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MOSTAGANEM VILLE OTAGE DE L'INCIVISME ET DU LAISSER ALLER : Mais où est donc la solution ?
Publié dans Réflexion le 08 - 09 - 2010


Je ne suis pas le premier à écrire. Ni malheureusement (et de cela, j'en suis certain), le dernier. La qualité de notre vie ainsi que notre environnement proche ne s'améliorent pas, bien au contraire. On dirait même que celle-ci a foutu le camp. Côté hygiène, la situation est déplorable, à savoir le problème des ordures trainant sur les trottoirs, aux poubelles publiques en plein centre de la ville, en passant par la prolifération de rats bien dodus se promenant sans peur parmi nos matons de plus en plus faméliques et de plus en plus rares… un état qui empire en cette période de ramadhan. Grandes chaleurs coupures d'eau fréquentes et relâchement des activités donnent, à notre cité, un aspect bien « crado », ainsi que des senteurs désagréables que les rares brises des nuits d'été n'arrivent pas à refouler loin de nos narines. Sans parler des rues bien souvent défoncés et que l'on oublie parfois de réparer rapidement. Sans parler de ces immeubles aux façades qui se ternissent et qui se délabrent sérieusement. Des citoyens qui risquent de recevoir une « tuile » qui se serait détachée sur la tête (habitants ou passant). Sans parler de tous ces commerces (dans les rues centrales et les grandes artères ou ailleurs) qui se transforment peu à peu en mini marché aux puces poussiéreux et en fournisseurs de pacotilles douteuses et inutile. Dernièrement, un « quotidien» ne rapportait- il pas l'installation d'un commerce dans des urinoirs publics désaffectés? Sans parler de ces restaurants qui se muent avec facilité gargotes crasseuses et qui vous fourguent tout, vous offrent du poulet aux antibiotiques à gogo. Sans parler de l'inondation par ce breuvage dénommé limonade, mélangée d'eau, de sucre, de colorant parfumé, de gaz et de petites bestioles. Produits, comme bien d'autres si faciles à fabriquer et très consommés, sans parler de la pollution industrielle. Les exemples foisonnent et dispersés, les effets sur le citoyen consommateur peuvent laisser croire qu'ils sont passagers, assez superficiels et même bénins, mais le jour où ils seront comptabilisés sur le plan national, j'ai la nette impression qu'on n'en reviendra pas, car l'économie du pays y perd beaucoup avec celle de la santé, aussi les surplus dégagés par la croissance risquent fort, plus tard de sombrer dans la recherche et l'achat de médications. Réalité assez triste et ce malgré les réunions, les appels, les campagnes, rien n'y fait aucune parade. Légèreté et inconscience des ménages, qui passent leur temps à laver à grandes eau leur intérieur, balancent des eaux sales ou des restes de repas de leurs fenêtres. Un certain égoïsme dangereux, s'est emparé de la société lié à la cellule familiale, premier lieu d'éducation. Il est vrai que l'on trouve normal aujourd'hui, tout ce qui était considéré anormal par nos pères. Les causes ont été moult fois cernées, recensées, discutées, disséquées, mais, la bureaucratie bloque les initiatives, de plus l'art du dégagement et de l'esquive est si bien maitrisé. Rien ne sert de dénoncer, si l'on ne propose aucun remède.

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