Les pauvres peuvent consommer des fruits et légumes avariés, non pas gratuitement, mais à « moindres frais ». Certains marchands exhibent, en toute impunité, sur leurs étals, des trognons de pommes, ou encore des demi-pommes, auxquelles on a enlevé la partie pourrie, laissant le reste à l'air libre, et proposées, s'il vous plaît, à 20 DA le kilo, pour les petits morceaux, et de 30 à 40 DA pour les plus gros. L'on se demande, à ce stade, où sont et que font les services d'hygiène ?