Depuis le 7 octobre dernier,larmée de l'entité sioniste a fait plus de 10.000 morts à Ghaza dont 70% sont des femmes et des enfants qui sont ses principaux objectifs, usant d'armes chimiques et d'armes interdites. Une entité qui terrorise le monde entier par ses crimes contre l'humanité avec l'aide des USA, l'Angleterre, la France, l'Italie et l'Allemagne. Des pays qui se sont unis d'accord autour d'une décision : «L'épuration ethnique de Ghaza ». Car contrairement au prétexte avancé par ces pays, la guerre immonde qu'ils mènent n'est pas contre le Hamas, qui lutte pour ses droits à la liberté et à sa terre spoliée, mais contre tous les Palestiniens. Les images sont la meilleure preuve des crimes de guerre commis par un occupant qui prend pour cible également les journalistes et leurs familles. « Le Syndicat des journalistes palestiniens a annoncé mardi soir que le nombre de journalistes et professionnels de médias tués dans la guerre lancée par Israël à Ghaza depuis le 7 octobre, s'est élevé à 38 », à ce chiffre s'ajoute deux autres qui ont été tués mercredi et jeudi. Soit 40 journalistes ont été assassinés. « Ces journalistes et professionnels des médias ont été tués à la suite des bombardements de l'armée d'occupation israélienne », a déclaré le syndicat dans un communiqué sur Facebook. Le syndicat a affirmé que « les domiciles d'au moins 35 journalistes ont été bombardés soulignant que des dizaines de membres de leurs familles ont été tués, dont le ciblage délibéré de la famille du journaliste Wael Al-Dahdouh, correspondant d'Al Jazeera, qui a perdu sa femme, deux de ses enfants et son petit-fils ». Pour le syndicat « ces actes odieux sont le prolongement d'une politique systématique visant à cibler et à tuer des journalistes palestiniens ». La même source ne manquera pas de rappeler que l'armée de l'entité sioniste « a tué 55 journalistes palestiniens entre 2000 et 2023 », dont la martyre, la journaliste Shireen Abu Akleh, en mai 2022.Les forces d'occupation ont coupé tous les moyens de communication avec la bande de Gaza, y compris Internet, et les réseaux téléphoniques à deux reprises. « La communication est toujours limitée et sujette à des perturbations et des interférences, ce qui permet à Israël de perpétrer ses massacres en sourdine, loin des caméras des médias internationaux », a expliqué le syndicat. Reporters sans frontières, qui tente de maintenir le contact avec les confrères présents à Ghaza, a déposé mardi une plainte pour crimes de guerre contre les journalistes. Les journalistes doivent pour ça payer très cher pour quelques minutes de connexion, même si certaines agences de presse internationales ont le matériel nécessaire pour capter le réseau égyptien. Comme il a été constaté « la plupart des journalistes parviennent à transmettre leurs images et leurs informations depuis des tentes montées à proximité des hôpitaux, qui disposent d'un peu d'électricité. Mais certains hôpitaux sont bombardés… Des confrères choisissent de retourner dans la ville de Ghaza pour se connecter quelques minutes et envoyer leurs infos, malgré les bombardements très intenses. Ils prennent des risques énormes », a fait savoir Reporters sans frontières. Mais même les hôpitaux sont bombardés. Manquant de carburant ils sont tous hors service. Un massacre jamais vécu par l'humanité signé par une secte aux tendances fanatiques pour qui des pays occidentaux doivent mourir car leurs troupes militaires participent au crime de guerre.