Un grand nombre de locataires résidant dans certaines cités populaires notamment celle des 40 logements « DahnouneBouhadjar « , se plaignent journellement de la présence des eaux usées dans les caves des blocs des bâtiments où se vivent plusieurs essaims de moustiques qui se multiplient d'un jour à un autre ,nuisant à leur santé et celle de leurs enfants en bas âge . Les caves qui nécessitent une grande opération d'entretien et qui tarde à se réaliser, nonobstant moult doléances par les locataires aux services compétents qui ne semblent donner aucune importance à la solution du calvaire qui fait souffrir les habitants et leurs familles. Cet état de fait déplorable s'est alourdi par les grandes chaleurs de l'été durant lequel les habitants et leurs familles de la cité subissent des maladies cutanées causées par les morsures des moustiques, leur contraignant de passer la nuit blanche. La stagnation de l'eau ne menace non pas la santé des habitants mais aussi leur sécurité car elle risque au fil des jours de dégrader la fondation des bâtiments. L'état dégradant des rues, l'odeur nauséabonde dégagée par les caves, la défectuosité de l'éclairage publique et la présence des déchets et des détritus à l'entrée de la cité, font l'objet de commentaires acerbes par ces habitants qui s'interrogent sur le retard dans la prise de décision tendant à solutionner cette situation pénalisante par les responsables locaux concernés.