Décidément, l'année 2013 s'annonce sous de mauvais auspices pour la paix. Les virus qui ont contaminé un peu partout les sphères décisionnelles mondiales continuent de se propager. A l'image d'un Netanyahu qui a été reconduit pour un nouveau mandat, allié en cela avec une frange extrémiste et dure, et ce, dans la volonté de poursuivre l'extension du territoire sioniste en Palestine et peut-être avec les centristes pour légitimer encore plus sa légitimité. S'il a vu se réduire sa marge, c'est par l'irruption des affaires sociales intérieures derrière notamment le mouvement des indignés. C'est la crise aussi en Israël pour les pauvres. Cela dit, il a entamé sa nouvelle investiture par une agression d'un pays souverain, en l'occurrence la Syrie, sans bien sûr perdre de vue le dossier iranien qui est devenu l'un de ses pires cauchemars. Eternelles menaces La mafia sioniste veut absolument châtier l'Iran de sa liberté de parole à l'ONU et ailleurs pour dénoncer les énormités shoanesques. Dans ce sens, voyant l'inefficacité des mesures économiques, le régime sioniste maintient toujours l'alternative militaire ouverte et pourrait mordre à tout moment tel qu'il l'a fait en Syrie. «L'éventualité des actions militaires contre l'Iran s'explique par son refus de réagir à des mesures politiques et économiques à son encontre», a déclaré Shimon Peres dans son discours au forum de Davos. Attention, police de la Pensée ! Après la judiciarisation de Facebook en France, voilà le lobby sioniste qui obtient de Twitter l'identification des auteurs de tweets racistes, antisémites... Il reste maintenant à définir, d'une part, cette corde raciale et antisémite généralement discordante par rapport à la nature réelle de ces deux concepts et, d'autre part, qui va décider de ce qui est raciste ou antisémite. Quand on entend des propos comme «sale arabe», on vous dira que ce n'est ni raciste ni antisémite. Mais lorsqu'on dénonce le lobby juif, la mafia juive sioniste, le sionisme..., là, la justice française considère cela comme comme antisémite. Bien entendu, l'objectif primordial de ce lobby est de judiciariser Twitter à l'instar de Facebook pour éliminer toute tentative de dénonciation du pouvoir de cette mafia sioniste. La preuve par deux Deux exemples édifiant quant aux pratiques mafieuses du lobby sioniste qui fait ce qu'il veut où il veut parce qu'il sait trouver des membres de sa communauté d'appartenance, juive, ou alliés soumis, pour lui apporter un appui décisif ici ou là. Souvenons-nous de l'affaire DSK qui s'est terminée par le versement d'une belle somme d'argent à l'amiable à la victime et le tour est joué. DSK ? Non coupable car non jugé ! Tout est possible lorsqu'on a de l'argent et des relations. Second cas, l'affaire Cassez. Voilà une femme reconnue coupable de kidnapping et de séquestration avec son petit ami juif Israël Vallarta et dont toute la puissance médiatique et politique française va entrer en action pour la soustraire à la justice d'un pays souverain, en l'occurrence le Mexique. Elle va y parvenir par l'intermédiaire d'un vice de procédure qui fait les beaux jours des avocats marrons pour faire sortir leur client des «griffes» très émoussées de la justice surtout lorsqu'on a la chance d'appartenir de près ou de loin à la communauté «élue»...