Le sport en Algérie n'est certainement pas, et uniquement le football. D'autres activités continuent de grimper dans le silence et apparaissent à des occasions ou les grands défis sont abordés et apparaissent avec leurs marques qui séduisent. L'alpiniste algérien Nessim Hachaichi, âgé de 36 ans, vient de porter haut, trés haut l'emblème national, lors d'un défi qui prend l'allure d'une aventure vite qualifiée par des confrères, d'historique. Il est intéressant de savoir que «Depuis une décennie, Nessim Hachaichi a parcouru les plus hauts sommets d'Algérie, affrontant avec succès des défis tels que l'ascension du Mont Tahat (3000 M), point culminant du pays. Son amour pour les sommets l'a conduit à gravir des montagnes emblématiques à travers le monde, du Kilimandjaro en Tanzanie au Mera Peak au Népal, en passant par des sommets techniques com». Rien ne semble l'effrayer, ce qui est impossible le motive et le provoque, ce qui est pour les uns une dangereuse aventure devient est pour lui possible. Cela pourrait être sa devise. Un retour en arrière pour comprendre que l'athlète algerien Nessim Hachaichi, comme le souligne le communiqué qui nous a été adresse à la rédaction, a depuis une décennie, parcouru les plus hauts sommets d'Algérie, affrontant avec succès des défis tels que l'ascension du Mont Tahat (3000 M), point culminant du pays. Son amour pour les sommets l'a conduit à gravir des montagnes emblématiques à travers le monde, du Kilimandjaro en Tanzanie au Mera Peak au Népal, en passant par des sommets techniques comme le Kang Yatze en Inde. On le croyait incapable d'aller au-delà du camp de base à 5300 mètres d'altitude. Et bien non, il est un sportif qui refuse l'échec et donc l'abandon. Il voulait poser pied au sommet le plus haut du monde 8850 mètres, et il l'a réussi ce qui démontre en clair que «chaque phase de cette expédition incarne un dévouement inébranlable envers son pays et un amour profond pour l'Algérie». Mai 2024, cet athlète de 36 ans s'est promis de réaliser un exploit qui sera historique, devenir le premier Algérien à conquérir le Lhotse, le quatrième plus haut sommet du monde, situé juste en dessous de l'Everest. «Une montagne située dans la chaîne de l'Himalaya à la frontière entre le Népal (province de Kosho) et la Chine (région autonome Tibet). Il est aperçu par des Européens pour la première fois en 1847 puis, après quelques années d'observations et de calculs, il est identifié comme le plus haut sommet du monde. Son altitude est établie à 8 849 mètres. Cette caractéristique lui vaut d'être baptisé de son nom actuel par les Occidentaux en 1865 en l'honneur de Gorge Everest, arpenteur général des Indes orientales des Indes de 1830 à 1843, et, dès les années 1920». Voilà un beau succès qui symbolise son engagement indéfectible à «hisser les couleurs nationales vers les sommets les plus prestigieux de la planète, exprimant ainsi son désir ardent de mettre son pays sur les plus hautes cimes du monde».