Djamel Belmadi, l'entraîneur national, est, on le sait très bien, depuis cinq années la cible à atteindre. Cette cible a été fixée pour abattre, au plus vite, Belmadi, et se retrouver au centre d'un... milieu pourri, effacé au début du règne de Djamel, fait de gratuités, de cadeaux interdits, d'interminables parties de foot, à Sidi Moussa (Alger), de viles facilités, d'inutiles et moches diffamations, de discussions stériles, de propos d'estaminets, qui survivent au temps et au progrès, et d'une insupportable et invivable idée d'un confort...inconfortable, que le brave Djamel Belmadi, avait savamment, ôté de son chemin, juste après avoir pris son poste, en 2018. «Cinq défaites en cinq ans!» Se dirigeant, tant bien, que mal vers la Côte d'Ivoire, pour une saine et forte participation aux finales, Belmadi bosse, tête baissée, sans faire attention aux pâles «critiqueurs» de cinq centimes, ceux- là même qui ignorent tout de l'amour des couleurs nationales... Quand on aime son pays, le minimum serait de se taire, et de laisser les jeunes «Verts» avancer vers le succès, sans perturbation, ni parasitage ni inutiles «aboiements». Nous sommes même tentés de crier au «chacal», car heureusement, le «loup» ne vit que hors de l'Afrique! Oui, le vorace et malfaisant chacal rôde dans les parages, et les bons et dévoués gardiens du temple sont, heureusement, vigilants pour éteindre tout feu suspect! Que de déclarations à l'emporte-pièce devrons-nous encore supporter ces jours, où un entraîneur algérien, exerçant ailleurs, en Afrique, s'en est pris gratuitement, à Djamel Belmadi, histoire de le déstabiliser durant sept petits, malheureux mois, avant la confrontation! Ce procédé, indigne de vrais pros, n'en ajoute rien à la future raclée, que réserve la troupe de Djamel Belmadi à l'équipe candidate à la 1ère chute des «Fennecs», en 2023 ou, même 2024! Il fonce, tête baissée On peut toujours, vaincre à armes égales. On peut aussi vaincre une équipe en méforme, cet après-midi-là, où on peut triompher d'une manière éblouissante, qui ne laisse aucun doute sur ses capacités du moment. Le comble, c'est que l'Equipe nationale, gagne, et gagne très bien, malgré souvent, de piètres prestations! Les peuples exigent d'abord des résultats, pour qu'ensuite, on pense au «son à l'acoustique imperméable»! Et alors, où est le problème? Nous avons le choix: gagner en jouant très mal, ou perdre en livrant de belles parties, et donner ainsi l'occasion aux «ennemis» (il n'y a pas d'autres termes à utiliser), de couper à l'horizontale, en deux, le cou à Djamel Belmadi, et le renvoyer illico presto, au Qatar, ou à Paris, dans sa chère banlieue se rappeler aux bons souvenirs de son ami d'enfance, le doux coach national, sénégalais, Aliou Cissé. Mais ici, est une autre histoire. Qui n'a rien à voir avec notre sujet. Mais on ne pourra jamais vaincre par les menaces, l'intimidation, l'insulte gratuite, ou mieux encore, la levée du «glaive». La situation est telle, que la «guéguerre» anti-Djamel Belmadi /pro le coach national, n'est pas près de prendre fin. Notre pays est peut-être le seul à avoir autant d'adversaires. Chacun espérant le départ «volontaire», sans perte et fracas, de l'autre. Imaginez qu'à la veille du match à Maputo (Mozambique), d'illustres et sombres consultants, parlaient beaucoup plus du terne match, contre la Somalie, que d'autre chose! Personne n'a rappelé que les «Fennecs» avaient porté trois estocades aux faibles Somaliens! Cessez de critiquer pour casser On cherchait des poux sur le crâne pourtant bien dégarni, de Belmadi, ce brillant coach que la majorité des Algériens cajole, pour les brillants résultats, obtenus en terre africaine. Que de raclées, de déculottées, de fessées, l'EN a reçues dans un passé pas si lointain. Tout cela arrive alors que les consultants parlent toujours de l'Afrique, comme si «Tamourth» était située en Sardaigne, en Sicile, ou pis encore, aux îles «Canaries»! Chaque match, les perturbateurs proposaient, discutaient, charcutaient, sciaient, martelaient, se moquaient, insinuaient, en appuyant sur le champignon, de quoi mettre out cet empêcheur bonhomme de tourner en rond, ce prétentieux, cet arrogant personnage, ce hideux entraîneur venu, mettre out les amateurs de «confiseries-gratuites», ces messieurs qui veulent prendre tous les râteliers, et y picorer! Le dernier match face au Mozambique, aura été le tranchant et net couperet. L'insolente classe éblouissante d'Anthony Mandrea, et les buts de Farès Chaïbi et Ramiz-Larbi Zerrouki, ont sonné le glas de ces saboteurs nés. Zerrouki, qu'un petit, ex-éphémère international, (heureusement renfermé sur lui-même depuis un certain temps), avait vite fait de qualifier, sans honte, ni cran, de joueur à la chevelure de Rabiot, «banal». On a vu et entendu l'hypocrisie d' une autre ex-coqueluche des Algérois, qui avait nommé, un Algérien appelé «Larbi», «le Hollandais», qui a étalé et montré au cours d'un vrai match à enjeu, à l'extérieur, SVP, toute sa splendeur, son dur et solide apprentissage à la célèbre école de foot, d'Ajax d'Amsterdam (Hollande)! Sans parler du véritable coup de tonnerre, vécu en terre mozambicaine, en l'occurrence, les blessures successives d'Aïssa Mandi, et d'Islam Slimani, deux trentenaires, en fin de cycle, qui ont laissé leurs places à deux jeunes et prometteurs talents, Farès Chaïbi et Med Amine Amoura, qui ont fait parler, sur l'exécrable terrain de Maputo (Mozambique), la poudre noire, de quoi noircir les lendemains des déçus du maintien de l'entraîneur national, Djamel Belmadi jusqu'en 2026, si Allah ne le rappelle pas avant! Et encore, attention au retour probable, d'un certain guerrier, Ismaïl Bennacer, le roi ambulant des terrains toutes conditions réunies, qui sera là, grâce au nouveau règlement de la CAF, qui a élargi la liste à 27 joueurs, aux côtés des fins limiers, Riad Mahrez, combattant Youcef Atal, inusable, Sofiane Feghouli, le bourreau Islam Slimani, le bulldozer, Rayan Aït -Nouri, le feu-follet, Adam Ounas, le fonceur, Baghdad Bounedjah, le patient Mostafa Zeghba, l'intraitable Anthony Mandrea, le tranchant Ahmed Touba, le magicien Hichem Boudaoui, le magnifique Med Amine Tougaï, l'extraordinaire, Ramiz-Larbi Zerrouki, Oussama Benbot, le soldat Nabil Bentaleb, la locomotive Med Amine Amoura, le doux Aïssa Mandi, le cavalier, Farès Chaïbi, le guetteur Yasser Laroussi, l'ange gardien, Kevin Guitoune-Van de Kerkoff, le métronome Houssem Aouar, la machine Ramy Bensebaïni, l'aigle Amine Gouiri (et non Ghouiri), le battant Yassine Adli, éventuellement l'imprévisible Youcef Belaïli, (qui encore très loin de sa forme habituelle), le «vigie» Zinedine Belaïd, et la future «star», l'acrobate Badreddine Bouanani, sans oublier les jeunes aux dents longues, Adam Zorgane, Abdelqahar Qadri, et tous les jeunes qui sont là à l'affût, du moindre signe de Belmadi... La relève n'attend qu'un signe Un mot enfin à l'intention de ceux qui, par ignorance ou par mépris, parlent des résultats- non convaincants, nous leur répondons qu'ils feraient mieux de jeter un oeil sur les rencontres, et résultats finaux, du Nigeria, du Sénégal, du Cameroun, du Gabon, du Mali, de la Côte d'Ivoire, des «Bafana-Bafana», de la Tunisie, du Ghana, etc. Bonne chance à tous! Rendez-vous en mai 2024! À l'intention des vrais supporters, nous leur souhaitons les plus beaux moments de leurs vies. À ceux, qui sont contre, CIO! Ou si vous voulez bien, qu'ils en perdent, et l'appétit, et le sommeil, et ce sera tant pis pour eux. «1, 2, 3, viva, l'Algirè!» Cette «Algirè» qui empêche des millions d'âmes de larmoyer, de désespoir, mais plutôt de festoyer, longtemps, après les succès attendus. Et des succès retentissants! Alors messieurs, prenez place dans l'appareil qui va atterrir en Côte d'Ivoire, attachez vos ceintures, prenez plaisir à admirer les «Verts», et fermez, SVP, votre bouche, vos lèvres et vos... portables en signe de solidarité, et d'encouragement, à l'EN version 2023/2033, une version, que ne verra peut-être pas malheureusement, votre serviteur, vu l'âge avancé... Mais, avec l'aide d'Allah, on ne sait jamais...