Une d�l�gation compos�e essentiellement des membres de l�APW de Tizi Ouzou a pos� le pied dimanche dans la commune de Timizart pour s�enqu�rir de l��tat du secteur �ducatif, notamment son volet inh�rent aux infrastructures des diff�rents paliers scolaires. L�objectif �tant d�abord la circonscription des probl�mes mis au-devant du cursus scolaire de diff�rents enfants de la commune pour ensuite envisager des perspectives de r�solution. Pour rappel, cette commune est l�une des plus peupl�es de la wilaya et compte pr�s d�une vingtaine d��coles primaires, quatre CEM et un lyc�e. Les �coles de la commune ne souffrent nullement d�une quelconque baisse d�effectif, d�ailleurs une progression constante du nombre semble continuer son ascendance, ce qui provoquera certainement une surcharge pour cette ann�e eu �gard � l�arriv�e simultan�e des deux niveaux que sont la 5e et la 6e ann�es. La commission se penchera sur la capacit� de l�infrastructure existante � absorber le flux d��l�ves recens�s pour la rentr�e scolaire prochaine, mais surtout il est attendu d�elle une r�elle prise en charge de nombreuses d�faillances existantes dans ce secteur et qui passe assur�ment par la r�alisation d�autres infrastructures. C�est en tout cas ce qu�esp�rent la famille �ducative de la localit� et l�ensemble des parents d��l�ves. Au CEM Amatoui d�Abizar, la commission fut accueillie par l�administration de l��tablissement, et le comit� de village local qui s�est joint � la d�l�gation pour les �ventuels entretiens inscrits � l�ordre du jour et se rapportant au devenir du m�me CEM. C�est ainsi d�ailleurs qu�on a appris la construction de deux nouvelles salles de cours comme action urgente d�cid�e par les autorit�s de la wilaya pour parer au nombre d��l�ves qui augmentera facilement pour atteindre les 1000 �l�ves au lieu des 700 d�j� existants. Une d�cision qui s�inscrit en amont de la programmation d�un nouveau CEM dont la construction se fera en dur et dont les travaux d�buteront incessamment. Une nouvelle acquisition engag�e, faut-il le dire, ind�pendamment de ladite commission. A l�instar des 4 CEM, le lyc�e dont l�actuel effectif avoisine les 1000 lyc�ens, et qui verra d�ferler encore une masse importante d��l�ves, sera-t-il en position de les accueillir ? Une question, somme toute, l�gitime quand on sait que quelque temps auparavant m�me les tables et les chaises faisaient d�faut au sein de cet �tablissement. En tout cas, bien des constats seront �tablis en vue d�asseoir une id�e fixe sur ce qui a �t� fait et ce qui reste � entreprendre. Selon les parents d��l�ves, ce travail est � juste raison consid�r� comme opportun. F. B. AGHRIBS La moiti� du village sans �lectricit� depuis 6 jours Pour la moiti� du village Aghribs, le retour � la bougie comme moyen d��clairer leurs nuits est de mise depuis 6 jours d�j�. Les conditions climatiques qui ont pr�valu lors du week-end pass� ont provoqu� une panne dans l�alimentation et ce, depuis mercredi dernier sans que les service de la Sonelgaz d�Azazga arrivent � r�tablir le courant pour une cinquantaine de foyers et de commerces. Le m�contentement est pr�visible notamment sur le visage de quelques commer�ants qui risquent de perdre une bonne partie de leurs marchandises. D�autres qui avaient pr�vu cette �nergie comme moyen de chauffage se retrouvent compl�tement d�sorient�s. Les services de la m�me soci�t� ont fait de nombreux va-et-vient sans arriver � venir � bout de la panne. On parle d�un transformateur d�fectueux et dont le remplacement exigera quelques jours de plus. Il faut dire que les citoyens de la localit� citent des cas o� ladite soci�t� ne s�empresse pas de fournir une prestation � la hauteur de sa notori�t�. On parle d�un c�ble d�une ligne �lectrique au village A�t-Ouchen emport� par le vent depuis mercredi sans que ses services daignent le remplacer, un c�ble, � juste titre, nou� de fa�on artisanale et d�j� signal� aupr�s des services concern�s. En vain. Un autre citoyen du village Aghribs parle d�une coupure d��lectricit� pour non-payement d�une facture et qu�une fois honor�e il a d� attendre 5 jours pour qu�on lui r�tablisse le courant. En attendant le retour � la normale, les citoyens restent perplexes et n�arr�tent pas de faire un parall�le quant � la rapidit� dont fait part la Sonelgaz d�Azazga s�agissant de coupures lors de non-paiements d�une moindre facture et les lenteurs de leur intervention en cas de panne.
