Dans quelques jours, Oran aura son « nez électronique. » Un capteur de gaz qui détecte le taux de pollution de l'air est quasiment mis en place et attend sa mise en service dans le tout nouveau laboratoire qui sera, d'ici quelques jours, opérationnel dans la deuxième ville du pays. Une aubaine pour la protection de l'environnement dans une ville qui fait face à une grande pollution urbaine et industrielle. Cet équipement sera chargé de collecter et de fournir des données sur toutes les sources de pollution au niveau de toute la région Ouest. Cette nouvelle structure vise à « développer, à l'aide de systèmes électroniques, l'étude de la pollution de l'air en détectant les gaz polluants. » La constitution de bases de données permettra des recherches fondamentales concernant la mise au point d'une méthode originale d'étude de la pollution atmosphérique », indique-t-on encore.
