol�ance, avons l�honneur de nous adresser � notre quotidien national Le Soir d�Alg�rie,seule et unique publication qui prend en charge les pr�occupations de tous les retrait�s � travers la rubrique hebdomadaire �Le Soir Retraite�. Notre but est d�interpeller l�autorit� concern�e par l�application de la l�gislation en vigueur � tous les retrait�s sans distinction entre salari�s (CNR) et non-salari�s (Casnos). Aussi, pour �tre plus pr�cis, il s�agit du non-respect des droits prescrits par la loi : 1. Non-application de la l�gislation relative aux revalorisations annuelles aux non-salari�s (Casnos) depuis l�ann�e 2003, malgr� plusieurs r�clamations rest�es sans suite � ce jour. 2. Non-respect du versement maximum des cotisations pour b�n�ficier d�une pension maximum. Or, tous les retrait�s quel que soit le nombre d�ann�es de versement des cotisations sont limit�s au minimum de 11,250 DA. 3. Pour l�assurance maladie chronique, les m�dicaments servis se limitent � ceux de la maladie concern�e, alors que cette maladie chronique est dans presque tous cas la cause d�autres pathologies. Ceci contrairement � la Cnas. 4. Pour permettre une relation officielle entre la Casnos et ses pensionn�s afin d�obtenir une collaboration qui va dans le sens de l�am�lioration de ses services qui n�existent que par les cotisations de ses affili�s, � l�instar de la CNR, nous demandons la mise en place des comit�s de liaison. Conclusion : Si la Casnos se d�bat dans des difficult�s financi�res par rapport aux d�faillances de paiement des cotisations de certains assur�s, cette situation ne lui permet aucunement de p�naliser ses assur�s en r�gle de leurs droits l�gaux, promulgu�s par les diff�rentes lois de la R�publique concernant tous les retrait�s� Signataires : Derouaz Abderhmane ; Arzour Abderrezak ; Boulakroune Slima ; Benzernadji Salah ; Bentobbal Hamdani ; Kames Mohamed ; Lacheheub Salah ; Sa�di Tahar ; Charad Mohamed et Benghar-Salah Brahim.
