Des parlementaires algériennes ont participé mardi à une conférence virtuelle organisée par l'Union des femmes parlementaires arabes contre la violence à l'égard des femmes sur "les codes de nationalité dans les pays arabes". Les interventions lors de cette conférence organisée par visioconférence en collaboration avec "Westminster Foundation for Democraty" (WFD), ont porté sur "les difficultés des femmes dans les pays arabes en ce qui concerne l'octroi de la nationalité à leurs enfants". A cette occasion, la membre du Conseil de la Nation, Nouara Saadia Djaafer, a évoqué dans son intervention "les amendements importants introduits à la loi de la nationalité en Algérie", affirmant que l'objectif de ces amendements était de s"'adapter au développement de la société de manière à renforcer les droits de l'homme étant la nationalité un droit essentiel pour l'Homme". "Cette consolidation intervient en harmonie avec la dynamique marquant, actuellement, l'Algérie et vise l'édification de l'Algérie nouvelle, basée sur l'Etat de droit conformément aux engagements du président de la République, Abdelmadjid Tebboune, dans son programme présidentiel, concrétisé en vertu de l'amendement constitutionnel du 1 novembre 2020", a-t-elle déclaré. La conférence a vu la participation du directeur général du Centre des études juridiques et judiciaires au ministère de la Justice, Rachid Ferrah, qui a plaidé "en faveur du Code de la nationalité algérien et les acquis réalisés", mettant l'accent sur "l'intérêt accordé par les autorités en Algérie à ce Code".
