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Centre ville de Mostaganem : Un un bazar à ciel ouvert
Publié dans Réflexion le 09 - 04 - 2012

Peut on considérer la ville de Mostaganem, comme une ville moderne, il est clair que oui, cependant, à voir son aspect, on est enclin à se demander où sont passées les autorités, du fait du laisser aller qui a investit toutes les rues avenues et moindres espaces de cette cité.
Conditions d'hygiène déplorable, ruralisation galopante, et au train où vont les choses le citoyen de cette ville parfois reste sans voix du fait de l'anarchie qui y règne, sans que les autorités ne s'en inquiètent et laissent faire. En plus du marché d'Ain Sefra qui est devenu une plaie, pour la ville du fait de la saleté, du marché informel et de l'encombrement systématique de cette agglomération qui grouille de monde, il y a lieu de se demander si un jour l'on prendra le taureau par les cornes afin d'éradiquer ce mal intérieur qui ronge cette cité dont le charme a disparu. Depuis que les trottoirs et les escaliers ont été squattés, le citoyen Mostaganémois à toutes les peines du monde à se frayer un chemin. De nos jours, tout le monde veut devenir commerçant et les commerces informels poussent comme des champignons et chacun dicte sa loi en s'accaparant du moindre espace, condamnant des rues entières. Le centre ville de la capitale du Dahra se trouve défiguré au vu et au su de tout le monde et le phénomène a tendance à prendre de l'ampleur dénaturant ainsi, la vraie image de l'ancienne ville. Un véritable casse tète qui ne cesse de pousser d'une seconde à l'autre, car tous les lieux publics, ruelles et trottoirs ont été totalement pris d'assaut, transformant le centre ville en un gigantesque bazar. Le constat est d'autant plus flagrant de par la déperdition de l'esthétique du centre ville rendant son atmosphère invivable, ajouté à cela le manque d'espaces verts laissant place à la grisaille et à la monotonie. C'est une véritable pagaille, lorsque l'on fixe notre attention sur tous ces commerçants qui grouillent. Les premiers ont choisi les armes blanches, les seconds ont préféré occuper les lieux de stationnement à l'aide de gourdins, dans une ville dépourvue de place pour la circulation. Tout au long de la journée à travers une ville transformée en un bazar à ciel ouvert, les piétons et les véhicules se télescopent et trouvent du mal à trouver leurs marques les uns ont squatté les rues, les autres les trottoirs qui sont devenus presque des propriétés, et ce au grand dame des autorités locales. Par ailleurs, si l'on doit ajouter à tous ces désagréments, durant ce mois de nombreux quartiers sont envahis par les ordures et autres déchets de toutes sortes et le centre ville à proximité du marché couvert ou de l'Ain Sefra on a l'impression de vivre dans une décharge. Des tonnes d'ordures s'amoncellent ici et là, présentant un décor désolant, et chacun trouve son compte pour abandonner ses déchets à même le sol profitant de l'absence des services concernés. Avec l'absence totale de civisme et le laisser-aller, la ville de Mostaganem s'est transformée en une véritable décharge publique à ciel ouvert sans que personne n'y fasse quoi que ce soit pour dire en fin de compte que même le citoyen est complice de cet état de fait.

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