Le MCA et l'USMA, se sont battus, les tripes nouées de crainte d'être enfoncés par une très mauvaise surprise. Dans les tri-bunes, il y avait le vrai derby. Les Algérois se sont très bien amusés. Il y avait de quoi ! Sur le terrain, peu de jeu. Belaïli a dû recourir au cinéma, et voulait obtenir absolument son penalty. Il obtint un carton jaune. Et c'est en soi, une très mauvaise nouvelle, car pendant la CAN 2023, ce sera un carton « rouge » pour contestation de décision ! Djamel Belmadi doit impérativement le dire, et redire à ses joueurs : l'arbitre a toujours raison. Il le répètera avant chaque confrontation. Point final ! À propos de derby, le coach national a prouvé qu'il a toujours raison en ne convoquant que les joueurs nés au-delà de la Méditerranée, car la formation de base, la discipline dans le jeu, et le respect des consignes du coach, n'existent pas chez nous. Et encore, nous évitons volontairement d'évoquer les forces en présence, des autres équipes participantes. La liste des joueurs a été donnée, vendredi par Djamel Belmadi, qui s'est régalé de la fête des Algérois, mais n'a rien retenu d'un match plat, insipide et ennuyeux. Un derby à oublier au plus vite. Circulez y' a rien à voir ! Oublions les couloirs et les coulisses de la CAF Quant à la liste des partants pour Lomé (Togo), et Bouaké (Côte d'Ivoire) aucune surprise, n'a été relevée, sauf, bien sûr, celle de l'absence d'Amine Gouiri (et non Ghouiri), déclaré à la dernière minute, inapte pour cause de blessures, selon son propre club ! Et alors là, ce fut le début d'un carrousel de mensonges, comme d'hab. Pour ceux qui avaient d'illustres noms, nous ne trouvons ni Yacine Brahimi, ni Adam Zorgane, ni Amir Sayoud, ni Djamel-Eddine Benlamri, ni Himed, ni Halaïmia, ni Ayoub Abdellaoui, ni Farouk Chafaï, ni Benayad, ni Chems-Eddine Rahmouni, ni Oussama Chita, ni Tahar Feth-Allah, ni Benabderahmane, ni Mostefa Zeghba, Ni Benayada, et même pas Belkhiter : donc les formations de la « rue » et des « fast-food » resteront à la maison en 2024 ! Lors de la prochaine conférence de presse du coach national, les confrères fans de joueurs non sélectionnés, doivent s'abstenir de commenter ; le temps est à l'union autour de l'Algérie ! Union autour de la magnifique bande à Djamel Belmadi. C'est ainsi que nous aurons aux côtés de l'exemplaire «boss of team of Algeria », le sympathique Riyad Mahrez, les valeurs sûres, comme Rayan Aït-Nouri, Mohamed-Amine Amoura, Houssem Aouar, Youcef Attal, Oussama Benbot, Nabil Bentaleb, Baghdad Bounedjah, Hichem Boudaoui, Ramy Bensebaïni, Zinedine Belaïd, Youcef Belaïli, Farès Chaïbi, Sofiane Feghouli, Kevin Guitoune -Van Den Kerkhof, Aïssa Mandi, Anthony Mandrea, Adam Ounas, Islam Slimani, Ahmed Touba, Med-Amine Tougaï, Yasser Laâroussi, Ramiz-Larbi Zerrouki. Allah bénisse ! Oublions les couloirs, et les coulisses de la CAF, et regardons l'avenir sereinement pour goûter aux évolutions de notre EN, vers la récente gloire de l'Algérie. Les blessures de Houssem Aouar, Rayan Aït –Nouri, sont passagères. Les poursuites lancées par les revanchards de l'Histoire de novembre 1954, contre Youcef Attal, sont terminées. Place à la concentration, à la mémorisation des consignes du staff, et au travail bien fait. Désormais, nous ne parlerons que des joueurs retenus. Donc, si tout va bien, nous ne garderons en tête, que les noms des joueurs retenus par le seul staff national. Au fond, Djamel Belmadi ne compte réellement que sur quatorze joueurs. Onze sont des titulaires à part entière. Trois remplaçants de très haute qualité. Le reste pourra suivre les exploits de leurs camarades, soit du banc, soit des tribunes ! L'essentiel étant bien entendu la bonne, et pourquoi pas, l'excellente participation des Fennecs, dans cette importante manifestation footballistique africaine, en terre ivoirienne, peut-être, (qu'Allah nous en préserve), entachée de grosses suspicions, de manœuvres dilatoires, de fâcheuses malversations. Nous ne ferons pas de salées tartines autour de l'arbitrage. Il faudra surtout, surtout espérer qu'il ne sera pas du tout, « noir », entaché de trucs antisportifs, désespérant et tuant. Que l'expédition 2023/2024, soit un véritable « safari », que nous pouvons même aisément traduire par «agréable voyage » en pleine jungle ivoirienne, qui va ouvrir, grands, les bras, à ses frères continentaux. Depuis le stade du 5-Juillet, ils ont tout vu ! Donc, mis à part l'arbitrage, rien ne pourra contrecarrer les légitimes ambitions, des petits-enfants des générations des historiques, fameuses « Trois Glorieuses », les journées qui ont vu les Algériens dire « non » définitivement à la perpétuation de la présence française en Algérie, lors des manifestations populaires des « 10, 11, 12, décembre 1960 , et du mois de janvier 1957 », qui a vu l'infernale grève des « Huit Jours » initiée par le Front ! Ce tour d'horizon a été effectué pour rendre un énième hommage aux valeureuses équipes de l'ALN, en 1956/1957, et celle du FLN, en 1958, initiatrices du football algérien moderne. C'est ainsi que grâce aux souvenirs d'enfance et d'ados que nous étions durant la guerre de libération, que nous avons pu vous faire vivre, en vingt : trente secondes, de grands moments historiques. « 1, 2, 3, viva l'Aldjirè! », sera repris par des millions d'heureuses et repues gorges déployées, à la suite des buts marqués et des victoires enchaînées en 2024, en Côte d'Ivoire-sœur. Les chevauchées des Ramy Zerrouki, Nabil Bentaleb et autres Med-Amine Amoura, Islam Slimani, Riyad-Karim Mahrez, Adam Ounas, seront là à nous réchauffer le cœur, le temps d'un match plein. Nous aurons aussi et surtout, le beau privilège d'avoir assisté, et vécu une autre coupe d'Afrique, ainsi et, peut-être, un 3e sacre des Verts en 2024 ! Puis, après la fête, les larmes de joie et de bonheur, tout ce beau monde fera partie du passé. Et ce beau monde sera composé du staff de Djamel Belmadi, de quelques encore, jeunes joueurs, et de quelques dirigeants de la FAF, si décriée par une grosse frange de faiseurs de scandales, petits ou grands, vrais ou imaginaires, préfabriqués ou façonnés, par des gens bien de chez nous. Une autre page de notre chère Equipe nationale, sera à écrire, et qui restera bien longtemps dans les cœurs des sportifs locaux et étrangers. En Côte d'Ivoire, Amine Gouiri sera absent, pour blessure. Ce n'est pas la fin du monde, car méconnu du grand public algérien. Fidèle à sa démarche, Belmadi n'en a pas fait, et ne le fera pour personne, un drame. Avec le reste de l'équipe, l'Algérie peut réussir de très bonnes choses, n'en déplaise à certains aigris. En définitive, les « anti-Belmadi » ont eu là, l'occasion rêvée pour déterrer le tomahawk et reprendre les hostilités, Djamel Belmadi, et sa « suite », à quelques encablures de l'ouverture de la CAN 2023. « Bien faire et laisser braire », dit l'adage ou si vous voulez, «la caravane passe… ». Djamel Belmadi, le coach national, jusqu'en 2026, a depuis très longtemps en tête, sa formation. Elle commencera par Anthony Mandrea, le gool – keeper à Wahab Raïs M'bolhi, et se terminera par Youcef Belaïli, à Amine Amoura ! Point barre !!!