Constantine : 260 ressortissants algériens rapatriés du Canada Deux cent soixante (260) ressortissants algériens bloqués au Canada depuis la suspension du trafic aérien, causée par la pandémie du coronavirus, sont arrivés dimanche à l'aéroport international Mohamed Boudiaf de Constantine. Ces Algériens ont été rapatriés à bord d'un avion de la compagnie aérienne nationale Air Algérie, dans le cadre du programme national de rapatriement de plusieurs milliers de citoyens algériens bloqués à l'étranger. Accueillis et pris en charge par les services du tourisme, ceux de la Direction de l'administration locale (DAL) et de la Direction de la santé et de la population (DSP), ces rapatriés ont été soumis aux examens médicaux d'usage, avant d'être transférés à l'hôtel Marriott, du chef-lieu, où ils passeront la période de confinement sanitaire de quatorze (14) jours, a-t-on indiqué. Un staff médical et paramédical a été mobilisé pour le suivi quotidien de l'état de santé des personnes confinées, selon les services la Direction locale de la santé et de la population (DSP). Depuis le début des opérations de rapatriement, 844 Algériens ont été évacués depuis l'Italie, la Malaisie, le Qatar et le Canada vers Constantine. Plus de 3600 oliviers réduits en cendre dans un incendie à Maghraoua (Médéa) Plus de 3600 oliviers ont été réduits en cendre, suite à un incendie survenu, vendredi, en fin d'après-midi, dans la commune de Maghraoua, à 107 km au nord-est de Médéa, a-t-on appris dimanche auprès de la Protection civile. Plusieurs parcelles d'une vaste plantation d'oliviers, situées dans le village de Ouled Rahmoune, commune de Maghraoua, ont été ravagées par les flammes, lors d'un violent incendie, maîtrisé en début de soirée de la journée de vendredi, a indiqué la même source, précisant que les pertes enregistrées se chiffrent à 3650 oliviers, alors que d'autres parcelles, cernées par le feu, ont pu être protégées. Le mécène devenu bête noire d'Erdogan ` L'homme d'affaires et philanthrope Osman Kavala, une figure majeure de la société civile turque, que le président Recep Tayyip Erdogan accuse de chercher à déstabiliser la Turquie, purgeait lundi son 1000e jour derrière les barreaux sans même avoir été condamné. Le mécène turc reste incarcéré à ce jour en dépit d'une demande de la Cour européenne des droits de l'homme (CEDH) de le libérer et d'un acquittement rendu par un tribunal turc en février pour l'accusation de «tentative de renversement du gouvernement». «Nous avons eu 1000 jours de notre vie volés. La mère de mon mari a plus de 90 ans et ne sait pas si elle pourra un jour revoir son fils», a déclaré l'épouse de M. Kavala, Ayse Bugra, lors d'une conférence de presse en ligne samedi. M. Kavala était initialement poursuivi pour avoir soutenu des manifestations antigouvernementales en 2013, connues sous le nom de mouvement de Gezi, visant M. Erdogan, alors Premier ministre.