Le secrétaire d'Etat auprès du ministre des Affaires étrangères, chargé de la Communauté nationale à l'étranger, M. Sofiane Chaib, a mis en avant, depuis Awaza (Turkménistan), les efforts consentis par l'Algérie dans ses espaces d'appartenance, pour soutenir les pays en développement sans littoral (PDSL) d'Afrique, dans leur processus de développement, indique mercredi, un communiqué du ministère des Affaires étrangères, de la Communauté nationale à l'étranger et des Affaires africaines. "Dans le cadre de sa participation aux travaux de la 3e Conférence des Nations unies sur les PDSL, à Awaza (Turkménistan), le secrétaire d'Etat auprès du ministre des Affaires étrangères, chargé de la Communauté nationale à l'étranger, M. Sofiane Chaib, a prononcé une allocution lors de la plénière de cette Conférence, placée sous le thème "Impulser le développement grâce aux partenariats", précise le communiqué. Il a souligné, à cette occasion, que l'Algérie, en tant qu'"Etat de transit" selon le concept onusien en lien avec cette question de développement, "fournit des efforts concrets dans ses espaces d'appartenance pour soutenir les PDSL dans leur processus de développement, en témoigne son adhésion aux grands projets structurants du continent africain, à l'instar de la Route transsaharienne, du Gazoduc transsaharien et de la liaison axiale de la fibre optique transsaharienne", ajoute le communiqué. M. Chaib a également affirmé que "les défis auxquels sont confrontés les PDSL pour atteindre leurs objectifs de développement, tels que le manque d'investissements dans les infrastructures, le faible transfert de la technologie, l'insuffisance des ressources financières internationales, ou encore le changement climatique, pourraient trouver, dans la mise en œuvre des recommandations de cette Conférence et du 4ème Sommet des Nations unies sur le financement du développement, tenu à Séville du 30 juin au 3 juillet 2025, les moyens de relever ces défis imposés par les spécificités géographiques de ces pays, notamment pour ce qui est de la poursuite de la réforme de l'architecture financière internationale et la promotion d'une gouvernance économique mondiale plus inclusive, représentative, équitable et efficace, conclut le communiqué.