Dimanche dernier à l'espace associatif et détente de la commune de Garges-lès-Gonesse (95) en banlieue parisienne et dans le cadre de la célébration de la Journée internationale du vivre- ensemble en paix organisée par l'ONG, l'organisation solidarité et humanité internationale (OSHI) présidée par M. Athmane Naghmouche en présence du vice-consul M. Abderrahim Khiari représentant du consul d'Algérie à Pontoise M. Wahid Abdelbaki, le maire de Garges-lès-Gonesse M. Benoît Jimenez maire (UDI) Union des démocrates et indépendants et un nombre important d'élus(es) locaux ainsi que des membres du Conseil d'administration de l'OSHI, avocats médecins, sportifs, journalistes… La salle était comble et ce, tenez-vous bien, autour d'un dîner spécialité typiquement constantinoise en l'occurrence ''El Trida'' accompagné de boissons gazeuses typiquement algérienne, l'ben, gâteaux et thé à la menthe... En effet, de nombreux ressortissants algériens(es) mais pas que, sont venues à cette soirée qui a débuté à partir de 14h00 et s'en est allé jusqu'à 19h30 pour dire oui pour la paix dans le monde entier mais aussi pour rendre hommage aux enfants cancéreux. Un hommage au patrimoine culturel algérien et un élan de solidarité avec les enfants atteints du cancer était assuré aussi par des artistes de renommés nationale à l'image de Salim Fergani, Nadia Benrabhia et autres. L'animation de cette soirée a été confiée à notre artiste Fouad Chemlal l'animateur de Radio Soleil à Paris. Le président d'Oshi, M. Athmane Naghmouche a souligné dans son discours devant les présents (es) l'importance du vivre-ensemble : «De la tolérance et de la paix dans un contexte mondial tendu tout en mettant en lumière la richesse du patrimoine algérien, porteur de valeurs de coexistence et de solidarité.» Le vice-consul d'Algérie à Pontoise M. Abbderrahim Khiari avait précisé lors de son intervention sur scène que : «Le texte de cette déclaration avait été présenté par l'Algérie et adopté sans vote le 8 décembre 2017, Faut-il le rappeler...» Et conclut son discours : «Nous sommes fiers de notre communauté algérienne et je vous remercie Monsieur Benoit Jiminez, maire de cette belle ville de Garges-lès-Gonesse au nom du consul M. Wahid Abdelbaki pour cet accueil chaleureux, mes remerciements vont ainsi au président et aux collectif d'Oshi et celles et ceux qui aident de loin ou de près les enfants cancéreux». Le maire de Garges-lès-Gonesse M. Benoit Jiminez, quant à lui, déclare lors de cette journée mondiale : «Nous sommes très honoré de votre présence Monsieur le vice-consul d'Algérie M. Khiari, ici dans notre commune, mes remerciements vont aussi à M. le Consul d'Algérie à Pontoise Wahid Abdelbaki et je voudrais aussi saluer l'ensemble des responsables de l'Oshi à sa tète M. Athmane Naghmouche mais aussi à ces femmes et hommes Algériens(es) venues aussi nombreux(es) aujourd'hui pour cet élan de solidarité envers ces enfants atteints du cancer... Bravos à vous tous et merci». Cette journée a été pensée, faut-il le souligner, comme étant un moment de rassemblement, de partage et de fraternité entre les peuples. En parallèle à cette initiative ô combien humanitaire, une campagne de solidarité a été lancée au profit des enfants atteints de cancer, illustrant l'engagement humanitaire de l'Oshi au-delà des célébrations culturelles. Cette journée, placée sous le signe de la paix, du patrimoine et de l'humanisme, a permis de renforcer les liens entre les différentes communautés et de rappeler que le vivre-ensemble est un choix et un devoir collectif. Des diplômes de reconnaissance faut-il encore le souligner ont été décernés par Oshi aux profits des invités de marque lors de cette journée à la fin de cette cérémonie y compris la presse présente pour couvrir cet événement. Audrey Azoulay, Directrice générale de l'Unesco déclarait en 2024 à l'occasion de cette journée mondiale de la paix «Dans un monde où les conflits se multiplient et polarisent les idées autant que les sociétés, cette Journée nous rappelle que c'est précisément quand cet horizon de paix semble lointain qu'il faut construire, sans relâche, cet idéal de concorde et de cohésion sociale». De Paris
