Ce que vit l'Algérie aujourd'hui n'est autre qu'un complot ourdi, qui a été fomenté dans les capitales impérialistes sous le fallacieux programme s'intitulé «le Grand Moyen-Orient», le (GMO), en l'occurrence. Ce programme qui a choisi une sémantique pernicieuse, mais «captivante» des esprits simplistes, à savoir le concept des «révolutions colorées» et le «printemps arabe», était conçu de la sorte pour préparer les germes d'une dislocation graduelle, mais certaine des pays ciblés et mis dans le viseur des puissances impérialistes en quête d'un nouveau redéploiement sur le plan international et une nouvelle recomposition des zones d'influence via la création des situations de crise en recourant à des éléments formés et préparés dans leurs laboratoires et semblants d'instituts pour « la démocratie» et la «liberté» dont le milliardaire et sioniste Soros et la CIA sont les «encadreurs» et les fomenteurs pour le compte des Etats-Unis et leurs alliés occidentaux. L'Algérie a fait l'objet de cette attaque avec l'avènement du semblant de «printemps arabe» dont les balbutiements avaient commencé à se cristalliser durant les années 2000 comme stratégie impérialiste des Etats-Unis et leurs alliés. L'idée même d'une transition sous le prétexte d'un changement démocratique qui était justifié en termes de situation objective, n'a pas cessé de prendre de la place et de la taille au niveau d'une partie de la classe politique opportuniste au nom des initiatives et des alternatives politiques face à la crise qui frappe les institutions de l'Etat et la mainmise d'une force oligarchique sur l'Etat et ses richesses. Avec l'émergence de l'élan populaire du 22 février 2019, le peuple s'est soulevé contre la tentative des oligarques qui ont squatté l'Etat à la faveur d'une compradore dont les intérêts sont inféodés aux puissances impérialistes qui sont derrière le fameux concept fumeux et fallacieux de la transition politique. Le peuple algérien dans sa majorité n'a pas cautionné le processus de bradage de l'Etat national via le cinquième mandat de trop pour faire durer les intérêts des oligarques inféodés à leurs mentors de l'Occident à travers leur candidat impotent et grabataire. Cet élan salutaire et intrinsèque a été vite récupéré par le Hirak 2 et ses multiples nébuleuses qui ont infiltré le Mouvement populaire et salutaire du 22 février 2019. C'est à ce moment crucial que l'idée d'une période de transition a pris tout son sens avec acharnement par les forces obscures dont leurs accointances avec les officines étrangères ont été prouvées et démasquées. D'ailleurs, ce n'est pas par hasard que la nébuleuse islamiste du Rachad avait mis le paquet pour entraîner la majorité des soi-disant «démocrates» et autres formations fantoches en signant une charte avec eux dans la perspective d'exiger un gouvernement de transition qui s'acheminerait vers une constituante. Cette erreur stratégique des semblants de «démocrates» avait suscité un tollé général de la part des partisans de l'Algérie démocratique et anti-islamiste. Mais l'idée persistait encore à travers les chantres de la transition dictée par leurs mentors de l'étranger aux agendas expansionnistes et néocolonialistes. On comprend, aujourd'hui, pourquoi lesdites nébuleuses qui travaillent pour le compte d'une seule force, à savoir la force impérialo-sioniste et ses tentacules. Le complot et le plan ourdi n'ont rien de hasardeux, ils ont été préparés minutieusement par des officines étrangères en utilisant tous les éléments susceptibles de nuire au pays via des revendications inspirant la division et le chaos comme c'est le cas pour la nébuleuse obscurantiste du Rachad et ses inféodations supranationales et la nébuleuse des doctrinaires identitaires et leur caractère fasciste visant le séparatisme et la provocation de la dislocation de l'entité et de la cohésion nationales.
