Les habitants de la rue « Bensaâdoune Menawer » et plus précisément près du lycée « Ould Kabliya Saliha » ainsi que ceux de la rue Bentounsi Allel, vivent le calvaire et cela depuis le début de l'année en cours. Après le décapage de la rue Benssaâdoune Menawer, les travaux sont suspendus en raison des travaux d'installation de câbles électriques souterrains de 10 000 volts que devait engager les services techniques de la Sonelgaz, et qui n'ont toujours pas démarré, laissant la population de cette zone vivre dans la poussière et cela perdure et incommode les citoyens et leurs enfants. Dans le même contexte, la rue Bentounsi Allel vit le même problème, sauf que cette dernière vit un autre problème plus grave qui est celui du réseau d'assainissement qui a été touché et donc endommagé lors des travaux de décapage de la chaussée par les engins utilisés, ce qui entraîne le refoulement des eaux usées vers les sanitaires des domiciles. Mis à part l'incommodité que provoquent les odeurs nauséabondes des eaux usées qui s'exhalent un risque de prolifération des eaux usées vers les conduites souterraines d'eau potable qui datent de l'époque coloniale peut provoquer des maladies à transmission hydrique (M T H). Là où le bas blesse, c'est que les services de l'hydraulique ont informé les citoyens qu'ils ne changeront que le collecteur collectif, quand aux collecteurs individuels, c'est aux citoyens de le faire car l'hydraulique n'a pas assez d'argent. Se sentant devant un grave danger, les habitants interpellent les services concernés et ont adressé une lettre explicative au wali mais en vain. Jusqu'à quand ces habitants vivront-ils le calvaire ?