Ne « Mélenchons » pas tout, puisque Sophia Chikirou, la « coche » dulcinée du « Che », connait très bien la musique de l'orchestre de la politique maudite de la « Race » de René Basset, portée par Bernard Lugan, le penseur fasciste-royaliste de l'Action Française, et emballée joliment dans le laboratoire sioniste du cannabis d'André Azoulay, au moyen du fanion-toilette décoré avec la fourchette de Jacques Benêt (réalisée en 1971 par le chaudronnier Hocine Zekri) pour les lombrics assignés à résidence ethnique par l'armée française qui leur a préfabriqué un arbre généalogique sur plus de 20 siècles, dans les sombres galeries tribales de l'histoire. Si Mouloud Mammeri, l'aspirant de l'armée française, était l'élève de René Basset (fondateur du berbérisme, sous Napoléon 3), Athmane Mazouz assure la continuité scolaire puisqu'il est bien l'élève voilé assidu de Bernard Lugan, celui qui a mené d'une main de « mètre » le génocide (1994) entre Hutus et Tutsis au Rwanda. Sans vouloir faire du complotisme au sujet de tous les « merdias » politiques français, au regard du vacarme politique orchestré par les puissantes forces du pouvoir colonial, qui a popularisé malicieusement la mobilisation (10 septembre 2025) des « sans dents » du capitaine de pédalo, à qui la gauche officielle a ouvert tout un boulevard pour saborder l'espoir de dégager (Tetnahaw Gâa) le système machiavélique qui s'attaque aux peuples faibles livrés au charlatanisme médiatique, on a juste observé l'excitation électronique des intellectuels « blancs » de « révérence », entourés « d'indigènes éclairés » pragmatiques, et de la cinquième colonne algérienne rêvant à la « Papon » d'un avenir de « ratons » pour le peuple algérien. Pour illustrer ce propos, il n y a qu'à jeter un coup d'œil de lynx, sur la liste des signataires de lettre de pacification (comme au temps des colonies) adressée au putschiste de l'Elysée et au président algérien. On retrouvera rassemblés, à côté de Gilles Manceron (amoureux des islamistes) et de l'historien Alain Ruscio, non seulement la berbériste Louisa Ferhat (une « fatma » civilisée représentante et élue parisienne de la colonie israélienne), mais aussi Fatiha Rahmouni, une congressiste MAKak (congrès 2016) du groupe terroriste du fasciste Ferhat Mehenni, bras armé du régime des généraux génocidaires de Tel-Aviv. Le « blanc » sait choisir ses « indigènes ». En plus des pingouins titulaires du « Kamis Akbar », et propriétaires du miracle « d'Allah au laser » de la star Abassi Madani, et de son disciple Ali Belhadj (en date du 5 juin 1990), téléguidés par les services de Rotailleau (détestant le voile, mais infiltrant le moindre recoin des lieux de prières non fraternel de la Gaule) qui organisent activement la « Hidjra » depuis l'hexagone, non pas en Arabie saoudite, mais comme par hasard, vers l'ancienne « ceinture brune» sanguinaire (Sidi Moussa, Bentalhaa, le centre Ibn Badis de Bordj El Kifan et Mahelma) de la décennie noire, c'est la Gestapo sioniste, de la colonie israélienne parisienne, qui a donc convoqué par la petite porte Athmane Mazouz, son supplétif officiel en Algérie, celui qui « priside » le parti (RCD) de la génétique des populations en Algérie. C'est un autre supplétif « indigène », dénommé Amar Ouyahia, qui a confectionné une jolie interview psychiatrique de ce héros berbériste, publiée le 22/08/2025, dans le papier de toilette « Marianne » de Daniel Kretinsky (CMI-France), le milliardaire tchèque du système, où siègent confortablement les colons « isra-Heiliens », dont la fasciste-sioniste Martine Ghozlan, défenderesse inconditionnelle (au même titre que BHL, le « Joseph Goebbels » sioniste, financier caché de la propagande des guerres néocoloniales) du régime des généraux génocidaire de Tel-Aviv. Il est parfait, Athmane Mazouz, dans cet interview puisqu'il n'a même pas fait semblant d'évoquer le moindre crime de guerre ou le moindre crime contre l'Humanité, commis par l'armée française contre le peuple algérien (qu'il prétend représenter), et on dirait même qu'il été justement convoqué pour les étouffer ! Il maîtrise son « sujet » ethnique de sa « Race ». A ce rythme, il ne lui manquait plus que de chanter le chant de la « Harka », injecté aux villageois d'Agouni Gueghrane par Ouali Azem (Officier de l'Ordre du Mérite, Croix de la valeur militaire avec étoile d'argent, Chevalier de la Légion d'honneur coloniale, et député indigène de la 6e circonscription de Tizi-Ouzou entre 1958 et 1962)! Ce disciple de Raoul Salan (appelé à témoigner en faveur de Salan, lors de son procès en mai 1962, et votant son amendement « Algérie-française » le 8 novembre 1961, a été aussi président du cercle algérianiste de l'OAS à Montauban (bien avant Boualem « Sent Sale »). Son fils, Bruno Azem, l'animateur de l'association des « amis de Slimane Azem » dans la colonie isra-Heilienne, très en vogue dans le système, serait peut-être content d'organiser un méchoui pour le Général Faure, comme au bon vieux temps des colonies et de dérouler le joli passé de ses oncles : Mohand, Ali et Boudjemâa ! Sans vouloir remuer tout le passé musical du folklore colonial, il aurait pu créer plutôt une association à la gloire de son géniteur, Ouali Azem, le supporter de Salan, qui avait accueilli son frère intime Slimane Azem, le 2 janvier 1937 à Longwy (puis en 1962, avec ses deux autres frères Ali et Boudjemâa dans le château de 22 pièces, à Montaigu), pour chanter « Ines Ilaflani », la partition appelant à la réédition de la résistance algérienne. N'a-t-il pas était un acteur dans le complot « berbériste » de 1980, conduit d'une main de maître par Augustin Ibazizen, le bras droit du colonel de La Rocque dirigeant du parti fasciste « Croix-de-Feu » ? Quant à la chanson « Effeɣ ay ajrad tamurt iw », où il aurait comparé les colons français aux nuisibles criquets qui dévastent le pays durant la guerre d'Algérie, elle a été reprise par le chanteur Matoub Lounès, après l'indépendance du pays. Au fait, les criquets de Slimane Azem sont-ils les mêmes que ceux de Matoub Lounès ? Sachant que l'une des affiches de l'armée française, diffusée à la population durant la guerre de Libération Nationale, assimilait les résistants algériens (surnommés « Fellaga » par l'armée coloniale) à des sauterelles. Ici, on observe des similitudes traduisant l'art culinaire artistique de la guerre à l'envers contre le peuple. Voilà pourquoi on ne trouvera pas ce passé complice, dans le beau fascicule de Chiotti, élaboré par Hacène Hirèche (Blessures et résiliences – 2022, Ed. l'Harmattan), l'indigène docteur complotiste-berbériste (depuis le complot de 1980) du terrorisme en Algérie, au service du système colonial criminel, et spécialisé dans la haine du peuple algérien. Hacène Hirèche n'a rien à envier à Jean Sévilla, le fasciste du Fiagro, celui qui avait produit « Les vérités cachées de la guerre d'Algérie – collection Tempus, Ed. Perrin-2022 » pas chères (9 €/pièce pour une deuxième édition, enrichies du « Hirak » colonial à « la banane »). Jean Sévilla, comme Hacène Hirèche, raconte le colonialisme criminel du bon côté du manche : les « bougnoules » sont des terroristes et l'armée française représente les forces de l'ordre établi. Dans un premier temps, on peut donc faire remarquer que la convocation d'Athmane Mazouz, par les « maîtres de la manette », pour présenter un énoncé « indigène » d'une colonne de « Harkis » collabora-sionistes, n'arrive certes pas par hasard. Il s'agit d'une invitation à détourner le regard des crimes de guerre et des crimes contre l'Humanité, menés par les généraux commanditaires de Tel-Aviv, contre le peuple palestinien. (A suivre…)