De plus en plus nombreuses, les supérettes et autres épiceries se sont habituées à n'afficher quasiment plus les prix des produits, de sorte que les clients se voient contraints d'accepter le fait accompli au moment de passer aux caisses. Cette pratique généralisée est évidemment encouragée par l'absence criarde des contrôleurs représentant le secteur du commerce qui est, en principe, chargé de veiller au strict respect des règles énoncées dans le registre relatif à telle ou telle activité. Démission ou complicité? La question reste posée.