Pour la énième fois, des journalistes de la télévision publique ont observé hier, un sit-in devant le siège de l'EPTV, pour revendiquer la «liberté d'expression». «On ne peut pas faire une transition démocratique et aspirer à une Algérie nouvelle avec des médias muselés», estiment les protestataires qui ne comptent pas continuer à subir les pressions et la censure de leur direction.