Décidément, le football est vraiment le sport roi du monde et du pays. Que de tempêtes ne soulève-t-il pas à l'approche de ces deux échéances sportives! Or, depuis le temps que les gens crient en la présence près de la bergerie EN, au «carnassier-chacal», les Algériens, toutes générations confondues se mettent à pleurnicher, attirant ainsi l'ire des amateurs du beau foot à l'algérienne, qui, en vérité est né et «décédé» sur, et dans les terrains vagues, qui ont, hélas, tous disparu, au profit de nécessaires infrastructures. C'est alors que surgirent du fond des «studios-TV-garages» et autres «hangars-studios-TV» qui ont vite tourné casaque, pour entrer carrément dans l'antre de la diffamation, de la médisance, de fake-news, de contre-vérités et que sais-je, encore? Ce fut ensuite l'assaut de «destruction de la montée du mur de protection» dressé et organisé pour protéger les «garçons» propres candidats aux prochaines consécrations! L'assaut en question fut dirigé contre le seul, et incomparable Djamel Belmadi, coupable, selon les spécialistes maisons de trouvailles footballistiques, techniques, et «robotiques» de manque de talent de tacticien, de faible en coaching, et autres absence de toute connaissance en foot. Puis, s'apercevant que toutes les attaques verbales, écrites et télévisuelles, rabâchées, n'avaient pas réussi à pousser le coach national à remettre le tablier, on alla droit sur sa vie privée. On attira l'attention des fans sur l'indisponibilité de Djamel Belmadi à résider perpétuellement à Alger. Ensuite, on sortit avec méchanceté, une histoire de paie «exagérée», de primes détournées, et d'autres trucs bizarres, jusqu'au moment où la FAF pondit un texte appelant les parties prenantes au beau et sain, projet footballistique, mené de main de maître par Belmadi, de faire bloc autour de «leur» équipe chérie! «Ce n'est pas normal d'arriver à ce stade d' «appels, ou même de SOS, de la fédération qui doit abriter des gens qui n'aiment pas ce, à leurs yeux, «taré têtu» de sélectionneur national, qui leur fait de l'ombre depuis 2018! Au milieu de cet «océan» de faux problèmes, de crocs-en jambe, de tentatives de déstabilisation de l'EN, le coach national continue, sous les yeux de Walid Sadi, le président de la Fédération algérienne de football, son petit bonhomme de chemin. Le terrain, seul juge Oh, non, les enfants. Du calme, et un calme plat, puisque la CAN va se jouer entre vieux briscards. Le terrain sera seul juge. Ce sera à lui de décider, qui méritera le sacre en février 2024. Donc, le boulot est à faire par le staff de Djamel Belmadi. Faisons-lui confiance. Il le mérite, et haut la main, depuis 2 018, depuis qu'il est venu, du Qatar, laissant derrière lui, des milliards de centimes algériens, proposés par les clubs et fraîches équipes du désert, locaux, en mal de gloire nouvelle sur cette terre qui «pue» le fric à des kilomètres de la banlieue parisienne (France) où il a vu le jour en 1976. Il est arrivé à Sidi Moussa (Alger), la gibecière pleine de cartouches, prêtes à toucher la cible, de l'époque, à savoir le trophée tant désiré par le continent noir en entier. Il était arrivé en terre pharaonique, avec une désormais bande de talentueux-footballeurs-copains, qui avaient entendu, compris, et suivi «Djamel», dans sa folle entreprise. La suite, on la connaît jusqu'au retour, en 2019, de la victorieuse délégation algérienne à Dar El Beïda (Alger). Entre-temps, la nouvelle FAF, elle, avait commencé un inattendu travail de «sape» du foot national, par l'envoi d'un fax assassin, demandant humblement le «renvoi» pur et simple des snippers algériens, enfouis dans les «artères» de la sinistre Confédération africaine de football. Ce fut fait, selon le désir consenti des nouveaux dirigeants algériens. Commencera alors le début des bêtises de la nouvelle direction du foot national. «L'homme» qui fut derrière ce coup de poignard dans le dos de la pauvre Algérie, en perdra alors le sommeil, et se retirera plus tard, dans une ambiance flétrie. Et puis survint le temps des lamentations, des pleurs, des griffons sur les joues, des complaintes, et la poussée des «Ah!». Avant que l'on ne devienne la risée de tout le continent africain, et de l'autre, où les voisins immédiats, ne sont autres que le Qatar, les Emirats, l'Arabie saoudite, la Syrie, et autres Oman. Qu'y pouvons-nous? Nous nous jalousons les uns, les autres, pourquoi? Les privilèges? Oui, mais jamais sur le dos du pays des millions de martyrs! Ils n'auront jamais mérité un tel sale, vil et excrémentiel traitement. Ah, nous allions complètement oublier le «fric», ce truc qui pourrit tout. Cette «chose» par qui arrivent des milliers de scandales, où des milliers de détenus, et parmi eux, des «cols blancs», croupissent dans les dizaines de pénitenciers du pays! Le fric, Le pèze, le dinar, le dirham, l'euro, le dollar, sont les menues monnaies qui arrangent tout, ou qui dérangent tout. Cela dépend qui les distribue. Mais aussi, cela dépend aussi qui s'en sert, et à quelles fins? Entre tout ce méli-mélo, nous rencontrons les intermédiaires, ou si vous voulez les managers. Cela fait plus soft, plus cool, et moins escroc! Combien d'ex-très grands joueurs vivent de nos jours, en dessous de la mendicité? Oh, bien sûr! La majorité d'ex-stars et grands athlètes se sont bien installés, très loin, et à l'abri du besoin quotidien. Alors faire d'un coup sur la nuque, deux coups sur la face, est un exercice très facile, aujourd'hui! La solidarité a f...le camp, depuis belle lurette. Les lampions se sont éteints depuis très longtemps, et les troubadours sont rentrés at home. Les notes se sont volatilisées, et le son perdu dans les airs des stades désormais, quasi vides, car il n'y a plus rien à voir. «Choukchouka-piquante- salée et, surtout brûlée» Tenez, par exemple, le temple du 5-Juillet de la capitale faisait le plein, lors des sorties du grand Mouloudia d'Alger, dans les années 70. Il y avait alors 18 millions d'âmes dans le pays. Aujourd'hui, avec une population de 45 millions d'habitants, le meilleur des stades fait à peine moins de 50 000 places, alors qu'il pouvait en accueillir le double, qu'en 1976! Une équipe fait la loi, à chaque sortie, des scores lourds, face à des teams drôlement handicapés, par la faute des règlements intérieurs de la FAF. Des dirigeants qui ne savent même pas s'exprimer, d'autres, honteux de leur passivité en 2017, n'osent plus l'ouvrir publiquement. Les plus hardis vous lanceront dans les micros tendus, cracheront que leurs supporters se souviendront du sort fait à leur équipe qui venait de plier l'échine at home, face à plus fort qu'elle. Des arbitres menacés directement, ou en «silence», sans qu'une petite sanction ne vienne mettre le holà, dans cette «choukchouka-piquante-salée et, surtout brûlée»! Heureusement, l'EN est épargnée, le temps de la tenue de la coupe d'Afrique, qui doit se dérouler prochainement en Côte d'Ivoire. Pour ce faire, Djamel Belmadi et le reste des responsables algériens, ont choisi le Togo, pour s'acclimater au temps de Bouaké, ville située à 350 km d'Abidjan, capitale du pays voisin, où se déroulera la compétition. Durant la présence du team algérien, deux rudes rencontres amicales, seront livrées face au Togo et au Burundi. Ces joutes devanceront les matchs officiels contre l'Angola (15 janvier 2024), puis le Burkina Faso, et la Mauritanie. Croisons les phalanges, et attendons donc dans la sérénité voulue par le fair-play du foot, ce virus qui mine le monde sportif, les luttes loyales de nos «Verts», en entonnant en choeur, les vivifiants «1,2,3, viva l'Algirè!», sans nous soucier des fameuses et fantomatiques, «coulisses», ce mot que nous rejetons dans le détail, comme en gros, dans les poubelles de l'histoire footballistique.