La DGSN risque de ne pas réussir l'opération de récupération de la totalité de ses biens mis à la disposition de personnalités nationales, anciens ministres, hommes politiques et chefs d'organisations de la société civile, quand bien même elle saisirait à la justice. Cela est d'autant plus probable que certaines personnalités sont parvenues, à travers leurs relations, à récupérer de nouveau les véhicules que la DGSN venait de leur reprendre. C'est notamment le cas de ce responsable d'une organisation se réclamant de "la famille révolutionnaire" qui a réussi à se faire restituer le véhicule que la police avait mis à sa disposition et qu'il avait lui-même mis à la disposition de son épouse.