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L'état palestinien dans mille ans
DISCOURS DE BENYAMIN NETANYAHOU
Publié dans L'Expression le 18 - 06 - 2009

Les prédécesseurs de M.Netanyahou depuis Ytzhak Rabin en passant par Ehoud Barak et Ehoud Olmert ont tous accepté la création d'un Etat palestinien moins cohérent que ce que propose l'actuel Premier ministre.
Les événements s'accélèrent au Moyen-Orient. Dans son discours prononcé au Caire, le président américain a poussé l'Etat hébreu à revoir les termes de son alliance avec les Etats-Unis. Comment réagira le gouvernement israélien? (...) Il n'a pas davantage paru tomber dans l'excuse facile ou l'autojustification lorsqu'il a évoqué la nécessité de tourner la page en mettant les erreurs de son prédécesseur, George W.Bush, sur le compte du traumatisme des attentats du 11 septembre 2001. Pour Israël, le ´´discours du Caire´´ n'est autre qu'une révolution stratégique. Jusqu'au discours du Caire, Obama ne parlait qu'en termes d'intérêts. Mais, au Caire, il a usé du vocabulaire et du discours de la gauche libérale américaine. Il a parlé sans détour de ´´l'occupation´´ et de ´´l'aspiration des Palestiniens à la dignité, à l'égalité des chances et à un Etat indépendant´´. Il a également promis que les Etats-Unis ne tourneraient pas le dos aux Palestiniens. Il a demandé au Hamas de se montrer responsable en reconnaissant à Israël le droit d'exister. Bientôt, Netanyahou devra peut-être prononcer un discours de réponse à Obama et annoncer une rupture idéologique historique. A moins qu'il n'espère que, d'ici là, le discours du Caire se sera enfoncé dans les sables mouvants de la diplomatie du Moyen-Orient. (1)
Avant même son discours Obama a été traité d'antisémite lors d'une manifestation par l'extrémiste Itamar Ben-Gvir comme le rapporte le journal Ha'Aretz: «Il est mauvais pour le peuple et l'Etat d'Israël, et sa politique pourrait nous mener vers un désastre.» Le discours d'Obama au Caire dont chaque terme a été bien pesé a divisé aussi les juifs américains. On sait que «78% des juifs américains ont voté pour Barack Obama. Mais, depuis qu'il a souligné que les Etats-Unis attendaient d'Israël qu'il se conforme à son engagement de geler la construction des colonies dans les Territoires palestiniens et de démanteler les colonies illégales, la plupart de ces électeurs sont maintenant dans l'expectative. Ils se demandent si leur engagement en faveur d'un candidat de gauche aux Etats-Unis n'était pas contradictoire avec leur engagement vis-à-vis d'Israël», souligne Ha'Aretz Mais, du côté des organisations juives de gauche, une campagne a été lancée pour convaincre Obama de ne pas céder sur la solution de deux Etats et de faire pression sur Netanyahou en ce sens.
Les conditions de Netanyahou
Quel est justement ce discours? Plusieurs types de lecture ont été faites. Celle des Etats-Unis, de l'Europe et celle sans épaisseur des Arabes et curieusement celle plus «courageuse des éditorialistes israéliens».(2)Finalement écrit Michel Bôle-Richard du Monde, Benyamin Netanyahou veut bien d'un Etat palestinien mais à ses conditions, et celles-ci sont telles que les chances de voir cet Etat se créer sont infimes. Le Premier ministre israélien s'est déclaré prêt à accepter un Etat palestinien démilitarisé, mais à condition qu'auparavant les dirigeants palestiniens reconnaissent Israël en tant qu'Etat juif. «Si nous recevons ces garanties concernant la démilitarisation et les dispositions qu'Israël requiert pour sa sécurité, et si les Palestiniens reconnaissent Israël en tant qu'Etat du peuple juif, alors nous serons prêts lors d'un accord de paix futur à accepter qu'un Etat palestinien démilitarisé existe aux côtés de l'Etat juif.» Nous ne voulons pas d'un autre «Hamastan». Ce qui implique, notamment que les frontières de cet Etat palestinien soient placées sous surveillance pour empêcher toute contrebande. En outre, le chef du gouvernement israélien a répété avec force que «le problème des réfugiés palestiniens doit être résolu en dehors des frontières d'Israël», ce qui exclut toute discussion sur le droit au retour, affirmant que «le lien entre le peuple juif et la terre d'Israël existe depuis plus de 3500 ans. C'est la terre de nos ancêtres!» M.Netanyahou a également rejeté toute idée de partage de Jérusalem qui «doit rester la capitale unie d'Israël». Il a insisté sur «la nécessité d'Israël d'avoir des frontières défendables», repoussant le règlement de «la question territoriale» lors «d'un accord de paix final». En attendant, il n'est pas question de geler le processus de colonisation. Certes, il n'y aura pas de nouvelles colonies ni «d'expropriations de nouvelles terres», mais «il est nécessaire que les résidents puissent mener une vie normale, c'est-à-dire permettre aux parents d'élever leurs enfants comme toutes les familles dans le monde». Dernière condition: L'Autorité palestinienne devra rétablir la loi à Ghaza et renverser le Hamas. Enfin, le Premier ministre a réagi à la réélection du président iranien, «La plus grande menace pour Israël, le Proche-Orient et le monde entier, c'est la rencontre entre l'arme nucléaire et l'islam radical». Il appelle «à une coalition internationale contre l'armement nucléaire de l'Iran».(2)
Pour l'Occident, ce discours qui est un recul qui obère toute avancée est saluée comme un geste courageux et une avancée majeure. A Washington on est satisfait du discours du Premier ministre Benyamin Netanyahou, ´´qui constitue un important premier pas´´. ´´L'acceptation de deux Etats répond aux attentes américaines´´, a affirmé un représentant de Washington. Les Européens ont exprimé leur satisfaction, tout en faisant preuve de prudence. Les Suédois, pour leur part, ont estimé qu'il s'agissait ´´seulement d'une première étape, d'un petit pas en avant.´´ Pourtant, il faut tout d'abord savoir que sous des apparences de nouveauté, ce discours est un recul par rapport à la Feuille de route. Dans le Washington Post, l'ancien ambassadeur en Israël, Daniel Kurtzer explique justement qu'en 2003 le gouvernement israélien a accepté les dispositions de la «Feuille de route» - le plan de paix lancé par le Quartet (Etats-Unis, Union européenne, Russie, ONU). Or cette «Feuille de route» impose, outre le démantèlement des implantations sauvages érigées depuis mars 2001, le gel de la colonisation, y compris la «croissance naturelle» des colonies existantes. Qu'en est-il du monde arabe? C'est le silence assourdissant! Les Palestiniens estiment qu'avec toutes les conditions posées par le Premier ministre israélien, l'Etat palestinien ne verra le jour que dans mille ans. Pour le porte-parole de Mahmoud Abbas (Abou Mazen): ´´Le discours de Netanyahou est un discours de droite qui sape les bases des pourparlers. Ce discours pose des conditions et porte un coup mortel au processus de paix. Il ne donne aucune base permettant de renouveler les négociations.´´ Pour Yasser Abed Rabou,: ´´Netanyahou est un escroc, un imposteur et un menteur.´´ «Il a employé les mots "Etat palestinien"», mais il veut un protectorat israélien: «Il veut que les Palestiniens fassent partie du mouvement sioniste mondial.» Le porte-parole du cabinet du Hamas a affirmé que le Premier ministre avait présenté dans son discours «une idéologie raciste et extrémiste». Même l'Egypte a mal accueilli les conditions du Premier ministre. L'exigence de reconnaissance de l'Etat d'Israël comme Etat du peuple juif menace encore plus le processus et élimine toute possibilité de parvenir à la paix. «Personne ne se pliera à cette exigence, ni en Egypte ni nulle part ailleurs», a averti le président Hosni Moubarak. En Syrie, la presse a accusé Netanyahou d'apartheid. «Le gouvernement sioniste accepte de créer des cantons palestiniens qui rappellent les cantons des Noirs d'Afrique du Sud à l'époque de l'apartheid», peut-on lire dans le journal national Tishrin.(3)
Pour sa part, le porte-parole du ministère iranien des Affaires étrangères, Hassan Ghashghavi, a fustigé ce discours et appelé la communauté internationale et les pays arabes à prendre des mesures pour arrêter le régime sioniste cupide et protéger le peuple palestinien. D'une façon remarquable la presse israélienne pratiquement dans son ensemble a été très critique envers ce discours. Pour Ari Shavit, grand éditorialiste à Ha'Aretz, «Benyamin Nétanyahou a franchi le Rubicon. Pour servir le pays, il a quitté le foyer idéologique de son propre père». Shalom Yerushalmi, dans les colonnes de Maariv, se veut lui aussi optimiste. «Certes, ce dimanche, Nétanyahou a en quelque sorte ôté sa kippa politique, mais il ne l'a pour autant pas encore mise dans sa poche arrière. De même, les conditions impossibles qu'il pose aux Palestiniens - et qui reviennent à leur suggérer de se convertir au sionisme - donnent l'impression qu'il cherche plus à esquiver la paix qu'à la prendre à bras-le-corps.»(4)
Le poids de l'Iran
Mais la majorité des commentateurs de la presse écrite restent sur leur faim. Dans Yediot Aharonot, Yoram Kaniuk estime que Benyamin Netanyahou a prononcé «des paroles douces aux seuls Israéliens, mais son discours n'a pas été celui d'un dirigeant généreux et courageux. En outre, si les Palestiniens savent intuitivement qu'Israël est un Etat juif, il est déraisonnable d'exiger qu'ils nous reconnaissent comme ‘foyer historique du peuple juif', dès lors que 1 million d'entre eux vivent dans cet Etat.» Dans le même ordre d'idées, Akiva Eldar écrit dans Ha'Aretz que «le discours de Netanyahou est de la meilleure veine néoconservatrice, insensible, paternaliste et colonialiste. On doute qu'il se trouvera un seul responsable palestinien digne de ce nom pour accepter cette camelote». En somme, à qui le discours de Netanyahou s'adresse-t-il? «Vu les conditions posées aux Palestiniens, Netanyahou peut rassurer ses adversaires au sein du Likoud: l'Etat palestinien n'est pas pour demain.» Dans Maariv, Ofer Shelah ironise. ´´Ce discours prouve une fois de plus que les choses ne bougent ici que lorsque les Américains nous y contraignent.´´ Ce que confirme Gidéon Lévy dans Ha'Aretz: «Le discours de Nétanyahou n'a ouvert aucune porte...» L'ancien responsable du parti de gauche israélien Méretz, Yossi Sarid, a évoqué dans le quotidien Haaretz «un discours de pastèque composé de 92% d'eau.»(4)
Pour rappel, le 29 novembre 1947, le plan de partage de la Palestine (ou plus exactement de ce qui restait de la Palestine, une partie ayant déjà été séparée afin de constituer la Transjordanie) élaboré par l'Unscop est approuvé par l'Assemblée générale de l'ONU, à New York (résolution 181 de l'Assemblée générale). Ce plan, destiné à résoudre le conflit entre Juifs et Arabes à propos du mandat britannique sur la Palestine, propose le partage de ce territoire entre deux Etats, l'un juif, l'autre arabe, avec Jérusalem sous contrôle international. Le partage et la création des trois Etats (Etat juif, Etat arabe et Etat de Jérusalem sous administration internationale), furent votés par 33 voix contre 13 avec 10 abstentions. La résolution 181 avait pour but la création de deux Etats: un Etat juif de 14.000 km² avec 558.000 Juifs et 405.000 Arabes, un Etat arabe de 11.500 km² avec 804.000 Arabes et 10.000 Juifs formé de trois parties séparées: Ghaza, la Cisjordanie et la partie Nord voisine du Liban, enfin, une zone sous régime international particulier comprenant les Lieux Saints, Jérusalem et Bethléem avec 106.000 Arabes et 100.000 Juifs.(5)
Selon le Plan de partage, l'Etat juif comprenait la plaine côtière, qui s'étend de Haïfa à Rehovot, l'est de la Galilée et le désert du Negev, incluant l'avant-poste de Umm Rashrash au sud (maintenant appelé Eilat). L'Etat arabe devait recevoir l'ouest de la Galilée, avec la ville d'Acre, les monts de Cisjordanie et le sud de la côte, s'étendant du nord de Majdal (maintenant Ashkelon), et comprenant l'actuelle Bande de Ghaza, avec une partie du désert le long de la frontière égyptienne. L'Etat juif proposé est sensiblement plus grand (55%) que l'Etat arabe, dont une très grande part occupée par le désert du Neguev (40%). L'essentiel des terres côtières cultivables lui revient. 55% du territoire total, 80% des terres céréalières et 40% de l'industrie de Palestine sont récupérés par la communauté juive. La très grande majorité des Arabes vivant en Palestine et la totalité des Etats arabes, rejetèrent ce plan. La majorité des juifs de Palestine acceptèrent le partage. À noter que l'ONU accorda aux sionistes 50% de plus que le plan Peel de 1937 soit 60% du territoire alors qu'ils n'avaient jusqu'alors que 7% de la propriété foncière; ce territoire comportait de plus 80% des terres céréalières de la Palestine et 40% de son industrie.
Il faut signaler que les prédécesseurs de M.Netanyahou depuis Ytzhak Rabin en passant par Ehoud Barak et Ehoud Olmert ont tous accepté la création d'un Etat palestinien moins cohérent que ce que propose l'actuel Premier ministre. Sur le site Internet du quotidien israélien Haaretz Benjamin Hartman, écrit «M.Netanyahou a clairement affirmé qu'il suivra la ligne de sa coalition et ne fera aucun vraie concession», mais le journaliste note que le chef du gouvernement a mentionné à plusieurs reprises l'idée de deux Etats. «Donc, les Palestiniens doivent reconnaître Israël comme un Etat juif, renoncer à leurs réfugiés, et désarmer leur Etat, le tout dans un territoire non encore défini, et Jérusalem ne sera pas divisée», ironise M.Hartman. Nous ajouterons que sur la Palestine initiale, les 22% acceptés par Arafat seront une peau de léopard sur laquelle végéteront les Palestiniens sans perspective de réelle indépendance. On nous dit qu'une forte majorité d'Israéliens soutient la création d'un Etat palestinien démilitarisé, sans toutefois croire qu'un tel Etat verra le jour bientôt, selon un sondage publié par le quotidien Haaretz. Nous y voilà! les Israéliens et les Palestiniens sont d'accord sur une chose: l'Etat de Palestine sera créé dans mille ans. Il reste ce rappel lancinant à «l'Etat juif». Personne en Occident ne s'offusque de cette idéologie de la race. Il est connu selon les historiens que les Juifs n'ont jamais été une ethnie. Les descendants des Juifs de l'Antiquité sont restés en Palestine et se sont convertis au christianisme et à l'islam: ce sont les Palestiniens d'aujourd'hui. Il n'y a jamais eu d'exil du peuple juif en 70 après la destruction du temple par les Romains. Les Juifs actuels sont les descendants des Hamyarites, des Berbères et des Khazars judaïsés. Pour les défenseurs de la thèse d'un «peuple juif» ayant droit à une terre, le livre du professeur israélien Shlomo Sand Comment le peuple juif fut inventé est à lire. Il faut peut être analyser en profondeur cet entêtement «nouveau» à parler de l'Etat juif qui, pour rappel, avait un autre sens dans la Déclaration du partage de l'ONU de 1947. A moins que cela ne cache le fait qu'à la longue, les Arabes israéliens (principalement les musulmans et pas les chrétiens) n'auraient pas vocation à rester dans un Etat «Juif» seraient alors «invités» à rejoindre le Bantoustan palestinien.. Ce sera la deuxième Nekba qui fera oublier la première...Ainsi va le Monde...
(*) Ecole nationale polytechnique
1.Allouf Ben: Washington défie Netanyahou: Ha'Aretz, 11.06.2009??
2. Michel Bôle-Richard: M.Netanyahou pose ses conditions pour un éventuel Etat palestinien. Le Monde du 15.06.2009
3.Yael Ancri http://www.actu.co.il/2009/06/discours-de-netanyahou-le-monde-arabe-decu-loccident-plein-despoir/ Lundi 06/15/2009.
4.Pascal Fenaux: Changement de ton à défaut de fond - Courrier International 15.06.2009
5.fr.wikipedia.org/wiki/Plan_de_partage_de_la_Palestine


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