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Une ville en constante dégradation
Bordj Menaïel
Publié dans La Nouvelle République le 10 - 01 - 2011

Alors des questions s'imposent d'elles-mêmes : pourquoi la ville de Bordj Menaïel est laissée dans l'abîme de l'oubli et accuse un retard dans tous les domaines, d'ordres social, culturel, économique, sportif ou encore dans celui des infrastructures de base, telles que les routes, l'eau portable, la santé, les télécommunications, les infrastructures scolaires, ainsi que le transport. Une ville qui est restée à la traîne et qui n'a jamais décollé économiquement et socialement. A qui la faute ? La réponse est simple. Elle est à tous les présidents d'APC et les élus locaux qui se sont succédé depuis 1962. Sans risque de nous tromper, nous dirons à haute voix qu'ils ont failli à leurs missions. Qu'est-ce qu'un président d'APC ? Que représente-t-il pour les
citoyens ? Quel est son rôle dans la commune ? Autrefois, on l'appelait monsieur le maire, un personnage respecté et respectueux, responsable de cette petite institution de l'Etat, aidé dans sa tâche par des vice-présidents et des conseillers. Il est le premier magistrat de la ville. Il doit être à l'écoute des citoyens. A la différence du chef de daïra qui lui est un commis de l'Etat, le président de l'APC est choisi et élu par la population pour la représenter dignement et s'occuper de la gestion de la commune. Nul ne saurait contester qu'une gestion saine et efficace des affaires collectives exige comme condition première une définition parfaitement claire des responsabilités et des prérogatives de chacun.
Le wali est le premier responsable d'une wilaya, le président de l'APC est le premier magistrat de la ville certes mais il se doit d'être à l'écoute des citoyens, il doit assumer ses responsabilités envers la population.
Il a été élu pour s'occuper de la gestion de la ville dans un contexte socioculturel et économique donné. L'APC, cette honorable institution pour laquelle à chaque mandat électoral, ils sont nombreux à postuler au poste de président d'APC promettant monts et merveilles à la population.
Malheureusement ce n'est pas le cas et c'est justement là où le wali se doit d'intervenir afin de prendre des décisions dans l'intérêt de la commune de Bordj Menaïel et combattre le laisser-aller, le laxisme, le gaspillage, trouver une solution rapide à la décharge communale fermée depuis plus de sept mois , alors que la ville croule sous les ordures ménagères devenant la localité la plus sale d'Algérie. Le wali se doit de faire une visite inopinée et de voir de visu la situation catastrophique et et problèmes auxquels sont confrontés les citoyens. L'anarchie règne en maître des lieux et le parc communal situé à l'entrée de la ville et en bordure de l'autoroute Issers-Tizi Ouzou est devenue une décharge communale. C'est vraiment injuste ce qui se passe ! Bordj Menaïel est confinée dans une situation d'isolement et une multitude de problèmes liés au cadre de vie de ses citoyens qui ne cesse de s'accentuer au fil des ans. Alors Monsieur le wali, il est grand temps que cela change.
De quel droit une institution de l'Etat comme la mairie se permet-elle d'utiliser un parc communal comme décharge pour les ordures ménagères dégageant des odeurs nauséabondes. Le wali de la 35e wilaya d'Algérie est-il au courant de cette situation ?


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