«Je suis désespéré, me disait-il, mais ma porte reste toujours ouverte pour que rentre la lumière des amis dans ce pays.»
Si la mort guérit de toutes les fièvres en donnant quelques larmes qui écartent les profondeurs que même l'incomparable (...)
Les Algériens parlent de ce gouvernement qui les a muselés depuis 20 ans. Ils ne supportent plus l'idée de se faire avoir encore.
Le peuple vit un désespoir presque chimique. Il se meurt de mourir chaque vendredi et maintenant presque chaque jour. (...)
En ce début de cette étonnante année politique, rien ne doit plus surprendre. Ni chez les élus ni chez les électeurs. Les bizarreries n'en sont plus. Les Algériens détestent leurs responsables politiques, mais ont des coeurs faciles à prendre. Ils (...)