«Le ''MAK'' ne bénéficie d'aucun statut juridique ou souveraineté au niveau national et international.» En effet, dans un long communiqué adressé à l'opinion publique ''OSHI'', l'organisation solidarité humanité internationale présidée par Othman Chazil Naghmouche à Paris, explique que notre organisation en sa qualité d'organisation légalement accréditée en République française, informe l'opinion publique nationale et internationale que suite à l'annonce publiée par un mouvement se présentant sous le nom de ''Mouvement pour l'autodétermination de la Kabylie'' relative à ce qu'il prétend être une «déclaration d'indépendance» en date du 14 décembre 2025, une annonce faite en dehors du territoire concerné et depuis le sol français. Au sujet de la clarification juridique, ''OSHI'' confirme à l'opinion publique nationale et internationale que le mouvement en question ne bénéficie d'aucun statut juridique ou souveraineté au niveau international, en ajoutant qu'il est «est enregistré en France en tant qu'association régie par la loi de 1901 relative aux associations1, et ne constitue en aucun cas une entité souveraine ni une représentation étatique reconnue par la communauté internationale.» Tout en ne soulignant que «sa déclaration ne repose ni sur un référendum légalement reconnu, ni sur un processus d'autodétermination conforme à la légalité internationale, et n'a fait l'objet d'aucune reconnaissance internationale.» Cette déclaration ne produit aucun effet juridique ni créer aucun Etat et ne modifie en rien le statut juridique existant au regard des critères de formation d'un Etat en droit international», conclut le communiqué avant de rappeler que celui-ci consacre le droit des peuples à disposer d'eux-mêmes, mais dans le cadre du respect de la souveraineté et de l'intégrité territoriale des Etats. Il réaffirme que la sécession unilatérale n'est légitime que dans des cas exceptionnels, tels que la colonisation, l'occupation étrangère ou la répression massive, conditions totalement inapplicables au cas présent.» Dans le cadre juridique français ''OSHI'' précise que «la proclamation d'une ''indépendance'' depuis le territoire français ne constitue en aucun cas une reconnaissance par l'Etat français, ne produit aucun effet juridique ou politique et le droit pénal français (article 411-4 du Code pénal) interdit toute utilisation du territoire français pour accomplir des actes susceptibles de porter atteinte à l'unité ou à la sécurité d'un Etat étranger. ''OSHI'' concernant cette «Déclaration du 14 décembre, déclare et affirme rejeter fermement la déclaration unilatérale émise par le mouvement ''MAK'' et la considère comme un acte politique irresponsable, susceptible d'alimenter la division, de menacer la paix sociale, et de semer la confusion au sein de la communauté algérienne à l'étranger, profondément attachée à son pays d'origine. L'Organisation réaffirme que le peuple algérien est un et indivisible... Et que toute tentative d'instrumentaliser le territoire français pour diffuser des déclarations séparatistes expose ses auteurs à l'entière responsabilité juridique...» De Paris Hadj Hamiani