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Le retour de Malbrough
Publié dans Réflexion le 26 - 03 - 2011


Ce fut un temps où Malbrough aimait la guerre, parce qu'en ces temps là la guerre était comme un jeu d'enfant. Les peuples croisaient le fer pour un rien alors qu'il n'y avait pas de pétrole en jeu. Les uns et les autres avaient plaisir à tuer. Or, il se trouve que depuis la fin de la seconde guerre mondiale les peuples se sont assagis et leurs dirigeants ont compris que la paix était irremplaçable, parce qu'ils ne voulaient pas, non plus, léguer à leurs enfants et leurs petits enfants cet affreux héritage. Puis vint la guerre froide ; une nouvelle forme de guerre parce que les enjeux étaient majeurs et l'économie prenait de l'ampleur. Les armes se sont tues et la diplomatie est devenue reine. C'est alors qu'on parlât de démocratie, des droits de l'homme, des droits de l'enfant etc… Les droits sont nombreux sauf ceux des peuples affamés que le sort à condamnés à rester pauvres et vivre dans des pays que les seigneurs qualifiaient de ‘'pays en voie de développement''. D'ailleurs ils le sont toujours parce qu'ils n'ont pas les moyens de se développer malgré les richesses de leurs sous -sols, en particulier le pétrole que les seigneurs n'ont pas, mais ils disent avoir ‘'des idées''. Ceux qui ont du pétrole n'ont encore pas compris qu'il fallait aussi avoir des idées, pour ne pas dépendre des seigneurs et être à leur merci, jusqu'à se faire manipuler comme des marionnettes. Si feu Seddam avait su que son pétrole le menait à la pendaison, il aurait certainement abandonné le pouvoir avant. Car, contrairement à ce qui se passe aujourd'hui, ce n'est pas la rue qui a été la cause de sa chute mais plutôt le pétrole. Ce que lui reprochaient les Américains et les Occidentaux n'était qu'un prétexte. Dans ce contexte, tous les dirigeant israéliens qui se sont succédé depuis voilà 92 ans auraient dû être tous pendus pour les crimes commis contre les Palestiniens, si on venait à les comparer un à un à Seddam Huseïn. Rassurez-vous, personne ne lèvera le petit doigt contre les protégés des seigneurs. Aujourd'hui c'est Kadhafi qui est la cible sauf que cette fois-ci c'est le petit Nicolas qui a eu l'idée d'engager la guerre, tout comme son cousin d'antan Malbrough, quoi que lui est juif de par ses origines, et le précédent est Anglais. Mais qu'importe. Nicolas a engagé tout un arsenal de guerre pour soi disant protéger les Libyens contre leur dictateur. Qu'elle belle excuse ? C'est le même scénario qui se répète dès qu'un dirigeant arabe est pointé du doigt. Kadhafi s'obstine et ne veut pas abdiquer comme l'ont fait Benali et Moubarak pour sauver leur tête. Seddam n'est plus mais les Américains sont toujours en Irak. Lundi et mardi derniers des enfants, des femmes et des vieillards sont morts à Ghaza et personne ne dit mot. Aucune Résolution après la 1973. Ni Obama, ni Nicolas, ni Merkel, encore moins Berlusconi n'ont réagi…

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