«La municipalité vit seulement des différentes subventions allouées dans le cadre du programme communal de développement et autres apports des programmes sectoriels. Il est très difficile de trouver des solutions au fléau vu le manque d'assiettes foncières et financières pour la création de zones d'activités», reconnaît le vice président de l'APC. Les diplômés des différentes universités ont du se rabattre, pour les plus chanceux, sur les travaux d'utilité publique pour un salaire de misère qui ne dépasse pas les 3000 DA. D'autres ont eu la chance de décrocher un contrat de pré emploi. Mais beaucoup attendent désespérément ce premier contact avec le monde du travail. «à trop attendre, on perd le savoir acquis à l'université, les compétences et les motivations personnelles», déplore Djamel, un chômeur que son diplôme de Licence n'aide pas à trouver un boulot.
