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Les jérémiades désarçonnent la raison sociale
Publié dans Réflexion le 08 - 03 - 2017

"Souvenons-nous de tous les effets démontrables des très fortes inégalités : diminution de l'espérance de vie, problèmes de santé, maladies mentales, criminalité en hausse, populations carcérales en augmentation, etc. Tous ces phénomènes sont les sig
Certaines études et particulièrement celle du Docteur «Travis Bradberry* » ces études révèlent que la plupart des gens se lamentent en moyenne une fois par minute au cours d'une conversation classique. Geindre (E-Chikaya*), c'est tentant car ca embelli la discussion et efface les temps morts dans une discussion.
Car cela soulage comme beaucoup d'autres choses plaisantes (fumer ou prendre une tasse de café express ou encore s'accrocher à sa vérité absolue sans aucunement accepter l'avis du partenaire si ça dérive vers le ballon c'est le chauvinisme sans fin..) ce n'est pas bon pour « al jalssa » (rencontre). Il semble que le cerveau algérien vise l'optimisation et n'aime pas travailler plus que nécessaire mais avec le moins d'utilité possible. Le fait de naviguer dans un contexte routinier ou rien de beau, ni d'agréable, ni d'utile sinon de la morosité dans un état de fait, les appétits rentiers emportent et piétinement la moralité sociale. Tout cet état de fait force manifestement à reproduire un comportement donné exceptionnel et spécifiquement Algérien. Il est clair que c'est bien difficile de présenter des normes pour se démarquer , le fait de se plaindre, de se lamenter à tout instant , à tout moment et dans tout endroit , les neurones humaines créent des réseaux et des ramifications dans un marché virtuels de pensées et d'idées ou l'échange se traduit entre eux afin de faciliter le flux d'une information qui passe à la caisse sans aucune valeur. La routine péjorative semble-t-il des lambadas Algériens et même de l'intellect les force à longueur des heures, des jours et ils finissent par reproduire ce fameux comportement des «Chikayates» (se plaindre –lamentation -s'apitoyer- déplorer..) de plus en plus spontanément : à tel point, d'ailleurs, qu'ils ne s'en rendent même plus compte. Le cerveau Algérien n'y est pour rien il n'est point responsable et on ne peut pas en vouloir au cerveau, ni à l'Algérien. Chaque jour et chaque matin, l'habitude de lambadas algérien est d' espérer ,de se lorgner et de désirer construire transitoirement une petite passerelle pour aller prendre son temps de se rouler les pouces tranquillement dans une petite ile semblable à celle de « Robinson de Crusoé ». .C'est son idée génial de construire une petite passerelle provisoirement juste pour le temps d'y aller à son ile. Quant au cerveau qui ne rime plus dans le sens du sensé, ni du général c'est-à-dire de construire un seul pont permanent, pour toujours et pour tout le monde, c'est aussi une manière de penser, d'être par la façon de créer des autoroutes ou voies express neuronales bien spécifiques dans le cerveau de l'Algérien vivant une mauvaise éducation sociale, économique ,culturelle et même sportive Algérie dont l'immoralité est emportée par les appétits rentiers. Des connexions en « wifi » passant par des « routages » se construisent entre certains neurones systématiquement utilisés ; se renforcent et deviennent soit permanentes soit temporaires. Les scientifiques ont démontré que les neurones saines qui se « connexionnent » ensemble et entre eux se renforcent solidement dans un ensemble compatible ou le sensé prime et dure et chasse tout état insensé et immorale. Trop de « Chkayettes* » c'est-à-dire si l'on se plaint tout le temps , on rouspète à chaque instant , on regrette très souvent, le cerveau plonge aussi dans le calvaire péjorative de la routine et ménage toujours les mêmes circuits « wifi » et « routage », ce qui renforce ainsi la forte circonstance d'éventuels comportements similaires à venir. Avec le temps qui s'en va, tout s'en va , les lambadas Algériens se retrouvent qu'ils sont plus négatifs dans leur subjectivisme et de moins en moins positif, le poids des « Chikayettes »( problèmes) ,le contexte social, culturel, économique, politique, environnemental renforce ce comportement très péjoratif ,très immoral.
« Ach ki* » ou se plaindre devient alors une habitude, une routine, ou plus exactement un vrai faux défaut du comportement qui colle à la peau des lambadas, ce qui modifie la façon dont les gens normaux vous perçoivent.
Il parait que se plaindre sans cesse est également mauvais pour la santé
Pour parachever le tout, le fait de se plaindre et de se lamenter à longueur de journée, de mois et d'années risque d'abimer certaines zones du cerveau et faire éclater bien des « fusibles ». La zone des résolutions des problèmes et aussi de l'intelligence risque d'être altérée négativement. Par ailleurs, lorsque vous vous plaignez souvent, par de trop de « chikayettes », votre organisme libère semble t il, une matière qui provoque du stress. Cette « matière » ou hormone fait de l'individu une transformation en mode de pugilat ou échauffourée ou fuite, c'est-à-dire pour mieux expliciter et avoir une explication logique de la médecine ou de l'anatomie du corps humain en quelque sorte , l'oxygène, le sang et l'énergie ces trois paramètres essentiels et fonctionnels se détournent de tout équilibre des fonctions de l'être humain, tout en gardant en veilleuse les systèmes essentiels à la survie immédiate. La pression artérielle et la glycémie afin de vous préparer à, soit vous enfuir, soit vous défendre ceci est une explication pour les hypertendue et les diabétiques ; le sucre n'y est pour rien c'est le stress muni de beaucoup de « Chikayette* » et problèmes même le système immunitaire se trouve affecter et risque de se fait, exposer au cholestérol, au problème cardiaques, au A.V.C ........
C'est mauvais parait-il de se lamenter et de se plaindre sans cesse et tout le temps
Les êtres humains ont un comportement social, par conséquent leurs cerveaux parodient les états d'âmes de ceux qui les entourent (inconsciemment), et surtout les gens avec qui passent énormément de temps au café, au marché, au travail, sur les places publiques au.....
Fumer, chiquer, se lamenter et se plaindre ont une ressemblance unique ; la fumée a ses effets lents mais aussi nocifs. Celui qui ne fume pas avale la fumée du fumeur et celui qui se plaint veut que l'on participe avec à la commisération afin de se soulager mais il vous en traine dans son jeu qui est un cycle infernal et vicieux. Il faut faire attention à ne pas passer trop de temps avec des gens qui se plaignent et se lamente de tout et de rien. Il faut le voir de la façon suivante : si une personne fumait, resteriez-vous assis là, tout l'après-midi, à respirer sa fumée ? Non, vous vous éloigneriez. Eh bien il faut en faire de même avec ceux qui se plaignent « Eli – Nagrechou* ».
Par conséquent, la structure de notre cerveau peut se transformer à force de trop faire de « Chikayettes* » et « E'tnagriche* » de se plaindre de se lamenter quoi ! Il ya certes et certainement un remodelage comme disait le M. Docteur au niveau des neurones qui chamboulent toute une discipline de l'anatomie de l'organisme naturel vers un pseudo -désordre des autoroutes des flux de l'information ce qui nous nous poussera a avoir de nouveaux traits de caractère comme celui des « Chikayettes* ». C'est notre nouvel état d'être dans un nouveau contexte. Pour minimiser cet état de fait, il s'agit de se consolider fortement en plaçant un « filtre »ou « tamis » qui vous épargnera d'avoir cette attitude et vous serez débarrassé de ce mauvais trait de caractère, « le silence est grand et tout le reste est faiblesse »(citation) , la progression va plus vite dans votre état d'être vers votre objectif, qu'il soit familial, culturel, social, professionnel et économique .
Pour Sortir de ce phénomène ou processus de « victimisation », et aller vers un autre état d'être proactif et positif, c'est l'une des clés du succès. L'état de l'esprit est essentiel pour réussir comme par exemple à vous de le prendre. Alors appliquer la citation ci-dessus sinon armez vus de beaucoup de patience positive !...
Comment cesser de vous plaindre pour faire place à l'esprit social de réussite ?
Le système socio-économique et politique mis en place y est pour beaucoup dans sa conception non productive ou le travail n'est plus une valeur, et les valeurs ne sont pas du tout reconnues en tant que telles, la morale il faut pas trop y chercher, le capital c'est la financiarisation ( tbazniss*) et la matière première est commercialisée pour avoir la rente qui nous permet de bien dormir et regarder le chômage grossir, la corruption se répandre ,le gaspillage, le mal social s'amplifie, la saleté ronge nos villes qui se « betonvillent » et nos esprits, le « betonville » efface l'art de l'architecture.........et pour faire une Algérie prospère il faut penser avant tout à élaborer un projet de société qui va vers de l'avant pour retrouver le bien , l'utile l'agréable la justice ,de liberté, l'équité, le travail ,la santé, la solidarité et un projet politique audacieux en matière sociale, économique, environnemental, éducatif et culturel que l'on ne retrouve pas dans notre cher pays actuellement ; ce projet politique et social efface tout stress social !.
* 1-Chikayettes : les reproches, critiques, réprimandes
* 2-T'Nagriche :bavardage sans fondement
* Tbazniss :spéculation
Ach ki :porter plainte
*3 -Le docteur Travis Bradberry est co-auteur d'un best-seller récompensé par des prix : Emotional Intelligence 2.0, et cofondateur de TalentSmart, le premier fournisseur mondial de tests d'intelligence émotionnelle et de formations.. Ses best-sellers ont été traduits en 25 langues et publiés dans plus de 150 pays. Le docteur Bradberry a écrit ou fait l'objet d'articles dans Newsweek, BusinessWeek, Fortune, Forbes, The Wall Street Journal, The Washington Post, et The Harvard Business Review.


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