La crise du centre �questre de Hamrouche-Hamoudi conna�t de nouveaux rebondissements. Et c�est la discipline hippique qui en p�tit. Dans une correspondance sign�e par le pr�sident par int�rim du club L��talon d�or, Riad Bouleghlem, et intitul�e �demande de soutien pour redynamiser l�activit� sportive�, il est fait r�f�rence � une s�rie d�entraves de la part de l�Assembl�e populaire communale de Hamadi-Krouma. Il en ressort que le conflit mettant aux prises le maire et le club dure depuis 4 ans. Le d�nouement ne serait pas pour demain, craint-on. �Ouverture et fermeture de la porte du centre comme il veut et sans explication, cr�ation d�une association parall�le, El-Assil, et la dotant de mat�riel nous appartenant et exclusion r�p�t�e de L��talon d�or�, tels sont, entre autres les griefs reproch�s au P/APC de Hamadi-Krouma, lit-on dans le communiqu�. Le pr�sident par int�rim du club rappelle �galement que le club n�a jamais b�n�fici�, comme on veut le faire croire, d�une quelconque subvention de la part de l�APC depuis 2007. La goutte qui a fait d�border le vase est li�e aux pr�paratifs de la saison sportive. �Deux jours seulement apr�s le d�but des entra�nements, soit le 3 septembre, nous avons �t� surpris par la d�cision du directeur du centre de mettre un terme aux activit�s. Selon les recommandations, nous avons introduit une demande aupr�s du P/APC en vue de nous permettre de reprendre du service. Notre demande est rest�e sans r�ponse�, rapporte le pr�sident par int�rim. L�interrogation est l�gitime, selon le communiqu�, tout autant que les contraintes subies par le club qui ont gagn� en ampleur, surtout depuis que le bureau du pr�sident a �t� attribu� � un employ� communal et que la cafet� devant �tre g�r�e par le club le soit par un agent communal qui applique des prix exorbitants. Nos tentatives de joindre le P/APC ont �t� vaines. Za�d Zoheir Un jeune de 25 ans retrouv� pendu � Ben-Azzouz Un jeune de 25 ans, habitant la localit� de Lakhrarta, dans la commune de Ben Azzouz, � une soixantaine de kilom�tres � l�est de Skikda, a �t� retrouv� par son p�re, dans la matin�e de vendredi, pendu � un arbre � quelques encablures de la demeure familiale. Il avait les yeux band�s. La ville est sous le choc. Les raisons ayant �t� � l�origine de cet acte restent inconnues.