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Un ressourcement revigorant
VOYAGE DANS LE TEMPS ET LE SOUVENIR AU LYCEE DE SETIF
Publié dans L'Expression le 25 - 05 - 2009

«Les souvenirs sont cors de chasse dont meurt le bruit parmi le vent.»
Guillaume Apollinaire
L'Association Kerouani Gaïd a célébré à sa manière le 19 mai, la Fête de l'étudiant en proposant une programme de conférences. «Pour les anciens élèves, écrit A Nedjar, des lycées Mohamed-Kerouani et de Malika-Gaïd, comme pour les invités, les journées des 21 et 22 mai 2009 sont à marquer d'une pierre blanche. Sous la férule de M.Toufik Gasmi des grands jours, président de l'association, l'assistance très nombreuse du reste, eut droit à deux journées mémorables. Elles resteront gravées à jamais dans les esprits. (...) L'ambiance juvénile qui y régna remplit bien des souvenirs en retrouvant ces moments magiques d'un passé commun, heureux ou douloureux; où s'est imprimé en eux cet esprit de fraternité et de solidarité. Après les mots du président qui souhaita la bienvenue, ce fut ensuite une allocution de M.Mohamed Dib, le maire de Sétif dans laquelle il a tenu à souhaiter la bienvenue aux participants tout en affirmant que la ville de Sétif demeure à la disposition de toute initiative pouvant contribuer au développement de la ville. Le professeur Aberkane, avec la magie des mots simples et précis,tel un grand pédagogue, nous gratifia par la narration, alternant la projection d'images et de photos, son parcours initiatique et son pèlerinage dans ce lycée mythique pour abandonner le goût de la nostalgie et d'exprimer le bonheur d'être ici présent parmi les anciens.»
Une longue histoire
Les autres conférences, de très haute facture du reste, données le lendemain, ont eu pour objet de singulariser et de rattacher le passé, le présent et le futur avec l'excellente conférence du professeur Lahcene Ouahab, directeur de recherches venu droit de l'université de Rennes pour nous parler des nanotechnologies et de l'électronique du futur. La conférence du Professeur Gringaud connu surtout dans les milieux médicaux et sa reconversion par suite de sa retraite, parla de sa «nouvelle aventure»dans l'assistance et l'insertion des diplômés de l'enseignement supérieur à la recherche d'un premier emploi. Le Dr Djoudi Bouras chef de division des études économiques du Cnes traita de sujets récurrents liés à l'économie en pleins bouleversements et des défis auxquels le pays est confronté à travers la crise mondiale qui se profile déjà chez nous ainsi que les enjeux qui nous attendent. Enfin, nous n'oublierons pas la superbe conférence du professeur Chitour qui traita de «L'Université algérienne à la croisée des chemins», alla d'abord nous promener à travers l'histoire pour nous faire visiter notre passé lointain et d'affirmer que seule la réappropriation de notre véritable identité aura à nous guérir des malaises multiformes qui nous rongent. Il se hasardera à nous bombarder de chiffres et de statistiques et embrasa la salle avec des faits et des chiffres précis pour démontrer le processus élémentaire du développement de notre système éducatif puis sa lente dégradation par la suite, conséquences entre autre des différents «formatages» d'enseignements de différents horizons auxquels nous eûmes droit, avant de conclure de la nécessité impérieuse et urgente d'une refondation totale par l'association de toutes les compétences. Ce constat ferme, franc et direct a sonné comme un sérieux avertissement et laissa pantois plus d'un.Le silence qui y plana tout au longe de la conférence est révélateur de cette grande préoccupation et de ces grandes inquiétudes. Enfin, la rétrospective du livre «d'Anciens potaches racontent leur lycée» édité par l'association et la présentation de la fiche technique des aménagements retenus pour le lycée Mohamed-Kerouani, constituaient les derniers points, inscrits au menu de cette rencontre(1)
Qu'elle est la magie de ce lycée? «Vous apprendrez, écrit le correspondant du Soir, notamment que c'est la fin du XIXe siècle, en 1873, qu'a été créé le collège communal de Sétif, devenu collège colonial en 1924, puis collège moderne et classique en 1941 avant d'accéder au rang de lycée en 1950. Parmi les hommes qui ont donné le plus à cet établissement, et ils sont nombreux, toutes confessions confondues, figure le nom d'un homme qui fut, dans la discrétion et le dévouement militant, un second père pour beaucoup d'élèves: il s'agit bien évidemment de Maïza Zerroug dit Cheikh Maïza! Par arrêté du 14 mai 1924 le Collège communal fut classé comme établissement colonial. L'effectif des élèves présents au 15 octobre 1924 était de 402 apprenants; 248 externes libres, 86 externes surveillés, 6 demi-pensionnaires.»(2)
«En 1942, l'effectif était de 731 élèves. En 1943, il sera de 417 élèves. A la rentrée scolaire 1944-1945, les élèves internes furent réinscrits. L'effectif atteindra, en 1947, le nombre de 759 élèves. Seule la réalisation du projet d'agrandissement du collège constituera un dénouement heureux pour l'admission de nouveaux élèves. L'agrandissement du collège a été inauguré par le gouverneur général de l'Algérie en juillet 1950. le collège fut transformé en lycée. Le lycée Eugène-Albertini (1950-1962). Ce n'est qu'à la rentrée 1953-1954 qu'il fonctionnera avec l'ensemble des bâtiments avec un effectif de 1103 élèves. En 1955, furent créés les postes de censeur et d'agent chef. M.Montlahuc Fernand, proviseur du lycée, "Le lycée Mohamed-Kerouani" 1962. La première réunion du conseil d'administration du lycée Mohamed-Kerouani s'est tenue le 19 décembre 1962 sous la présidence de M.Montlahuc, inspecteur d'Académie de Sétif. Les faits marquants à noter pour cette rentrée historique sont le nombre important des élèves inscrits à l'internat qui a atteint 600 contre 416. En 1964, M.Lakhal Abdel Baki fut nommé proviseur du lycée».(2) 2009: Le lycée tombe en ruine et c'est pitié que de voir ce monument, qui a vu tant d'enfances, tant de passions de douleurs de ses pensionnaires, partir en miettes. A force de persévérance, l'Association a pu avec le concours des autorités, décrocher un financement pour sa restauration en souhaitant qu'elle ne lui enlève pas cette patine du temps chère à nos coeurs.
A priori c'est un lycée comme les autres, dira-t-on, un proverbe du terroir est sans appel «Koul khanfous fi ‘aine mou ghouzal» «Tout hanneton est une gazelle dans l'oeil de sa mère». Il n'est pas comme les autres, il est à nous c'est quelque part notre identité, notre vécu, notre vie en commun à des dizaines de milliers (peut-être 100.000 personnes). C'est lui, qui est toujours imperturbable, impérial, qui nous protège de la furie des hommes et des élèments. Le lycée Kerouani ex-Albertini était l'un des lycées les plus réputés, il drainait une partie du Constantinois, la région de Bougie, Djidjel et les Aurès. Comme un arbre centenaire, il a vu passer les jeunes devenir adultes, occuper des hautes fonctions, venir en pèlerinage se ressourcer auprès de lui. Il ne les connaît que par leur nom de lycéen en dehors de tout protocole, il les connaît par les histoires qu'il a entendues, les confidences, les pleurs et les espoirs de chacun à des périodes de leur passage. Etant parti avec mon ami Mohamed Bendaâce, j'avais des appréhensions. 300 km plus loin d'Alger et avec un retour de 46 ans dans le temps, ces appréhensions furent dissipées. S'il y a bien une circonstance où le mot communion a une signification c'est dans ces retrouvailles désarmées, sans m'as-tu-vu, sans arrière-pensée avec la conviction que c'est la fête et que c'est une chance de se revoir, avec pour certains un temps de quarante ans. Certes, les cheveux sont devenus blancs, la démarche est mesurée, mais l'oeil est toujours pétillant c'est d‘ailleurs l'un des marqueurs de la reconnaissance quand la mémoire fait défaut.
Les quelques heures de pur bonheur nous ont permis de remonter le temps, un retour en arrière, une nostalgie, sans douleur, sachant que chacun de nous se dit que le temps a fait son oeuvre et que la forêt s'éclaircit. Cela m'a amené à la philosophie, à me souvenir immédiatement de notre professeur de philo monsieur Alain Accardo et m'interroger sur la mémoire et le souvenir et à me poser cette question: «Que deviennent nos souvenirs quand nous n'en avons plus conscience?» C'est le problème psycho-métaphysique de la conservation des souvenirs. Pour Ribot, les souvenirs subsistent dans le cerveau. Pour Bergson ils sont dans un inconscient spirituel. Le passé se définit comme ce qui n'est plus, il semble donc que seul le présent ait une réalité. Vivre, c'est avant tout essentiellement vivre au présent. On pourrait alors penser qu'une forme d'attachement au passé est inutile et même néfaste puisqu'elle nous transporte vers un temps dans lequel nous ne sommes plus. Pourquoi se souvenir du passé?
Souvenirs, souvenirs...
On dit que les souvenirs sont le bois qui réchauffe les vieux jours, La mémoire est la faculté de l'esprit à se rappeler les idées qui lui ont été déjà présentes. Comment conservons-nous les idées du passé, ou, en d'autres termes, que deviennent ces idées pendant le temps d'oubli? Comment les rendons-nous à volonté présentes à nous? Comment pouvons-nous les reconnaître, c.-à-d. les déclarer exactes, conformes, identiques avec les idées qui, à un montent quelconque, ont été présentes à notre Intelligence? (..) Cependant, ces idées n'obéissent pas toujours à l'appel. (...)Lorsque l'idée cherchée se présente, et que nous la reconnaissons, nous disons que nous en avons souvenir Si nous la reconnaissons, c'est encore un souvenir; si nous ne la reconnaissons pas, c'est une réminiscence. La réminiscence est donc un souvenir incomplet. Ainsi, nous nous souvenons avec le plus de lucidité et de certitude des choses qui nous ont vivement émus ou intéressés, de celles qui ont été pour nous l'objet d'une attention soutenue, voire qui nous ont marqué.
Seul l'homme dit «je me souviens» et pour cela il lui est impossible de vivre heureux et pleinement. En effet, c'est par la mémoire, conscience du passé, que l'homme acquiert la conscience du temps. Une personne ne se réduit pas à ce qu'elle est au moment présent, mais se déploie dans une épaisseur temporelle où le passé, le présent, et le futur sont solidaires. Le passé se définit comme du temps mort, comme du temps révolu, il semble donc que seul le présent ait une réalité effective et une valeur. On pourrait alors penser qu'une forme d'attachement au passé est inutile et voire pathologique. L'homme ne peut pas se souvenir de tout, il faut qu'une sélection soit faite entre ce qui est susceptible d'améliorer son action et ce qui n'a pas de rapport avec cette action.
Comment se fixe le souvenir? Comment le reconnaissons-nous? Nous ne fixons pas la totalité de notre présent. Le passé ne subsiste-t-il en nous que sous forme de souvenirs? Le souvenir est-il une réapparition ou une reconstruction mentale du passé? En outre, du fait de leur éloignement dans le temps, certains souvenirs sont fatalement déformés par notre mémoire. Pour avoir une idée juste de la nature d'un souvenir qui serait une pure reconstruction du passé, nous n'avons qu'à songer aux reconstitutions de l'archéologue ou de l'historien.
Saint Augustin disait: «Nous ne pourrions pas rechercher un souvenir perdu si l'oubli en était absolu.» L'oubli n'est-il qu'une défaillance de la mémoire? C'est là le paradoxe de la mémoire: dans l'oubli même, tout n'est pas oublié. Le fait que nous fassions parfois appel à notre mémoire pour retrouver un événement passé que nous avons «oublié» prouve qu'il demeure bien une trace de cet événement. Pour se souvenir, il faut avoir été attentif. La mémoire se cultive.
Pour autant, qu'est-ce qui justifie que l'on doive lutter contre l'oubli? Pourquoi devons-nous nous souvenir? S'il y a un devoir de mémoire, c'est d'une part, pour conserver la trace du passé et instituer une histoire, d'autre part, pour reconnaître la dette contractée du présent envers le passé, et enfin, pour rendre justice et réparer les erreurs passées. On dit aussi que l'oubli est une faculté naturelle de la mémoire. Il faut savoir oublier pour progresser. On ne peut se complaire dans le passé ni être obsédé par les mauvais souvenirs. L'oubli n'est pas qu'une défaillance de la mémoire. L'oubli est lié au déplaisir. L'oubli est alors une bonne chose. L'oubli libère l'esprit comme le surmenage, c'est l'hygiène de l'esprit. Il y a des pays amnésiques, des silences pesants, des oublis spontanément mis en scène. Et puis il y a des mémoires arrogantes, des souvenirs tranchants, des reliques sublimes, des réminiscences douloureuses. La mémoire collective est une énigme. Ici on oublie. Ici on se souvient. Là on se drape dans un passé glorieux. Là-bas on a honte d'une sombre page des livres d'Histoire. L'Histoire, quelle incroyable énigme, elle aussi! Surtout «l'Histoire avec sa grande hâche», comme l'écrivait Perec. Il y a surtout, les historiens qui tentent de faire émerger toujours un peu plus le vrai et le dicible. Et il y a les législateurs qui réinventent le passé, glorifient et manipulent, à coup de décrets. La mémoire se modèle.
Je laisse les lecteurs savourer cette évocation de la mémoire.
«J'aimerais vous dire, avant que je n'oublie...Comme une femme capricieuse et légère la mémoire est paresseuse, menteuse, susceptible et toujours infidèle. Vivre, en définitive, c'est engranger des souvenirs que l'on oublie au fil du temps; les souvenirs s'effacent et façonnent l'âme de leurs traces. Il faut savoir agrémenter sa mémoire de bons souvenirs, quitte à les enjoliver... Il y a certains souvenirs dont on ne peut jamais faire le deuil: la douleur qu'ils procurent demeure toujours intacte. Seule la mort les efface....La mémoire est le jardin de l'âme, le temps en est le jardinier;...le temps est le médecin des coeurs blessés. Son souverain remède est l'oubli. La nostalgie est l'opium de la mémoire, de doux regrets, elle rehausse le passé; le remords est le venin de la mémoire.»
«...Oublier c'est survivre, un peu, Oublier c'est mourir à petit feu....Une vie, en somme, ce n'est qu'une somme de souvenirs...De la conscience, la mémoire est la greffière zélée qui constate, rédige, classe et retrouve les dossiers. Notre mémoire est une cave de souvenirs inutiles et encombrants, une morgue où s'entassent des cercueils. Qu'une personne oublie un malheur, c'est une grâce; mais qu'un peuple oublie son passé, c'est un désastre. La mémoire collective est l'identité et l'esprit d'une communauté....Tant qu'une seule personne pense à vous, quelque part, vous êtes sûr de vivre encore...Une personne ne meurt définitivement que lorsque plus personne ne pense à elle. Car l'on survit encore, bien après notre mort, dans la mémoire des autres».
A chacun des «lycéens» après cela, de faire son introspection à la lumière de ces vérités. A un prochain anniversaire avec de nouveaux souvenirs.
(*) Ecole nationale polytechnique
1.A.Nedjar Kerouani, Gaïd, nos amours! Kerouani Gaïd de toujours! Sétif info 22 mai 2009.
2.Mohamed Kerouani (Eugène Albertini) de Sétif. Le soir d'Algérie 11 décembre 2007


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