Un bookmaker verse une cotisation annuelle au musée d'histoire naturelle de Londres contre une expertise des restes du monstre du Loch Ness s'il venait à être retrouvé. Révélé par des documents d'archives du musée, l'accord avait été formalisé en 1987. William Hill, le bookmaker, rémunère ainsi le musée en échange d'une identification positive de l'insaisissable créature du lac. L'accord couvrirait aussi la créature qu'on appelle le yéti. Un porte-parole de William Hill a ainsi confirmé que les relations entre son client et le musée se poursuivraient. «Nous sommes tributaires du musée pour qu'il nous dise si une carcasse qui émergerait de l'eau était un poisson ou une créature inconnue jusqu'à présent.» Un document interne au musée datant de 1959 a aussi été retrouvé, dans lequel l'auteur déconseillait au personnel du musée de faire de telles recherches de peur que cela nuise à la réputation et à la crédibilité de cette institution.